Épître

 1     I|       fut trahi dans les bras du sommeil, l'autre par une ruse. Tu
 2    VI|         le silence des nuits, un sommeil tranquille ? Le joug qu'
 3  VIII|       yeux, que ne ferme plus le sommeil, se remplissent de larmes.
 4     X|   indignement trahie, et par mon sommeil, et par toi qui en profitas,
 5     X| incertain, toute languissante de sommeil, j'étendais, pour toucher
 6     X|          La crainte m'arrache au sommeil ; je me lève épouvantée,
 7     X|        dur que le caillou.~ ~ ~ ~Sommeil cruel, pourquoi m'as-tu
 8     X|      tout a conspiré contre moi, sommeil, vent, foi jurée ; seule,
 9    XI|          quelques aliments ; mon sommeil était pénible ; la nuit
10   XII|     appris à ne pas succomber au sommeil.~ ~ ~ ~Æétès avait parlé :
11   XII|         coupable, j'ai soumis au sommeil, par la puissance de mes
12   XII|          me donner à moi-même le sommeil dont j'ai pu endormir un
13  XIII|      reproches ? Je m’arrache au sommeil, et j'adore toutefois les
14   XIV|     étaient déjà plongés dans le sommeil ; un calme profond régnait
15   XIV|        chassèrent de tes yeux le sommeil :~ ~ ~« Lève-toi, descendant
16   XIV|     lèves ; toute la langueur du sommeil se dissipe. Tu aperçois
17    XV|          contraint par elle à un sommeil éternel. Vénus l'aurait
18    XV|          sépare de moi ; mais le sommeil n'a pas de joies assez longues :
19    XV|      objets, je me plains que le sommeil fuie si tôt mes paupières.
20   XVI|          les paupières cèdent au sommeil paisible qui les vient clore.
21 XVIII|     toutes ces nuits, j'ai vu le sommeil calmer mes sens, que les
22   XIX|      baisers ; mais c'est que le sommeil surprend et fait hocher
23   XIX|     grande partie de la nuit, le sommeil vient furtivement fermer
24   XIX|    toujours en même temps que le sommeil.~ ~ ~ ~Oh ! amants pleins
25   XIX|       mes doigts languissants de sommeil, et j'appuyai ma tête sur
26   XXI| répond-elle. Bientôt, lorsque le sommeil, excellent prétexte d'une
27   XXI|   paupières baissées simulent le sommeil ; s'il cherche à me toucher,