Épître

 1   III|         des flots de sang de sa poitrine. Cependant à tant de pertes
 2   III|   jaillira quand tu perceras ma poitrine. Ouvre-la avec ce glaive
 3     V|        le mien, je me frappe la poitrine, je déchire, du bout de
 4  VIII|        feu intérieur embrase ma poitrine brûlante. Adresser, devant
 5     X|         de ce lit solitaire. Ma poitrine résonne aussitôt sous mes
 6     X|       de fer. Sans bouclier, ta poitrine suffisait pour ta défense.
 7     X| fatiguées à meurtrir ma lugubre poitrine. Je te montre, tout éplorée,
 8    XI|     chevelure, tu réchauffes ma poitrine en la pressant contre la
 9   XII|     aussi odieux ; cependant ma poitrine était glacée. La foule accourt : «
10   XII|     vêtements, je me frappai la poitrine ; mon visage même ne fut
11  XIII|         recevra sur son sein sa poitrine fatiguée. Nous vivons, nous,
12   XIV|      plonger un glaive dans une poitrine, je suis coupable ; on me
13   XIV|        tel ordre. Je déchire ma poitrine, d'où coule le sang ; je
14    XV|     craignis pas de meurtrir ma poitrine, et de pousser des hurlements,
15    XV|        le peuple me voyait ; ma poitrine découverte laissait voir
16   XVI|      pas légèrement effleuré ma poitrine ; la blessure a pénétré
17 XVIII|         qui embrase mon ardente poitrine. Plus j'avance, plus le
18   XIX|     membres, et je réchauffe ta poitrine sur mon sein qui la presse.
19   XIX|    prochaine ; alors ouvre à ta poitrine une route facile et sûre.
20   XXI|       soupirs s’échappent de sa poitrine ; et, quoique innocent,