Épître

 1    II|          soulevés les vents, par Vénus et ses traits trop puissants
 2    IV| fatalement attaché à ma race, et Vénus doit-elle lever ce tribut
 3    IV|         si tu ravis ses droits à Vénus ? Ce qui se fait sans alternative
 4    IV|         s'offrait, fut foulé par Vénus et par le fils de Cinyra,
 5    IV|        heureuse. Si tu dédaignes Vénus, tes bois restent sauvages.
 6    IV|    parenté, lorsque à ces nœuds, Vénus elle-même a ajouté les siens.
 7    IV|        un taureau farouche ? Par Vénus qui me possède, prends pitié
 8     V|     amour inconstant, ce jour où Vénus et Junon, et la déesse à
 9   VII|         le fait aimer davantage. Vénus, prends pitié de ta bru,
10    IX|          d'un héros tel que toi. Vénus t'a plus nui que Junon.
11    XV|       elle à un sommeil éternel. Vénus l'aurait emporté dans le
12    XV|        cœur ? Quitte le rivage : Vénus, fille de la mer, ouvre
13   XVI|      chercher, toi que la blonde Vénus a promise à ma flamme ;
14   XVI|       verge d'or. Trois déesses, Vénus, Pallas et Junon, posèrent
15   XVI|      être puissant ou courageux. Vénus me dit alors avec un doux
16   XVI|       cette lutte, je ne sais si Vénus eût obtenu la palme. Aussi
17   XVI|          sur toi quelque droit ; Vénus ne m'eût pas vu rester entièrement
18   XVI|           ils charment la blonde Vénus. Ces larcins ne t'ont-ils
19   XVI|    mariage expiera, si toutefois Vénus ne m'a pas fait une vaine
20  XVII|    humiliant trophée.~ ~ ~ ~Mais Vénus t'a promis cette conquête,
21  XVII|        humains ; les louanges de Vénus me désignent à l'envie.
22  XVII|      joie est donc d'avoir plu à Vénus ; la dernière de t'avoir
23  XVII|       suis novice aux larcins de Vénus, et, les dieux m'en soient
24  XVII|         ton corps fut formé pour Vénus plutôt que pour Mars. Qu'
25 XVIII|       aux déesses. Nulle, hormis Vénus et toi, ne la surpasse en
26   XIX|        Tu n'as rien à redouter ; Vénus elle-même favorisera ton