Épître

 1    II|        hurlements. Un oiseau de malheur y fit entendre un chant
 2     V|        l'a mérité, supporter le malheur avec constance, mais la
 3     V|        avancés dans la vie. Mon malheur me parut certain. Le pin
 4     V|       te ramener, mais pour mon malheur. Mes vœux t'ont donc rappelé
 5     V|         Que le ciel détourne ce malheur ! Je vois venir de la Grèce
 6    VI|     immolée sera le prix de mon malheur !~ ~ ~ ~Je ne fus jamais
 7    VI|     usurpé ma couche éprouve le malheur dont gémit Hypsipyle ! Qu'
 8   VII|     supporter courageusement le malheur.~ ~ ~ ~Sinon, j'ai résolu
 9    IX|     épouvante. J'épie, dans mon malheur, les bruits d'une vague
10    IX|         timide et convenable au malheur. Elle s'avance, étalant
11    XI|    solitaire. L'enfant, dans ce malheur, pousse un vagissement ;
12   XII|         eût voulu m'annoncer un malheur aussi grand ? Mieux valait
13  XIII|    Pâris, dont la beauté fit le malheur des tiens, sois un ennemi
14  XIII|        seuil, fut un présage de malheur. À cette vue, je gémis,
15    XV|      rien resté de toi, que mon malheur ; et toi, tu n'as pas un
16  XVII|     crédulité porte d'ordinaire malheur aux jeunes filles, et que
17  XVII|         ma joie, fait aussi mon malheur ; mieux eût valu que ma
18    XX|         lorsque, loin de toi ce malheur ! elle voit sa divinité
19   XXI|         avoir plu fait donc mon malheur ? Si, comme je l'eusse préféré,
20   XXI|     dieux. L'un prétend que mon malheur est l'effet du hasard ;
21   XXI| innocent, il me croit offensée. Malheur à moi, si tu te réjouis
22   XXI|          et s'il fait ta joie ; malheur à moi de t'avoir ouvert