Épître

 1   III|     achevé, et sept trépieds où l'art le dispute à la matière.
 2    IV|      accable. Le crime devient un art, lorsqu'il est appris dès
 3    IV|         je suis entraînée vers un art jusqu'alors inconnu pour
 4    IV|        ces cheveux flottants sans art et une légère poussière
 5     V|       pudeur une fois bannie, nul art n'en peut réparer la perte.
 6     V|           le globe, est utile à l'art de guérir, m'est aujourd'
 7     V|           amour ! Habile dans mon art, c'est à moi que cet art
 8     V|          art, c'est à moi que cet art fait faute. Le dieu qui
 9    VI|       foie qu'elle tourmente. Son art a d'autres secrets que je
10    VI|          celui que lui soumit son art odieux ! Qu'elle en soit
11    XI|          résista aux efforts de l'art, et fut protégé contre son
12   XII|        imploras le secours de mon art. Alors les sœurs qui dispensent
13   XII|   enchantements, mes simples, mon art, me laissent sans pouvoir ;
14   XII|          endormir un dragon ; mon art me sert mieux pour les autres
15   XII|         sommeille, vaincu par ton art. Je te réclame, toi que
16    XV|       douleur est un obstacle à l'art, et mes malheurs compriment
17   XVI|      attribuer au fils d'Atrée un art égal au mien ? Et quand
18 XVIII|         je puisse sillonner. Tout art m'est superflu ; qu'on me
19   XIX| engloutissent les vaisseaux que l'art a construits ; penses-tu
20    XX|          si toutefois il y a de l'art dans ce que j'ai fait, que