aband-ecrie | ecriv-nes | niera-surpa | surpr-zephy
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1 II| cette femme de Crète qu'il abandonna. La seule action qu'il se 2 XII| le dragon vigilant. Je m'abandonnais tantôt à l'amour, et tantôt 3 XVII| dit, infidèle, que tu l'abandonnas. Tu ne le nies pas non plus, 4 XI| oiseaux de proie, qu'on l'abandonnât dans un lieu solitaire. 5 XVI| il le méconnaît ; et il n'abandonnerait pas à un étranger, s'il 6 XVII| porter dans ta patrie. Tu abandonneras au milieu de leur cours 7 XIX| rivage, l'onde et la vie l’abandonnèrent, hélas ! en même temps. 8 IX| celui que n'ont jamais pu abattre Junon et une immense série 9 X| inanimés. Des oiseaux marins s'abattront sur mes ossements qu'on 10 V| parut certain. Le pin fut abattu, le bois façonné, la flotte 11 IV| couche qu’il fuit, qu'il abdique par de coupables actions.~ ~ ~ ~ 12 IX| Énumère tes hauts faits. Tu as abdiqué le rôle qui t'appartenait. 13 VII| menacent sur le sein des abîmes ? Avoir violé sa foi et 14 XV| mes yeux sont noyés dans d'abondantes larmes : vois combien il 15 XII| vaisseau vers Colchos, tu abordas aux rivages fortunés de 16 XX| défends-lui, si tu es sage, les abords de ta couche ; il expose 17 XXI| bien qu'elle ne veuille les abréger. En effet, une langueur, 18 XII| êtes-vous, troupe de Grecs, abreuvée aux eaux du Phase ? Pourquoi 19 XVI| verse le nectar dont ils s'abreuvent. Il était Phrygien, l'époux 20 VI| pouvoir s'étend sur les absents. Elle pique des images de 21 XVII| il y a de la vertu à s'abstenir d'un bien qui nous plaît. 22 VII| de tourments !~ ~ ~ ~Je m'abuse, et une illusion mensongère 23 XXI| maintenant, cherche encore à m'abuser par tes ruses : que fera 24 XIII| Iphiclus, à peine le vieil Acaste, à peine ma mère éplorée, 25 VII| violation de ma foi, en m'accablant de tortures, au-devant desquelles, 26 X| mains condamnées à une tâche accablante, moi, dont le père est Minos, 27 IV| succombe sous ce fardeau qui l’accable. Le crime devient un art, 28 XV| moi, continue-t-elle à m'accabler, et poursuit-elle, pour 29 XVI| le vent vont bientôt en accélérer la course. Tu traverseras, 30 XV| je suis plus propre aux accents de la lyre. Il me faut pleurer 31 VII| Renonçant à ces détours, accepte plutôt en dot et ces peuples 32 XII| où que ce fût, je l'ai accepté comme une faveur. Ma virginité 33 XIV| que les uns et les autres acceptent mes larmes. Moi, maintenant, 34 XX| de ma voix, tantôt de cet accident, qui se renouvelle autant 35 X| manquait à ma voix. Des coups accompagnaient les paroles que je prononçais.~ ~ ~ ~ 36 XII| j'ai quitté le palais, accompagnée de mes deux enfants et de 37 III| de Laërte. Ils devaient accompagner mon retour. De douces prières 38 XIII| doux pour tous deux) ; elle accompagnera le guerrier, lui prescrira 39 VII| dans la Dardanie, et qui accompagnèrent ta fuite (et puissent, à 40 XIX| et que mes destinées s'accomplissent avant ton forfait. Ce n' 41 VI| peuple, enfant de la terre, accomplit, en périssant par la guerre 42 XXI| du ressentiment. À peine accorda-t-elle une telle protection à son 43 III| bienfaits. Ce que, vainqueur, tu accordas à une ennemie, c'est une 44 X| mort mon frère et moi ; foi accordée à mes prières et qui fut 45 VI| mais, que les destins m'accordent seulement de revenir ! Je 46 XII| qu'elle sollicite, nous l'accordons au jeune fils d'Æson.~ ~ ~ ~ 47 XV| puisse marier aux savants accords de ma lyre ; les vers sont 48 XIV| et chancelants, les époux accourent ensemble à la voix de leurs 49 XVI| habite. Les femmes troyennes accourront à ta rencontre en troupes 50 XV| incomparable de ton siècle, accours, et repose, bel enfant, 51 I| dieux que, selon l'ordre accoutumé des destins, il ferme mes 52 XVIII| me creuse dans les ondes accoutumées offre une trace aussi battue 53 III| talents d'or, douze chevaux accoutumés à vaincre, et, ce qui était 54 XVI| mais elle ne faisait que s'accroître, et mon ivresse était du 55 XXI| cruelle déesse se fût-il accru. Malgré tout ce que je fais, 56 XX| empire, et ma flamme s'est accrue par les délais. Cet amour 57 II| ingrat, est de t'avoir accueilli, mais ce crime doit être 58 XVI| serrée ; et les aliments s'accumulent lentement dans ma bouche 59 I| une erreur, et que cette accusation s'évanouisse dans les airs : 60 XII| inventes-tu de nouvelles accusations contre ma figure et mes 61 VI| dise que j'ai témérairement accusé mon époux de crimes imaginaires ! 62 XX| vainqueur comme un époux ? Accuse-moi sans mesure, sois irritée 63 XII| virginale ? Que les autres m'accusent ; il te faut me louer, toi, 64 XVIII| y restent sourds ; je n'accuserai pas la mer d'être impraticable 65 VIII| céleste ? Quel astre funeste accuserai-je de mes malheurs ? Encore 66 I| absence d'un époux. Je n'accuserais pas, loin de lui, la lenteur 67 III| bouclier et la lance au fer acéré, et sur sa tête un casque 68 III| parmi les plus belles femmes achéennes, ton épouse entrera dans 69 VII| mon frère et aux ondes, j'achète le rivage dont je te fis 70 III| bassins d'airain d'un travail achevé, et sept trépieds où l'art 71 VII| fermer les portes à peine achevées de ma ville et préparer 72 I| pourvu seulement qu'il vive, acquerra des forces, mais sa faiblesse 73 XVI| dispute ta conquête, tu acquerras dans la postérité un nom 74 I| laisse se repaître des biens acquis au prix de ton sang ? L' 75 XX| immortels, mais la foi qu'on acquitte, lors même qu'elle n'a pas 76 XX| ta promesse à mon égard, acquitte-la envers la déesse. Elle était 77 III| humble et soumise, je m'acquitterai de la tâche qui me sera 78 XX| envers son fils ; témoin Actéon, regardé jadis comme une 79 XXI| serait trop dur de ne pas admettre, elle tousse pour me donner 80 XVI| restai ravi ; et, dans mon admiration, je sentis naître au fond 81 I| jeunes filles tremblantes les admirent. L'épouse est suspendue 82 XVI| quelle ville aurais-je à admirer un plus beau visage que 83 II| reproche est la seule que tu admires en lui. Perfide ! De l’héritage 84 XIX| blonde Laodicée, et Céléno, admise au ciel, et d'autres dont 85 XVIII| patrie ? Ou que ta Sestos m'adopte ou toi mon Abydos. Ton pays 86 VII| fraternelles, au nom des dieux adorés dans la Dardanie, et qui 87 XX| peut, si tu t'y prêtes, s'adoucir encore. Garde-toi, je t' 88 XIII| inachevées les prières que je t'adressais. Elle put à peine te dire 89 VI| mettre à la voile, tu m'adressas ces paroles, en versant 90 II| ai, pour ta santé, cruel, adressé aux dieux des prières, et 91 XVIII| deviendrai prudent. Je n'adresserai aucune plainte aux flots 92 XX| cette finesse. C'est par une adroite combinaison de mots, si 93 VI| royale demeure du vieil Aetas.~ ~ ~ ~J'avais résolu d’ 94 VI| d'Aeson, mais la fille d'Aetes, des bords du Phase, qui 95 XXI| plume a fatigué mes doigts affaiblis ; et ma main malade me refuse 96 XIX| variés.~ ~ ~ ~Ce sont ou les affaires publiques qui vous retiennent, 97 XIX| Celle-ci fait presque un signe affirmatif ; non qu'elle se soucie 98 III| plaisir ! » tu ne pourrais l’affirmer.~ ~ ~ ~Mais les Grecs pensent 99 XV| réjouit et triomphe de mon affliction ; il passe et revient sous 100 II| maintenant que ton amante s'afflige, c'est encore malgré elle. 101 IX| oreille incrédule, sont venus affliger mes sens. Une concubine 102 IV| toi-même. Ce n'est pas le seul affront qui nous vienne de lui. 103 XIX| ce nageur intrépide qui affrontait les flots ? Mais non, sois 104 VII| se brise contre la plage africaine. C'est à des époques déterminées 105 XV| de mes mouvements, dans l'agaçant badinage de mes propos, 106 V| m'agitait, et les femmes âgées et les vieillards les plus 107 IV| devait disparaître dans les âges suivants, appartenait à 108 XV| parcourt, à l'aide de sa rame agile, les plaines azurées de 109 XXI| flambeau, il eût mieux valu n'agir que selon les lois du bien, 110 XX| les dieux.~ ~ ~ ~Il ne s'agit pas de moi ; un soin plus 111 XVIII| toute crainte avec eux, j'agitais lentement mes bras dans 112 V| le trouble violent qui m'agitait, et les femmes âgées et 113 XVIII| Pourquoi suis-je en proie à l'agitation, toutes les fois que la 114 XIV| embrassements, et que tu agites tes bras encore engourdis, 115 IX| vaincus. C'est pour elle que s'agrandit la mesure de tes actions. 116 XIX| fertiles, des passe-temps agréables et variés.~ ~ ~ ~Ce sont 117 IX| mourir ? Ô famille maudite ! Agrius est orgueilleusement assis 118 XVIII| elle pût nager, et qu'elle aidât, comme auparavant, à me 119 II| raffermi la carène qui devait t'aider à m'abandonner ! Je t'ai 120 XVI| grandes récompenses sont l'aiguillon des luttes. Et toi, si le 121 XVIII| t'envoie le salut qu'il aimerait mieux te porter, fille de 122 XX| que la mort ; et ce que tu aimeras peut-être, moi, je l’aime 123 XVIII| pôle glacé. Les beautés qu'aimèrent Persée, Jupiter, Bacchus, 124 III| dispute à la matière. On y ajouta dix talents d'or, douze 125 IV| nœuds, Vénus elle-même a ajouté les siens. Il ne sera pas 126 II| belliqueuse. L'événement, ajoute-t-on, justifie l’entreprise. » 127 IV| virile n'aime que de modestes ajustements. Cette fierté même, ces 128 XI| visage ; la maigreur avait alangui mes membres ; ma bouche 129 XV| dans le monde entier ; et Alcée, qui, dans ma patrie, 130 VI| Phryxus. Tu n'es approuvé ni d'Alcimède ta mère (consulte-la plutôt), 131 XIX| charmes, et la brillante Alcyone, et Circé, et la fille d' 132 XVIII| par mon corps. Les seuls alcyons, fidèles au souvenir de 133 II| entendre un chant de tristesse. Alecto y fut présente avec son 134 VII| leur souffle. Maintenant l'algue légère arrête le vaisseau 135 XVIII| joies de cette nuit, que les algues de la mer Hellespontique. 136 XV| y préside ; l'aquatique alisier étend ses rameaux au-dessus 137 XX| après, une pomme en roulant alla, je ne sais comment, porter 138 VIII| Lorsque, à ton retour, j'allai à ta rencontre, j'avouerai 139 VI| compagne et toi, et si j'étais allée à ta rencontre avec nos 140 XII| par nos maux que tu peux alléger ; par ta race et la divinité 141 XVI| déjà ils allaient être allégés du poids qui les chargeait. 142 XVII| pourrai, moi, si je succombe, alléguer mon ignorance ; il n'y aura 143 | allons 144 IV| Le flambeau nuptial ne s’alluma point pour elle. Pourquoi ? 145 XI| portez ; que leur flamme allume mon bûcher. Que les Parques 146 III| guerriers déjà en désordre. Allumé pour moi, que pour moi ton 147 XII| brilla la flamme des torches allumées, que la flûte célébra votre 148 XX| feu des étoiles, et qui allumèrent ma flamme ; ce sont et ta 149 IV| Vénus ? Ce qui se fait sans alternative de repos ne peut durer longtemps, 150 XIX| et Circé, et la fille d'Alymone, et Méduse, avant que des 151 VI| on te les portât comme en ambassade au nom de leur mère, mais 152 XV| faut aller vers les rives d'Ambracie. Phébus, du haut de son 153 XVI| avertissement divin qui m'amène, et une déesse puissante 154 IX| concubine étrangère est amenée sous mes yeux, et je ne 155 XX| autres trouvent dans un suc amer un triste soulagement. Il 156 XII| nuits, mes veilles sont amères. Mon âme infortunée ne goûte 157 III| vénérables à mes yeux, par les âmes courageuses de mes trois 158 III| imposée. L'épais fuseau s'amincira quand ma main tiendra la 159 IX| dieu puissant. Ton père Amphitryon, Hyllus, notre enfant, sont 160 VIII| la ville de Mopsope aux Amycléens, Castor et Pollux. La fille 161 XIX| parmi tes conquêtes, et Amymone, et Tyro, si vantée pour 162 III| Les fils de Télamon et d'Amyntor sont venus te trouver. L' 163 XV| Lesbos ne peuvent me plaire : Anactorie est à mes yeux sans charmes, 164 X| étrangers.~ ~ ~ ~Plût au ciel qu'Androgée vécût, et que tu n'eusses 165 XXI| avais franchi Mycone, Ténos, Andros, et la blanche Délos était 166 XVIII| cependant le secours d'un animal ou d'un vaisseau, pourvu 167 XX| entrons en lutte, diversement animés ; nous n'avons ni une même 168 IX| encore lorsque la renommée m'annonça que mon époux périt sous 169 XVII| avertissements des devins, qui annoncèrent, dit-on, que Troie périrait 170 | ans 171 IX| point rougi du vainqueur ? Antée arracherait ces ornements 172 XVI| flancs. On place ensuite les antennes et les voiles, qui pendent 173 V| apprendre d'eux, et le grave Anténor et Priam lui-même. L'âge 174 I| Médon le cruel, Eurimaque, Antinoüs aux mains avides, et tant 175 VII| nous fit chercher, dans un antre profond, un abri contre 176 XIII| bientôt vaincue, cède aux anxiétés de la crainte.~ ~ ~ ~Ce 177 XVIII| si le courroux des mers s'apaisait. Si les dieux protègent 178 XIV| est sans doute pas encore apaisé, depuis le jour où une femme 179 XXI| impostures. Si tu ne veux pas apaiser Diane, tu n'as pas d'amour 180 III| La défaite d'un ennemi apaisera mieux ta soif de carnage. 181 XX| qui l'aurai excitée, j'apaiserai ta colère : que, pour la 182 XIII| favorable caresse les flots apaisés !~ ~ ~ ~J'envie le sort 183 XXI| confidente de mes secrets, ne s'aperçoive de cet échange d'entretiens. 184 XVIII| yeux, fixés vers ce point, aperçoivent ou croient apercevoir les 185 VIII| Scyros. À peine me suis-je aperçue de cette coupable méprise, 186 XVI| qui les pût captiver. Je t'aperçus, je restai ravi ; et, dans 187 XIX| fille de la mer, elle t'en aplanira les routes. J'ai voulu souvent 188 XV| paroles qui ont toute l'apparence de la réalité : ma bouche 189 XXI| dont les causes ne sont pas apparentes, oppose à tous les remèdes 190 XVI| Il lui sembla, dans les apparitions d'un songe, qu'il sortait 191 VII| nous unir. Pourvu qu'elle t'appartienne, Didon consentira à être 192 XVIII| céleste, tant de grâces n'appartiennent véritablement qu'aux déesses. 193 XVI| Minos ; Minos cependant n'appela pas les Crétois aux armes. 194 X| Les lieux où j'errais t'appelaient autant de fois que moi-même, 195 XIII| quitté ces lieux ; le vent appelait tes voiles ; c'était celui 196 XX| Celui-ci craint d'être appelé imposteur ; celle-ci parjure. 197 XV| Malheureuse ! j'allais presque l'appeler mon amant ! Faites qu'il 198 XX| acte le nom de fraude et appelle-moi trompeur ; si cependant 199 VI| écriai-je, ou le destin m'appelle-t-il vers ses mânes ? »~ ~« Il 200 XIX| les vents mugir, et je n'appellerais jamais de mes vœux le calme 201 XIII| compagne, partout où tu m'appelleras, soit qu'il t'arrive ce 202 XVII| tu désires, et ce que tu appelles un entretien. Mais tu as 203 X| Thésée, des mains encore appesanties ; personne à côté de moi ; 204 XI| médicaments ma nourrice ne m'apporta-t-elle pas ? Combien m'en fit prendre 205 XXI| honteux de la joie qu'il apportait au milieu d'une foule attristée, 206 XII| elles, et qu'il y avait apporté des mortels audacieux, que 207 XVI| encore combien ce moment m'apporte-t-il d'angoisses ! Puissent mes 208 XVI| Cette flamme, je l'ai apportée, je ne l'ai pas trouvée 209 VI| qu'elle. La dot que je t'apporterai sera Lemnos, terre si favorable 210 XVI| imprudent soit capable d'apprécier le mérite de ta beauté ? 211 XIX| de tes fatigues.~ ~ ~ ~J'appréhende quelquefois que ma patrie 212 XXI| seuil, il voit des larmes, l'appréhension de la mort, et tout un appareil 213 XIV| entendais en effet ; mes appréhensions étaient réelles. Mon sang 214 I| faisait toujours pâlir. M'apprenait-on qu'Antiloque avait été vaincu 215 XVI| véridique et fidèle te l'apprendra. J'étais encore, par un 216 XVI| Livre-toi seulement, et tu apprendras quelle est la constance 217 V| de l’honneur un honteux apprentissage que de préférer à la patrie 218 VII| les vents, et dont tu t'apprêtes à traverser les flots furieux. 219 XIII| donne plus aucun soin aux apprêts de ma chevelure ; je n'aime 220 XIX| mes sacrifices. Car, aux approches de l'aurore, lorsque déjà 221 VIII| audace de son fils. Achille n'approuva pas jadis, et il n'approuverait 222 VI| bélier de Phryxus. Tu n'es approuvé ni d'Alcimède ta mère (consulte-la 223 XX| sembla, par un signe de tête, approuver ce que tu disais.~ ~ ~ ~ 224 VIII| approuva pas jadis, et il n'approuverait pas aujourd'hui, qu'un époux 225 XIX| languissants de sommeil, et j'appuyai ma tête sur mon coussin. 226 XV| aussi que la tienne est appuyée sur les miens ; quelquefois 227 XIX| sentir tes bras humides s'appuyer sur mes épaules. Puis, je 228 XV| une divinité y préside ; l'aquatique alisier étend ses rameaux 229 XV| cheveux ; les parfums de l'Arabie ne sont plus répandus en 230 XVI| messager ailé ; tu es l’arbitre de la beauté ; mets fin 231 X| laquelle apparaissent des arbustes en petit nombre. De là pend 232 XVIII| pas sur Hélicé ou sur l'Arcture, constellation qui sert 233 XV| brûle de feux non moins ardents que ceux de l'Etna. Il ne 234 XVIII| rayons dont brille ton disque argenté font céder à tes feux tous 235 VI| Qu'avais-je affaire aux Argonautes ? Qu'avais-je affaire au 236 X| ÉPÎTRE X~ ARIANE À THÉSÉE~ ~ ~ ~J'ai trouvé 237 XVIII| mon vêtement sur la plage aride ; trois fois je tentai de 238 VIII| pouvais-tu faire ? Un père armait ton bras. J'aurais voulu 239 XVI| réclamée par un tumultueux armement, ou l'armée des Grecs devra 240 VIII| bien jeune encore, je m'arrachais les cheveux, et m'écriais :~ ~ ~« 241 XXI| impitoyable déesse nous arrache-t-elle, à moi la vie, à toi l'espérance 242 IX| rougi du vainqueur ? Antée arracherait ces ornements du cou vigoureux 243 VII| dieux pénates ? Ces dieux arrachés aux flammes, l'onde les 244 XVI| je le dois. Tel fut l'arrêt du destin ; tu tenterais 245 XII| plus jeune de mes fils, s'arrêtant, par mon ordre et par curiosité, 246 II| abusée. Le choix du trépas m'arrêtera peu. Tu seras nommé sur 247 XI| un aveu suffisant. Déjà s'arrondissaient mes flancs coupables ; ce 248 XIII| prodigue l'encens, je l'arrose de mes larmes, et la flamme 249 V| Le sable du rivage est arrosé de mes pleurs. Je prie les 250 VII| frère, dont la main impie, arrosée du sang de mon époux, peut 251 XXI| flambeaux, autant de fois arrosés d'huile, se sont ranimés 252 XII| furent le moindre de tes artifices) touchèrent le cœur d'une 253 XV| sujet de mes vers, et les arts qui m'asservissent, me donnent 254 X| à mon esprit sous mille aspects divers. On souffre moins 255 XVI| cornes d'Achéloüs, quand il aspira, ô Déjanire, à tes faveurs, 256 XVII| alors que mille prétendants aspiraient à ma main vierge encore. 257 XVI| voir et de rare ; mais je n'aspirais qu'à contempler tes charmes 258 V| un homme puissant et j'y aspire. Le sceptre peut bien aller 259 XIII| Fassent les dieux que tu n'aspires pas à te montrer intrépide ! 260 XX| caresser tes mains, ni m'asseoir sur ta couche ! Oui, combien 261 XV| vers, et les arts qui m'asservissent, me donnent les mœurs qu' 262 V| petits cachés ? Ta compagne assidue, j'ai tendu des filets aux 263 XVII| certainement inventée, qui m'assigne et me donne comme le prix 264 XVI| atteint le but qui lui est assigné. Peux-tu lui accorder des 265 IV| du trône paternel ? Il t'associa les frères que je t'ai donnés, 266 II| bienfait de l'hospitalité en t'associant à ma couche, et d'avoir 267 VI| fait subir. Le pouvoir qui assoupit le dragon féroce, c'est 268 VI| pas être cruelle. J'eusse assouvi dans le sang de cette concubine 269 XX| colère se sera pleinement assouvie, et autant qu'elle l'aura 270 XII| Cependant le roi t'avait dit d'assujettir à un joug inaccoutumé le 271 XVI| des dieux, exige en pleine assurance l'accomplissement des mes 272 XVII| richesses et en population, assurément le tien est barbare.~ ~ ~ ~ 273 VIII| la colère céleste ? Quel astre funeste accuserai-je de 274 IV| fils d'Œnéus brûla pour Atalante du mont Ménale, et celle-ci 275 XVIII| blanchit la mer de la fille d'Athamas, et les vaisseaux sont à 276 II| maintenant, dit-on, dans la docte Athènes. Un autre se trouvera pour 277 XVIII| pas nier, cruel, qu'une Athénienne t'ait jadis embrasé de ses 278 XVII| autour de lui. Hippodamie d'Atrace n'a-t-elle pas forcé les 279 III| devait traverser le tueur Atride. Mais plutôt, conserve ma 280 V| Comme le plus jeune des Atrides, crie maintenant à l'outrage 281 X| faisaient des signaux. J'attachai à une longue verge un voile 282 XVI| pas à un étranger, s'il y attachait un grand prix, le trésor 283 XIV| rends à ta sœur un peu de l'attachement qu'elle te porte, si tu 284 XVI| ne fut pas en butte aux attaques de Colchos. Thésée, qui 285 XIX| nulle tempête ne pourrait t'atteindre. Alors certainement j'entendrais, 286 IV| avec peine les premières atteintes de l’amour, et le mien succombe 287 XII| or, presse les coursiers attelés à son char. »~ ~ ~Soudain 288 XIX| route facile et sûre. En attendant, et puisque tu ne peux encore 289 X| de la recevoir que de l'attendre. Je vois déjà venir à moi, 290 III| tous mes membres.~ ~ ~ ~Qu’attends-tu pourtant ? Agamemnon se 291 IX| point passer pour avoir attenté à tes jours. Nessus, lorsqu' 292 XVII| intacte, et sa continence atténue sa faute ; ce jeune héros 293 II| encore aux dieux que tu attestais. Que m'ont servi tant de 294 X| désordre de mes cheveux, attestant ma douleur, et ma tunique 295 VI| à peine croire à ta vie, attestée par le nom d'un dieu. Dès 296 II| sont les dieux sans nombre attestés par ta bouche parjure ? 297 XV| Cydno sans charmes aussi ; Atthis ne me paraît plus belle 298 II| ramène point de navires de l’Attique. À compter les instants, 299 X| tes mains un fil qu'elles attiraient vers toi !~ ~ ~ ~Je ne m' 300 XII| entraînait : tes yeux avaient attiré mes regards. Perfide, tu 301 XXI| inconstance des vents.~ ~ ~ ~Attirée par la réputation de cette 302 XX| veux commettre. Garde-toi d'attirer contre toi les flèches meurtrières 303 XVII| coupable, m'offrir de plus sûr attrait que toi-même. Ou je conserverai 304 XX| pourvu que cette fraude soit attribuée à l'amour. Quel était le 305 XXI| t'épargne : quelques-uns attribuent ce qui se passe à tes maléfices. 306 VIII| hôte du mont Ida emmena au-delà des mers, vit les Grecs 307 XX| garde que les traits de l'aube ne te blessent à ton tour ; 308 XI| m'en fit prendre sa main audacieuse, pour détacher entièrement 309 XVIII| donner maintenant ses ailes audacieuses, quoique le rivage d'Icare 310 IX| mère. Je ne rappellerai ni Augé, violée dans les vallons 311 XII| crainte ; la crainte même augmentait mon amour. C'était le matin ; 312 XX| permis n'ont fait que l'augmenter. Tu m'avais donné l'espérance. 313 XIII| par les vents, tu restes à Aulis : ah ! quand tu me fuyais, 314 XVI| soucis. Dans quelle ville aurais-je à admirer un plus beau visage 315 XVIII| Olénus, conjurés contre moi, auront bouleversé les mers ? Ou 316 II| Souvent j'ai pensé que les autans orageux ramenaient tes voiles 317 XVI| de mépriser un amour qu'autorisent les destins ; et puissent, 318 V| que tu donnes pouvait l'autoriser à te tromper.~ ~ ~ ~Une 319 XX| frayé un chemin à la haie d'autrui ? Ce sein est à moi ; tu 320 XVII| les deux autres déesses auxquelles ton jugement, si tu ne te 321 XX| vie. Pourquoi tes parents, auxquels tu laisses ignorer ta faute, 322 VI| moi-même ? Quelle mort n'avais-tu pas méritée pour prix de 323 VI| venu me visiter. À peine avait-il touché le seuil de ma demeure :~ ~ ~« 324 V| les vieillards les plus avancés dans la vie. Mon malheur 325 XVIII| déjà s'était levé Lucifer, avant-coureur de l'Aurore. Nous précipitons 326 XV| sur mon cou, j'erre à l'aventure. Je vois la grotte tapissée 327 XVIII| ou il me précipitera en aveugle dans les ondes.~ ~ ~ ~Et 328 XVIII| déesse du Cynthe, que d'aveugles clartés. »~ ~ ~Après ces 329 IV| son empire. Pardonne à ces aveux, et dompte un cœur cruel. 330 | avez 331 XV| propos, et, lorsque nous avions tous deux épuisé la volupté, 332 XV| que j'eus reçu d'elle cet avis, je cessai de l'entendre 333 XXI| et pleine de confusion, avoué à ma mère le pacte de ma 334 VIII| allai à ta rencontre, j'avouerai la vérité, les traits de 335 XXI| surprise, si, comme tu l'avoues, tu ne me croyais pas assez 336 IV| étincelants, ramène sur son axe brillant la douce chaleur 337 XV| rame agile, les plaines azurées de la mer, et ses richesses 338 X| désordre, semblable à une bacchante agitée par le dieu qu'adore 339 XV| mouvements, dans l'agaçant badinage de mes propos, et, lorsque 340 II| là dans les ondes qui en baignent la base, et puisque ta trahison 341 XIV| ensevelis ensuite mes os baignés de tes larmes fidèles, et 342 XXI| silence, et mes paupières baissées simulent le sommeil ; s' 343 XI| rougis ; la pudeur me fit baisser les yeux sur mon sein : 344 XVII| moins ainsi jugé. Comme il balançait à s'éloigner :~ ~ ~« Fais 345 XVIII| ce corps qui fut souvent balancé, suspendu sur les flots. 346 VII| sais quel étranger. Que balances-tu à me livrer enchaînée au 347 XXI| aux tiens, je suis, moi, ballottée comme un vaisseau que lance 348 II| vaisseaux, depuis longtemps ballottés sur les mers, les ports 349 XI| olivier, sous de légères bandelettes. Elle simule un sacrifice, 350 I| autels. La dépouille des barbares est déposée aux pieds des 351 XV| propice qui fait voguer ma barque.~ ~ ~ ~Mes cheveux flottent 352 II| ondes qui en baignent la base, et puisque ta trahison 353 XIV| prononce ces mots à voix basse :~ ~ ~« Tu as, Hypermnestre, 354 III| magnifiques présents : vingt bassins d'airain d'un travail achevé, 355 XIII| brillants exploits du champ de bataille ? Tandis que tu me les diras, 356 IX| un pesant fardeau, ni le bataillon équestre qui, malgré la 357 XIII| route vers la ville qu'il a bâtie. Où allez-vous ? Regagnez 358 XII| la porte ouverte à deux battants :~ ~ ~« Quitte ces lieux, 359 XX| son doigt interroge les battements de ta veine, souvent, sous 360 XIX| avec quel bruit les vagues battent le rivage ! Quels nuages 361 XVIII| accoutumées offre une trace aussi battue que l'ornière foulée par 362 XVIII| murmures, et les eaux, toujours battues, ne sont nulle part apaisées. 363 XVII| Les vaisseaux, maintenant battus par la tempête, on les a 364 XXI| les champs d'Ilion ; aucun baudrier d'amazone, orné de ciselures 365 XV| songes, mes songes plus beaux qu'un beau jour. Là je te 366 XV| siècle, accours, et repose, bel enfant, sur mon sein : si 367 II| pour gouverner la Thrace belliqueuse. L'événement, ajoute-t-on, 368 XIV| Lève-toi, descendant de Bélus, le seul qui survives de 369 V| pauvre, lorsque, encore berger, tu conduisais les troupeaux, 370 V| servir mes mains à sa science bienfaisante. Toute herbe secourable, 371 I| absence laisse se repaître des biens acquis au prix de ton sang ? 372 II| te voit plus, et l'onde bistonienne ne lavera pas tes membres 373 XVI| Érechtée ; et les rivages bistoniens restèrent à l'abri de la 374 XX| charmes. Je suis loin de blâmer la conduite de Pâris ni 375 XIII| tête que je voudrais voir blanchir, que je voudrais que tu 376 XX| craindrai-je que ta main ne se blesse sur mon corps.~ ~ ~ ~Mais 377 XII| dit : « Adieu. » Lorsque, blessée d'un trait fatal, j'eus 378 IX| fardeau, un masque fait pour blesser ceux qui le portent. Si 379 XXI| amour est si cruel ? Si tu blesses ce que tu aimes, tu feras 380 IV| jeunes taureaux se sentent blessés par le premier joug qu'on 381 V| milieu de ses transports. Mes blonds cheveux se sont dressés 382 XVI| Il est, dans les vallons boisés de l’Ida, un lieu solitaire, 383 XVII| cessât d'être dans toutes les bouches ! Cependant je n'en ai pas 384 XII| avec des glaives et des boucliers. Moi-même, moi qui t'avais 385 XVIII| pour moi qu'une année, que bouillonnent et mugissent les eaux de 386 XVIII| conjurés contre moi, auront bouleversé les mers ? Ou je ne sais 387 XVIII| que la poix ; et la mer, bouleversée par les vents, est à peine 388 XVIII| lorsque les Pléiades et le Bouvier et la Chèvre d'Olénus, conjurés 389 III| ta lance du mont Pélias, brandie par un bras vigoureux, traverse 390 IV| que d’un bras nerveux, tu brandisses un pesant javelot, la vigueur 391 XIV| sacrilège encens sur les brasiers, qui l'exhalent à regret. 392 XIX| cette mer qu'autrefois tu bravais ? Car je me souviens du 393 XIX| vainqueur des flots orageux ! brave les mers sans cesser de 394 XIII| et vous vous disposez à braver les ondes. Qui voudrait, 395 XVIII| soit près de ces lieux ! Je braverai tous les périls, pourvu 396 XVI| vont paître ni la paisible brebis, ni la chèvre amante des 397 XII| Moi qui, par de savants breuvages, ai repoussé des feux terribles, 398 XII| frapper mes oreilles, que brilla la flamme des torches allumées, 399 XIII| couche, tu me raconteras tes brillants exploits du champ de bataille ? 400 III| même que demain, lorsque brillera l'aurore, tu dois livrer 401 II| délire, réparé ta poupe brisée, raffermi la carène qui 402 XII| crédulité. Que n'avons-nous été brisés, écrasés par les Symplégades ! 403 XII| te vis, je défaillis ; je brûlai d'une flamme inconnue, comme 404 XVI| tu me plaisais déjà ? Je brûlais, bien que le feu fût loin 405 VII| ai-je craint pour moi ? Brûle-moi, je le mérite. Ce supplice 406 XVI| amour. Bientôt, tant elles brûlent de triompher, elles se hâtent 407 IV| inaccoutumée, je suis heureuse de brûler d'un feu digne de moi. Je 408 XII| elle pleurera, et elle brûlera de feux qui surpasseront 409 XV| et dit :~ ~ ~« Puisque tu brûles d'un feu qui n'est point 410 XV| ardent de sa patrie eût bruni son visage. Souvent aussi 411 VI| désordre. Elle enlève aux bûchers encore tièdes les ossements 412 IX| cavales de chair humaine ? Si Busiris t'eût vu sous cette parure, 413 XXI| comme celui d'Hippolyte, le butin de ta victoire. Faut-il 414 XIII| la double corne, je vais, çà et là, où me pousse mon 415 V| paille épaisse, une humble cabane nous défendit contre les 416 XII| éloignaient pour pleurer, et me cachaient leurs larmes. Qui eût voulu 417 IV| aima Europe. Un taureau cachait le dieu sous sa forme. Pasiphaë, 418 XVII| ces intelligences trop peu cachées. Souvent, avec un léger 419 XIX| rivage ! Quels nuages épais cachent et dérobent le ciel ! Peut-être 420 XIV| main tremblante. Je ne le cacherai pas : trois fois ma main 421 I| quel lieu du monde tu te caches, insensible à mes larmes. 422 V| fauve tenait ses petits cachés ? Ta compagne assidue, j' 423 XIV| a raconté la vieillesse caduque ? Ma seule vie peut me fournir 424 IV| lorsque mon transport est calmé. Moi seule je connais l' 425 VII| semble rien. Les vents se calmeront bientôt, et sur les ondes 426 XVI| la renommée est presque calomnieuse sur ta beauté. Je trouve 427 XX| outragée. Témoin le sanglier de Calydon ; car il se trouva, nous 428 I| vieux Priam. C'est ici que campait le fils d'Éaque, ici Ulysse. 429 XI| ÉPÎTRE XI~ CANACÉ À MACÉRÉE~ ~ ~ ~Si des taches 430 II| jeune fille crédule. Ma candeur était digne de récompense. 431 II| feindre ? Sont-elles aussi capables d'artifice, et coulent-elles 432 XI| il dirige ton vol, Eurus capricieux. Il commande, hélas ! aux 433 I| et cependant des bœufs captifs y promènent la charrue d' 434 XVI| trouvaient plus rien qui les pût captiver. Je t'aperçus, je restai 435 IX| désordre, à la manière des captives ni d'un air timide et convenable 436 XVII| nous sommes réciproquement captivés, moi par tes charmes, toi 437 III| peine en bien former les caractères grecs. Les taches que tu 438 VIII| fit pas entendre les mots caressants d'une bouche qui s'essaie 439 XX| ordres des médecins, ni caresser tes mains, ni m'asseoir 440 VII| de venir, et que le sol carthaginois n'eût pas été foulé par 441 XVI| voulais m'ouvrir. Ma sœur Cassandre accourt, les cheveux épars, 442 VIII| de Mopsope aux Amycléens, Castor et Pollux. La fille de Tyndare, 443 XVIII| un pareil spectacle. La catastrophe d'Hellé a valu à ces ondes 444 II| son amante. C'est lui qui causa son trépas, elle qui le 445 XVIII| dire : « C'est moi qui ai causé sa mort. » Ce présage de 446 XXI| Latone, et je la soupçonne de causer le mal que j'éprouve. Pourquoi, 447 V| les tourments qu'elle m'a causés la première.~ ~ ~ ~Ce qui 448 IV| reculerai ni devant les roches caverneuses ni devant la dent oblique 449 XV| Déjà pauvre, mon frère, cédant aux charmes d'une esclave, 450 IX| plains qu'un vainqueur ait cédé à celle qu'il avait vaincue. 451 VII| livrera la possession ? Qui cédera, pour qu'ils s'y établissent, 452 IX| Hercule. Tu n'as pas rougi en ceignant la ceinture méonienne, à 453 IV| mon grand-père, le front ceint de rayons étincelants, ramène 454 XII| torches allumées, que la flûte célébra votre union par des sons 455 XV| dont la lyre éolienne a célébré les noms, femmes de Lesbos, 456 XVI| Aussi la renommée t'a-t-elle célébrée au loin ; aussi tes charmes 457 XIX| nage ; ces eaux sont moins célèbres que celles du moindre étang. 458 XVIII| valu à ces ondes une triste célébrité : c'est assez ; qu'elles 459 XIX| et la blonde Laodicée, et Céléno, admise au ciel, et d'autres 460 IV| ne sera pas difficile de celer le mystère de notre amour. 461 XVII| croire que des créatures célestes aient soumis leur beauté 462 XVII| seras devenu à la fois et le censeur et l'auteur de ma faute. 463 XIV| éloges, on m'accuse ! La centième de cette foule de parents, 464 XX| entoure ; elle se nomme Céos. C'est ma patrie ; et, s' 465 XV| blanche, Andromède, fille de Céphée sut plaire à Persée, quoique 466 IX| formes, n'en avait qu'une, ni Cerbère, qui, d'un tronc unique, 467 XIV| torches qui servirent aux cérémonies nuptiales ou qu'il m'égorge 468 IV| vins à Éleusis la ville de Cérès, j'aurais voulu que la terre 469 IV| étendue des forêts, presser le cerf dans les toiles, exciter, 470 XVII| et Éthra m'en a rapporté certaines paroles. Mais tout dissimule, 471 XVI| prospères, je suis, à des signes certains, reconnu pour un royal enfant. 472 XVI| préféré. Je ne te donnerai certes pas un beau-père qui fasse 473 XV| reçu d'elle cet avis, je cessai de l'entendre et de la voir ; 474 XVII| successeur ! Pour que mon nom ne cessât d'être dans toutes les bouches ! 475 XX| aime, je l'avoue, je ne cesserai de déplaire ; je te poursuivrai 476 IV| culte), l'arc que tu ne cesserais jamais de tendre deviendrait 477 XV| amour a fait mon déshonneur, cessez de venir en foule à mes 478 I| salut de leurs maris, et ceux-ci chantent les destins de 479 XVIII| fidèles au souvenir de Céyx tant aimé, me semblaient 480 XV| encore, met le comble à mes chagrins. Enfin tu viens t'ajouter 481 IX| nourrissait ses cavales de chair humaine ? Si Busiris t'eût 482 XVII| auprès d'Ipséa, sa mère, de Chalciope, sa sœur. Je ne crains rien 483 XIV| sa ville. Alors, ivres et chancelants, les époux accourent ensemble 484 XIX| la mer avait subitement changé. Souvent, quand tu te hâtes, 485 V| Œnone, l'eau du Xanthe, changeant son cours, remontera vers 486 XIX| ou bien, une marâtre, changée en déesse des ondes, soulève-t-elle 487 XV| vouée, protège celle qui t'a chantée.~ ~ ~ ~La fortune, qui a 488 XIX| plus grand nombre encore, chantées par les poètes, pour avoir 489 I| leurs maris, et ceux-ci chantent les destins de Troie vaincus 490 XV| elle a perdu. Mon frère Charaxus se réjouit et triomphe de 491 XVII| Ma renommée aussi m'est à charge ; car plus ta bouche persiste 492 XIV| enfermée dans une prison, et chargée de chaînes pesantes. La 493 XV| vanter, et dont l'esprit te charma tant de fois. Je voudrais 494 XV| a ravi tout ce qui vous charmait naguèreMalheureuse ! j' 495 VII| cherches où est la mère du charmant Iule, elle a péri, laissée 496 XI| fois s'était levée la sœur charmante de Phébus, et la dixième 497 XII| que je ne devais l'être, charmée par ta blonde chevelure, 498 XIV| naguère, elle ne puisse plus charmer Jupiter. La génisse nouvelle 499 III| offrirai alors à ses yeux charmés. Quoique barbare et plus 500 XIX| trame du fuseau mobile, nous charmons, par ces occupations de 501 XVIII| épouse de Tithon allait chasser la nuit devant elle ; déjà 502 XIV| paroles que je prononçai chassèrent de tes yeux le sommeil :~ ~ ~« 503 XIV| la guerre ; nous sommes chassés de notre patrie, de notre 504 VIII| armée, l'autre était le chef des chefs. Tu as aussi pour 505 XX| ouvrage ne soit partout un chef-dœuvre. Il n'est pas surprenant 506 VII| les montagnes, c'est le chêne qu'on voit croître sur la 507 VIII| que tu étais Hélène. Tu cherchais, toi, qui pouvait être ta 508 XV| le corps inanimé du fils chéri qu'elle a perdu. Mon frère 509 XXI| jour désiré par des parents chéris, mon corps devient la proie 510 IX| la donne, et son sang de cheval en infecta les eaux. Mais 511 XX| mains, qui s'assied à ton chevet, lui que détestent les dieux 512 XIX| empêche d'en redouter de chimériques ! Pour moi, un vain outrage 513 XVIII| jusqu'à cette ressource. Le choc furieux des flots blanchit 514 III| sauront filer la laine. Choisie parmi les plus belles femmes 515 XVI| hôte. Il ne pouvait mieux choisir son temps pour visiter le 516 XVII| hardie ; c'est celui que choisira toute fille sensée. Et même, 517 XVII| dignes de toi.~ ~ ~ ~Je choisirais ce parti, si j'étais sage 518 VI| craignais que ton père ne se choisît une bru dans une des villes 519 XV| moi tes ailes pendant ma chute ; que ma mort ne soit pas 520 XVI| sur le mobile élément. Les cimes du Gargare sont dépouillées 521 XVI| pas, la flamme exhalera le cinnamome, et la victime fera retentir, 522 IV| Vénus et par le fils de Cinyra, étendus l'un près de l’ 523 XIX| la brillante Alcyone, et Circé, et la fille d'Alymone, 524 VIII| armes t'ont servi dans une circonstance odieuse, mais que pouvais-tu 525 XVI| armes. La terreur, dans ces circonstances, est d'ordinaire plus grande 526 XXI| baudrier d'amazone, orné de ciselures et d'or, ne fut, comme celui 527 VII| Carthage, et voir du haut de ta citadelle les peuples soumis à tes 528 XVII| empêche que mon nom ne soit cité à côté de ces rares modèles ? 529 XX| Tu ignores tes droits : cite-moi ; pourquoi m'accuser absent ? 530 VIII| les exploits d'un père à citer. Le petit-fils de Tantale 531 XVI| quatrième exemple que l’on citera. La flotte troyenne est 532 III| guerre est l'ennemie de la cithare, que la nuit et l'amour 533 VI| périssant par la guerre civile, les destins de sa vie éphémère. 534 XVIII| du Cynthe, que d'aveugles clartés. »~ ~ ~Après ces paroles 535 XIX| Conserve, dans ta clémence, deux existences à la fois : 536 XVI| sommeil paisible qui les vient clore. Que feras-tu présente, 537 VI| entraînait, de repousser cette cohorte étrangère à l'aide de mes 538 IX| craint de cacher sous une coiffure recherchée tes cheveux hérissés. 539 XII| os seraient alors restés collés à tes os. Plût au ciel que 540 II| y fut présente avec son collier de courtes vipères, et la 541 IX| ondes fatiguées, a vu des colliers suspendus au cou d'Hercule, 542 XX| je suis au pied de la colline ; mon ardeur essaiera de 543 XV| Souvent aussi de blanches colombes s'unissent à d'autres dont 544 IV| chevelure. Une chaste rougeur colorait tes joues d'un noble incarnat. 545 XVII| aura pas de méprise pour colorer l'odieux de mon crime. L' 546 VIII| époux. Lui aussi, s'il ne combat pour lui-même, me sera enlevé. 547 XIX| passion et la décence, se combattent en moi. Je ne sais lequel 548 XVII| Tandis qu'il est nouveau, combattons plutôt un amour qui commence ; 549 XIII| récentes de sa maîtresse, ne combattra qu'avec prudence, et tournera 550 XIII| Toutefois, tant que tu combattras, que tu porteras les armes 551 XX| finesse. C'est par une adroite combinaison de mots, si toutefois il 552 II| lorsque tu étais pauvre, te combla de présents, et voulait 553 II| présents, et voulait t'en combler encore, qui soumit à ton 554 VIII| Le petit-fils de Tantale commandait à tous, à Achille lui-même. 555 XVIII| furtives amours.~ ~ ~ ~Lorsque commençait la nuit (ce souvenir m'est 556 XVI| coupable que pour moi seul. Commettons maintenant une faute que 557 V| ce nom la faute qu'elle a commise. On n'est pas enlevée si 558 I| guerre, et ma crainte serait commune à beaucoup d'autres. Je 559 XVIII| le trouble des flots se communique à son âme. À quoi me sert 560 XII| méprisable, songe à nos enfants communs ; une marâtre cruelle poursuivra 561 III| du sang, l’autre est ton compagnon. À eux s’était joint le 562 XX| maîtresse, ordonne-moi de comparaître. Libre en ta volonté, arrache 563 XII| Va maintenant, perfide, compare à ces dons l'opulence du 564 XX| sérieuse ? Enfin, pour pouvoir comparer les dangers qu'ils courent 565 XVI| plus que Ménélas, si tu compares nos traits et notre âge, 566 III| de pertes tu fus ma seule compensation. Tu étais mon maître, mon 567 XVI| elle que je dus une brise complaisante et des vents propices : 568 XI| crime ? »~ ~ ~Et ma vieille complice, en me fermant la bouche, 569 VIII| le père de Pélops, et en comptant mieux encore, tu es le cinquième 570 XII| où est ma dot ? Je l'ai comptée dans ce champ qu'il te fallait 571 XVII| comme eux, et lorsque vous comptez le plus sur sa constance, 572 X| comme une esclave, mes mains condamnées à une tâche accablante, 573 VIII| flèches d'Apollon ! Père, il condamnerait la coupable audace de son 574 XVI| mon audace eût, aux mêmes conditions, produit des hauts faits, 575 XII| effroyables menaces ; j'irai où me conduira la colère. Peut-être me 576 XVIII| dis quel chemin peut me conduire jusqu'au séjour des dieux.~ ~ ~ ~ 577 V| lorsque, encore berger, tu conduisais les troupeaux, Œnone était 578 XI| Phébus, et la dixième lune conduisait ses coursiers lumineux. 579 XVI| mis la dernière main à la confection de la flotte, elle reçut 580 XVIII| voix ; le reste, ma main le confia à ces feuilles. Ah ! combien 581 XV| quelque chose : ils furent les confidents de mon bonheur. Là, éperdue, 582 VII| le vaisseau déjà lancé. Confie-moi le soin d'observer le temps, 583 XVII| laissée avec toi ; il m'a confiée à ma propre vertu, à l'honneur 584 XII| craindre après cela ?) de me confier à la mer, moi femme et déjà 585 VII| flots en courroux ? Tu te confies à cet élément dont tu as 586 XVI| toutefois que la parole te confirme la vérité, je brûle : tu 587 II| tendres et longs baisers, confondre tes larmes avec mes larmes, 588 XXI| à la terre, et pleine de confusion, avoué à ma mère le pacte 589 XVI| empêchent-elles de profaner l'amour conjugal, et de violer les chastes 590 V| l'outrage fait à la foi conjugale, ainsi tu crieras à ton 591 XIX| d'hier, quoique j'en aie conjuré l’effet par mes sacrifices. 592 XVIII| Bouvier et la Chèvre d'Olénus, conjurés contre moi, auront bouleversé 593 XVIII| reste est un mystère que connaissent avec nous la nuit, la tour, 594 IV| autant plus d'empire qu'on le connaît plus tard. Je brûle intérieurement, 595 IV| native d'un cœur qui ne connut jamais le crime doit être 596 XVI| eusse du moins auparavant conquis sur toi quelque droit ; 597 II| d'homme, celui de Thèbes conquise par ses armes, des centaures 598 II| présida à cet hymen et le consacra par des hurlements. Un oiseau 599 XIII| sinistre, et que mon époux consacre ses armes à Jupiter, qui 600 II| image, après les leurs, soit consacrée par cette inscription : 601 XV| eaux de Leucade. Alors je consacrerai, comme un don, à Phébus 602 XVI| mère de l'Amour, qui m'a conseillé ce voyage, ne t'ait pas 603 XIV| mon naturel et mon âge me conseillent la douceur ; une arme sanguinaire 604 XVII| suivrai-je comme tu me le conseilles ? Verrai-je Troie si vantée, 605 XI| mes membres ; ma bouche ne consentait qu'avec peine à prendre 606 VII| elle t'appartienne, Didon consentira à être quoi que ce soit. 607 XIV| forfait ; c'est la suite, la conséquence inévitable des actions criminelles.~ ~ ~ ~ 608 XIX| rivage, comme si le sable conservait les traces qui s'y imprimèrent. 609 XX| sur l'incertitude de ta conservation ? Et pourquoi l'ignoreraient-ils ? 610 XII| c'est la vie que je t'ai conservée ; ma dot, c'est la jeunesse 611 XVII| attrait que toi-même. Ou je conserverai éternellement sans tache 612 XIV| tu bois à une source, tu considères avec stupeur ta figure ; 613 III| malheureuse amante ? Qui consolera Briséis abandonnée ? Oui, 614 II| son trépas, elle qui le consomma. »~ ~ ~ 615 XIV| croirais capable d'avoir consommé le meurtre de son mari craint 616 X| fut un vain nom ; tout a conspiré contre moi, sommeil, vent, 617 XVIII| Hélicé ou sur l'Arcture, constellation qui sert aux Tyriens ; mon 618 XI| vient vers moi d'un air consterné, et prononce ces cruelles 619 XII| parlé : vous vous levez tous consternés, et la table surchargée 620 XVI| les chênes destinés à la construction des vaisseaux rapides, et 621 XXI| là, j'admire un autel construit d’innombrables cornes ; 622 XIX| les vaisseaux que l'art a construits ; penses-tu donc que tes 623 V| parcourut mes membres raidis. Je consultai, dans le trouble violent 624 V| Déiphobe ou à Polydamas. Consulte, pour l'apprendre d'eux, 625 VI| approuvé ni d'Alcimède ta mère (consulte-la plutôt), ni de ton père, 626 V| du roi de Phère, et fut consumé des feux dont je l'embrasai. 627 VII| le feu du bûcher m'aura consumée, on ne gravera pas sur ma 628 III| laisse pas une infortunée se consumer dans une attente éternelle. 629 VIII| ménagement, lorsque des soldats consumèrent dans les flammes les richesses 630 XX| comment, pendant cette avide contemplation (signe certain d'une passion 631 XI| il aurait d'un œil sec contemplé mes blessures. C'est quelque 632 XVIII| crois pas mes discours, et contemple-la toi-même. Autant les purs 633 V| aujourdhui lorsque je me contentai de toi pour époux, moi nymphe 634 XVII| tu montres ne se fût pas contentée de ces larcins. Grâce aux 635 XI| ainsi sans doute que je puis contenter un père inexorable.~ ~ ~ ~ 636 XVII| lettre, riche en promesses, contient l'offre de si magnifiques 637 XVII| restituée intacte, et sa continence atténue sa faute ; ce jeune 638 XVII| l'hôte troyen. »~ ~ ~Je contins à peine mon rire ; et tandis 639 XVIII| ton rivage, que la tempête continue. Là est le port qu'il faut 640 XV| commencé à peser sur moi, continue-t-elle à m'accabler, et poursuit-elle, 641 XVII| pas. J'ai lu aussi sur le contour de la table, au-dessous 642 XVI| flambeau du soleil, qui en contraigne les coursiers effrayés à 643 III| mourir. Poursuis, et tu l'y contraindras. Mes grâces, les couleurs 644 III| contrains à vivre sans toi, contrains-la à mourir. Poursuis, et tu 645 VI| vents peuvent bien avoir contrarié ton désir d'aborder dans 646 XIX| devrais permettre aux vents de contrarier aucun amour, si l'on ne 647 XVII| courage ; mais ton visage contredit tes discours : ton corps 648 XII| l'autre, sur toute la contrée qui s'étend depuis la rive 649 IX| qu'une union vous puisse convenir, unissez-vous à votre pareil. 650 XXI| signal dont nous sommes convenus. Je m'arrête, laissant à 651 XIV| la laine et le fuseau conviennent mieux à mes doigts. »~ ~ ~ 652 XIX| loin de moi ? La mer, j'en conviens, ne veut pas en ce moment 653 XX| Sois moins belle, on te convoitera modérément ; c'est ta beauté 654 IX| de l’Ionie, tu as tenu la corbeille, et craint les menaces d' 655 IX| pas, Alcide, de tomber des corbeilles légères ta main victorieuse 656 IV| la main armée d'épieux de cornouiller garnie d'un large fer. Tout, 657 IV| crois pas que ce soit par corruption de cœur que je romps les 658 XI| donnent passage au pieux cortège. Déjà l'on touchait presque 659 XX| autrefois des Nymphes de Corycie ; la mer Égée l'entoure ; 660 XVI| Hermione. Tantôt mollement couché, je chantais les antiques 661 XIV| membres foulent bientôt des couches funéraires. Chargés de mets 662 XXI| à peine soutenir sur son coude ses membres décolorés ? 663 II| capables d'artifice, et coulent-elles au gré de ta volonté ? J' 664 VI| À ces mots, des larmes coulèrent sur ton visage trompeur, 665 IX| têtes sont entrelacées de couleuvres menaçantes, ni l’hydre, 666 XX| Qui t'a permis de couper avant moi une moisson qui 667 XII| et les membres d'un père coupés par une main virginale ? 668 VII| j'aie appris à supporter courageusement le malheur.~ ~ ~ ~Sinon, 669 III| à mes yeux, par les âmes courageuses de mes trois frères, que 670 II| Il est un golfe dont la courbe insensible décrit un demi-cercle. 671 XVI| vaisseaux rapides, et la carène courbée est garnie de ses flancs. 672 XV| plantes, que notre poids avait courbées, l'étaient encore. Je m' 673 XX| comparer les dangers qu'ils courent tous deux, considère ce 674 VI| au mariage, et de l'Hymen couronné de guirlandes, qu'il fut 675 XIV| compagnons ; les fleurs du matin couronnent leurs cheveux parfumés ; 676 XXI| alors il jette au loin les couronnes détachées de son front, 677 XIX| odieux. Ou bien, quand l'onde courroucée a un peu ralenti sa fureur, 678 I| été enseveli dans les eaux courroucées, le ravisseur adultère, 679 XIV| vue. Fille d'Inachus, où cours-tu ? Tu ne fais, en te fuyant, 680 XVIII| une mer étendue ? Un si court trajet en est-il moins un 681 II| présente avec son collier de courtes vipères, et la torche sépulcrale 682 XIX| appuyai ma tête sur mon coussin. Alors, il me sembla voir 683 VII| que tu m'élèves t'aura peu coûté ! Ce n'est pas le premier 684 I| peine tout ce qu'ils me coûtent. Oh ! Que n'a-t-il été enseveli 685 VII| nourris une haine qui doit coûter bien cher, si, pourvu que 686 XV| touffue des arbres nous couvrait de son ombre ; mais, dans 687 XXI| fièvre, et les tissus qui me couvrent m'écrasent de leur poids ; 688 XVIII| chercher par delà les mers. Tu couvres mes épaules du manteau que 689 V| combien de baisers tu me couvris en me quittant ! Ta langue 690 XVII| l'honneur de ma vie. Il craignait, à cause de ma figure ; 691 XV| douleur fut moins vive, je ne craignis pas de meurtrir ma poitrine, 692 V| fils de Priam, alors (ne craignons pas de dire la vérité), 693 XX| tout : seulement peut-être craindrai-je que ta main ne se blesse 694 I| saurais où tu combats, je ne craindrais que la guerre, et ma crainte 695 XIX| y veille-t-on encore, et craint-il ses parents ? Penses-tu 696 XVI| me parlèrent que de leurs craintes, et me laissèrent au milieu 697 VI| fais de chastes prières. Craintive, j'adresse au ciel des vœux, 698 XVII| ai peine à croire que des créatures célestes aient soumis leur 699 XXI| pourquoi me vanter ton crédit ? Tu n'en as aucun. Choisis 700 XII| et de la fille du grand Créon ! Tu pars en proie à la 701 XIV| entreprendrai pourtant. Le crépuscule venait de poindre sur la 702 XVI| cependant n'appela pas les Crétois aux armes. La terreur, dans 703 XII| et du royaume, la dot de Créüse, et de ton beau-père, et 704 X| Thésée ! » Les antres creux répétaient ton nom. Les 705 VII| voix. Je la pris pour le cri des nymphes : c'étaient 706 XIX| l’est aujourdhui. Je te criais alors :~ ~ ~« Oui, sois 707 XIII| Phylacé viennent à moi et me crient :~ ~ ~« Revêts, Laodamie, 708 V| foi conjugale, ainsi tu crieras à ton tour. La pudeur une 709 XVII| devienne heureuse, sans être criminelle, plutôt qu'un amour étranger 710 X| nourrit-il des lions à la fauve crinière. Qui sait si cette île n' 711 XV| sacrée, plus limpide que le cristal le plus pur ; on pense qu' 712 XVIII| ce point, aperçoivent ou croient apercevoir les fanaux qui 713 XVI| point de regret, et je ne croirai jamais avoir fait un choix 714 IX| visage superbe, et l'on croirait qu'Hercule est vaincu, Aechalie 715 VII| foudre qui tombera, tu la croiras lancée contre toi. Accorde 716 XVI| un nom égal au tien. M'en croiras-tu ? Oui, ta gloire est au-dessous 717 XVI| dardaniennes, et les peuples croiront voir une divinité nouvelle. 718 XX| jeune fille, c'est toi, crois-le, qui m'inspiras cette finesse. 719 XI| cela – le fardeau qui y croissait ! Ah ! trop plein de vie, 720 II| promis à mon amour. Quand les croissants de la lune auraient, en 721 V| ils grandiront eux-mêmes. Croissez, et que mes titres s'élèvent 722 I| étranger vainqueur. Déjà croît la moisson dans les champs 723 XIV| courage de tes sœurs : il est croyable qu'elles ont toutes égorgé 724 III| éloquent Ulysse, plus aussi, croyez-moi, que le frère de Teucer. 725 XV| mère éplorée, qui se vengea cruellement de son époux, a des chants 726 X| visse en effet, soit que je crusse les voir, je devins plus 727 XVII| torche sanglante que ta mère crut mettre au monde avant le 728 IV| est quelque chose que de cueillir à pleines mains des fruits 729 VI| terre si favorable à qui la cultive. Parmi de tels avantages, 730 X| furieuses. Ou si des hommes cultivent et habitent ce lieu, je 731 XII| arrêtant, par mon ordre et par curiosité, sur le seuil de la porte 732 XV| sans charmes, la blanche Cydno sans charmes aussi ; Atthis 733 XVIII| doutes, tu n'as, déesse du Cynthe, que d'aveugles clartés. »~ ~ ~ 734 IX| de Tégée tomba sous les cyprès d'Érymanthe, et fit, sous 735 VI| séjour où il règne, Jupiter daigne entendre et exaucer mes 736 V| étais esclave. Nymphe, j'ai daigné m'unir à un esclave. Souvent, 737 XVIII| port ! Car tu pleureras, tu daigneras toucher mon corps, et dire : « 738 XIX| vis rend l'absence plus dangereuse aux amants. Heureuses les 739 XV| es Bacchus. Phébus aima Daphné ; Bacchus, la fille de Gnosse ; 740 VII| des dieux adorés dans la Dardanie, et qui accompagnèrent ta 741 VIII| joua autrefois l'étranger Dardanien, Pyrrhus le joue maintenant. 742 XIII| fidèles de ta maîtresse. Dardaniens, je vous en conjure, de 743 XV| doux ramage. Seul, celui de Daulis, mère éplorée, qui se vengea 744 XIX| soulevées par le vent, un dauphin qui nageait. Lorsque le 745 XVIII| pour moi ?~ ~ ~ ~Déjà les dauphins, à la forme arrondie, n' 746 XVI| la beauté ; mets fin au débat des déesses ; dis laquelle 747 III| de ses années, et Pyrrhus débuter sous tes auspices dans la 748 XVI| Peux-tu lui accorder des débuts et des exploits pareils ? 749 XIX| incompatibles, la passion et la décence, se combattent en moi. Je 750 XI| cruel que les vents qu'il déchaîne, il aurait d'un œil sec 751 XII| son char. »~ ~ ~Soudain je déchirai mes vêtements, je me frappai 752 VI| Soudain je m'élance, et déchirant la tunique qui couvre mon 753 XII| mais avec toi, être aussi déchirée.~ ~ ~ ~Je n'ai pas craint 754 XI| baisers. Des monstres avides déchirent mes entrailles. Moi-même, 755 XV| pourquoi, par des délais, déchirer mon cœur ? Quitte le rivage : 756 X| loups dont la dent avide déchirera mes entrailles. Peut-être 757 VI| dans les champs les membres déchirés d'un frère épargnerait-elle 758 XV| lettre. Puisque tu étais si décidé à quitter ces lieux, ton 759 XX| je suis, quoique absent, déclaré coupable, et je perds, parce 760 III| son fils. La guerre était déclarée. Ce fils, dans sa colère, 761 XVI| devins le récit. Les devins déclarent qu'Ilion sera embrasé par 762 XXI| terre au moment où, vers le déclin du jour, le soleil allait 763 VIII| intarissable baigne mes joues décolorées.~ ~ ~ ~C'est le destin de 764 XXI| sur son coude ses membres décolorés ? À cela se joint la crainte 765 IX| de la Thessalie. Peux-tu, décoré de la pourpre de Sidon, 766 XVI| en souvient, ton sein à découvert, et livra à mes yeux un 767 XV| me voyait ; ma poitrine découverte laissait voir mon sein déchiré.~ ~ ~ ~ 768 XV| si bien donner. Je n'ose décrire les plaisirs qui suivent 769 II| dont la courbe insensible décrit un demi-cercle. Un môle 770 II| domptés. Les Thraces, que je dédaignais, fuient aujourd'hui mon 771 IX| femmes, dont aucune ne fut dédaignée de toi. Je rappellerai une 772 XVIII| part apaisées. Oh ! que Dédale ne peut-il me donner maintenant 773 II| je me possède. Je me sens défaillir, et je tombe dans les bras 774 XII| à mon âme. Je te vis, je défaillis ; je brûlai d'une flamme 775 III| dignes de le satisfaire. La défaite d'un ennemi apaisera mieux 776 II| ses armes, des centaures défaits par son bras, du sombre 777 XX| perds, parce que nul ne la défend, la meilleure des causes.~ ~ ~ ~ 778 V| une humble cabane nous défendit contre les blancs frimas. 779 XX| rend suspecte à Diane ; défends-lui, si tu es sage, les abords 780 X| habitent ce lieu, je me défie d'eux. Mes malheurs m'ont 781 I| Ulysse. Plus loin Hector défiguré effraya les chevaux qui 782 IV| elles assiègent. Un étroit défilé entend leurs doubles mugissements. 783 XVI| que je désire ne fera pas dégénérer ta noble famille, et tu 784 XXI| embûches. Je montai les degrés du temple élevé de Diane ; 785 I| épouse, qui ne sait que dégrossir la laine des troupeaux.~ ~ ~ ~ 786 XXI| entretiens. Elle reste assise au dehors, et, pour que je puisse 787 XVIII| on aille les chercher par delà les mers. Tu couvres mes 788 IX| assis sur le trône, Œneus délaissé traîne sa vieillesse dans 789 VI| et que, comme j'ai été délaissée, malgré mon titre d'épouse 790 IV| qui répare les forces et délasse les membres fatigués. L' 791 XV| gouvernail ; lui-même, de sa main délicate, saura donner ou retirer 792 XX| plaindre que de moi seul. Délie n'a pas mérité d'être trompée 793 X| mon frère ? Cette mort eût délié la foi que tu m'avais donnée. 794 VII| Tu as résolu, Énée, de délier et ton ancre et ta foi, 795 XI| firent revivre, et je me vis délivrée du crime et du fardeau que 796 XXI| demande au dieu qui dicte à Delphes ses oracles quel remède 797 III| l'un sur l'autre, ils se demandaient silencieusement où était 798 XXI| cependant me voir, comme tu le demandais toi-même, et connaître l' 799 XVI| vue, de peur qu'il ne me demandât la cause de mes pleurs ! 800 II| sur le temps !~ ~ ~ ~Que demandé-je, infortunée ! Déjà peut-être 801 V| faut-il la rendre aux Grecs ? Demande-le à ton frère Hector ou à 802 III| aussitôt qu'ils m'eurent demandée. Jetant les yeux l'un sur 803 XXI| écrire en sûreté, à ceux qui demandent ce que je fais chez moi : « 804 III| Pourquoi l'infatigable Hector démembre-t-il la puissance des Grecs ? 805 IX| villes de la Grèce, et semble démenti par tes hauts faits : celui 806 VIII| était absent. Pour ne point démentir le sang de Pélops, je devins 807 II| faute a donc pu me faire démériter près de toi ? Mon seul crime, 808 V| aussi, insensée que j'étais, demeurai-je en ces lieux ? Ton indigne 809 II| courbe insensible décrit un demi-cercle. Un môle domine et hérisse 810 XVII| bien que le sol même me dénie ? Je suis novice aux larcins 811 XII| élevant, se trahit et se dénonce elle-même.~ ~ ~ ~Cependant 812 XI| l'enfant s'est trahi et dénoncé lui-même. Éole le saisit 813 II| Démophoon, que ton absence ait dépassé le terme promis à mon amour. 814 XI| dieu que j'avais entendu dépeindre, ce dieu, je ne sais lequel, 815 XVIII| espoir devra donc toujours dépendre et des flots et des vents ? 816 X| vous qui l’avez servi aux dépens de mes larmes ; toi, main 817 VI| dans leur cours oblique, déplacer les forêts et faire mouvoir 818 XX| avoue, je ne cesserai de déplaire ; je te poursuivrai de mon 819 XX| sujet de te plaindre. Si je déplais parce que j'aime, je l'avoue, 820 IV| javelot, la vigueur qu'il déploie attire tous mes regards. 821 XVII| pas : déjà les Phrygiens déploient tes voiles. Tandis que tu 822 XIII| que les tiens lui eussent déplu. Ménélas, ô toi qu'agite 823 XVIII| de la tour. Trois fois je déposai mon vêtement sur la plage 824 XVIII| foyer paternel. Bientôt, déposant mes vêtements, et toute 825 III| Ce fils, dans sa colère, dépose les armes et se retire. 826 I| dépouille des barbares est déposée aux pieds des dieux de la 827 XVII| toute fille sensée. Et même, dépouillant toute honte, je le prendrai 828 VI| demande la fille de Thoas, dépouillée de ses droits d'épouse. 829 XVI| Les cimes du Gargare sont dépouillées de leurs vastes forêts, 830 III| Grecs, envoyez-moi vers lui. Députée par vous, je prierai mon 831 XVI| mystérieux langage. J'ai osé dernièrement adresser de douces paroles 832 X| oubliaient. Déjà l'espace te dérobait à ma vue. Alors enfin je 833 XIX| guider ta route accoutumée. Déroulant alors la trame du fuseau 834 XI| mes genoux est une feuille déroulée. Telle est l'image de la 835 XIX| illustre origine ; mais il ne descend pas d'Ulysse, qui te fut 836 XVIII| amant discret. Déesse, tu descendis du ciel pour visiter un 837 II| naissance et aux dieux dont tu descends. J'ai cru à tes larmes. 838 VIII| lâchement reposé dans sa cour déserte, ma mère serait encore l' 839 I| abandonner une couche que tu as désertée, et condamne cette absence 840 V| travers l'étendue des mers, et désertent pour toi une couche légitime.~ ~ ~ ~ 841 XIX| entier ! Rentre au camp, déserteur des drapeaux de l'Amour 842 II| briller. Cependant triste et désespérée, je foule sous mes pieds 843 XI| frère ! quel fut alors mon désespoir, car tu peux, d'après ton 844 XVII| rejetée de la demeure d'Éson ? Déshonorée, il n'y avait plus d'asile 845 XVI| tien ! C'était moi que je désignais sous un nom supposé ; j' 846 XVII| les louanges de Vénus me désignent à l'envie. Mais je n'infirme 847 XIII| voiles ; c'était celui que désiraient les matelots, mais non pas 848 XXI| surprise. Pourquoi, lorsque tu désirais ma main, ne pensais-tu pas 849 XVII| attentat le fruit qu'il désirait ; excepté la peur, je suis 850 XVII| y ait de jeunes gens qui désirent ce que tu désires, sans 851 XXI| ce qui pouvait me faire désirer la tienne ? Pourquoi voulais-tu 852 XXI| de Schœné : tu seras donc désormais un autre Hippomène ?~ ~ ~ ~ 853 VII| accablant de tortures, au-devant desquelles, malheureuse et pleine de 854 XVI| jeunes hommes, au nombre desquels étaient Ilionée et Déiphobe. 855 V| pouls de la sève, voltige, desséchée, au gré des vents mobiles ; 856 II| pousse, j'exécuterai mon dessein. Que les flots portent ma 857 XXI| crois pas que celui qu'on me destine pour époux réchauffe, en 858 XXI| jette au loin les couronnes détachées de son front, et essuie 859 XX| rougir. Fais-lui un récit détaillé ; dis comment je te vis 860 VI| la crainte. À travers les détails de la vive narration qu' 861 XXI| du jour, le soleil allait dételer ses coursiers vermeils. 862 VII| africaine. C'est à des époques déterminées qu'elle offre ou qu'elle 863 XVI| mon ardeur ne te peuvent déterminer, l’occasion qu'il nous offre 864 XX| assied à ton chevet, lui que détestent les dieux et moi à l'égal 865 XVI| verser des larmes, j'ai détourné la vue, de peur qu'il ne 866 XVI| coursiers effrayés à se détourner d'un festin ; Priam n'a 867 XIX| sein des ondes ; mais ce détroit est plus sûr pour les hommes. 868 XXI| lois du bien, et ne pas détruire par la fraude tes espérances ; 869 VIII| cependant. Tout était plein de deuil, plein d'inquiétude et d' 870 XVI| rougiras pas, crois-moi, en devenant mon épouse. Tu trouveras 871 XV| devenir la tienne, nulle ne le deviendra.~ ~ ~ ~Cependant, lorsque 872 IV| cesserais jamais de tendre deviendrait lâche. Céphale était fameux 873 VIII| étaient inconnus. Cependant je devinai, en te voyant la plus belle, 874 XI| lui-même. Éole le saisit et dévoile l'imposture du sacrifice ; 875 XV| fut délivré du feu qui le dévorait. Telle est la propriété 876 IV| embrase mes veines d'un feu dévorant, qu'il rende aussi ton cœur 877 XV| lettre, écrite par une main dévouée, ont-ils aussitôt reconnu 878 VII| peine autant de fatigues devraient-elles être le prix de ton retour 879 XIV| celui de sa maîtresse qui devrait l'ensanglanter. Comment 880 XXI| on demande au dieu qui dicte à Delphes ses oracles quel 881 XVI| solennel que tu m’auras dicté. Alors, si ma confiance 882 XX| moi. J'ai écrit sous sa dictée les paroles de nos fiançailles, 883 XVIII| paroles ou d'autres qui en différaient peu, je me glissais, pendant 884 VII| de moi. Que son cœur est différent de celui de sa mère ! Oui, 885 XIII| son épouse. Ta cause est différente ; ne combats que pour défendre 886 XII| Alors Médée eût pu mourir dignement ; tout ce qui, depuis ce 887 IV| amant ne voit ce qu'exige la dignité. Je ne rougis plus, la pudeur 888 IX| aspect terrible du féroce Diomède, qui nourrissait ses cavales 889 XX| Épouse, je t'en conjure, dira-t-elle, l'amant qu'unit à toi une 890 XVII| mensongères.~ ~ ~ ~Mais, dira-t-on, d'autres femmes succombent, 891 XIX| si quelqu'un s'y rend. Te dirai-je combien de baisers je donne 892 XXI| Elle ne mérite pas, dirais-tu, la ruse imaginée pour la 893 V| filets aux mille mailles, et dirigé les limiers rapides sur 894 XV| propriété de ces flots : dirige-toi promptement vers le sommet 895 XI| demeure. Noires furies, dirigez contre moi les torches que 896 XVII| du bruit de ma honte. Que diront de moi et Sparte et toute 897 XV| ai-je à faire à Lesbos, te dis-tu ? je veux rester Sicilien. 898 XVIII| Favorise-moi, lui disais-je, déesse aux blanches lueurs, 899 XVIII| tes regards vers un amant discret. Déesse, tu descendis du 900 XVII| ces mots à des feuilles discrètes, cette lettre remplit un 901 XXI| fut témoin. Voilà ce que disent de concert et le dieu, poète 902 XX| récitée ; et, pour que tu ne dises pas qu'elle est fausse, 903 XIX| courte que trompeuse, car tu disparais toujours en même temps que 904 IV| scrupule suranné, qui devait disparaître dans les âges suivants, 905 XII| art. Alors les sœurs qui dispensent aux mortels leurs destinées 906 IV| os de mon frère, et les dispersa sur le sol. Ma sœur fut 907 VI| le joug ? Qu'une semence dispersée par ta main avait produit 908 VI| les crimes. Elle qui a pu disperser dans les champs les membres 909 XI| en supplie, les membres dispersés de ton fils ; rapporte-les 910 XIII| toutes les fois que tu te disposeras à combattre :~ ~ ~« Laodamie 911 III| carnage. Mais soit que tu te disposes à livrer ta flotte aux efforts 912 XIII| vaisseaux ; et vous vous disposez à braver les ondes. Qui 913 XII| il m'en souvient, à ta disposition, lorsque tu imploras le 914 XVII| quelques baisers, que je lui disputai ; il n'a de moi rien de 915 I| personne s'y oppose. Ils se disputent mon cœur et tes richesses. 916 IX| vois des chiens prêts à se disputer tes os. Les fibres des victimes, 917 XIX| retiennent, ou les prix disputés par de souples lutteurs ; 918 XXI| cheveux ornés d'une couronne distillent les parfums, et il traîne 919 XIX| généreux.~ ~ ~ ~Privée de ces distractions, le feu qui me consume fût-il 920 IX| une trame grossière, et tu distribues des tâches égales, au nom 921 XX| nous entrons en lutte, diversement animés ; nous n'avons ni 922 XVI| c'est un avertissement divin qui m'amène, et une déesse 923 VIII| prisonnière au mépris des lois divines et humaines. J'ai résisté 924 XIX| lentement dans les ondes qu'ils divisent. »~ ~ ~Puis, quand j'ai 925 XI| Il s'élance, et ses cris divulguent mon déshonneur ; à peine 926 | dix 927 XI| charmante de Phébus, et la dixième lune conduisait ses coursiers 928 II| maintenant, dit-on, dans la docte Athènes. Un autre se trouvera 929 XVI| tu peux seule lui donner. Dois-je parler ? ou bien ma flamme, 930 IV| attaché à ma race, et Vénus doit-elle lever ce tribut sur ma famille 931 XX| rien fait, Cydippe, dont tu doives rougir. Fais-lui un récit 932 I| me dit encore Rhésus et Dolon égorgés par le fer, comment 933 IX| main a touché la massue qui dompta les bêtes féroces, et elle 934 IV| Pardonne à ces aveux, et dompte un cœur cruel. Que me sert 935 XII| prise à tes paroles. Tu domptes les taureaux aux pieds d' 936 VII| étaient les Euménides, qui donnaient le signal à ma destinée. 937 XIII| donnera des armes, et, en les donnant, lui prendra des baisers ( 938 XXI| suis-je pas plaint qu'on donnât aux vents peu de voiles ! 939 XVI| au mien ? Et quand tu lui donnerais tort, lui donneras-tu Hector 940 XVI| lui donnerais tort, lui donneras-tu Hector pour frère, Hector 941 XIV| la mort, et celles qui la donnèrent : car autant j'ai perdu 942 VII| manque à ses vœux, nous lui donnerons à vaincre un ennemi : ce 943 V| labourent le rivage, et ne te donneront rien à moissonner. Je vois 944 XVI| vêtement. Quand vous vous donniez, en ma présence, de tendres 945 XIX| au milieu de cette mer ; donnons-nous, au-dessus des ondes, de 946 XVI| innombrables cités et des palais dorés, et des temples qui te paraîtront 947 XIX| cependant avec moi que tu dors, et tu viens à mes côtés 948 XXI| je fais chez moi : « Elle dort » répond-elle. Bientôt, 949 XII| étaient alors tes richesses dotales ? Où étaient ta royale épouse, 950 XIV| mon âge me conseillent la douceur ; une arme sanguinaire ne 951 XII| infortunée ne goûte plus les douceurs du repos. Je ne puis me 952 XIX| tiennes : les hommes sont doués, je le vois, d'une plus 953 V| rendu digne, on la ressent douloureusement.~ ~ ~ ~Tu n'étais pas célèbre 954 VI| précieuse toison ? À ceux qui doutaient de cet exploit, si j'avais 955 IV| Thésée, nous n'en pouvons douter, préfère Pirithoüs à Phèdre, 956 XVIII| les plus belles. Si tu en doutes, tu n'as, déesse du Cynthe, 957 XX| tous les moyens. Qu'il soit douteux pour toi que tu puisses 958 III| ajouta dix talents d'or, douze chevaux accoutumés à vaincre, 959 VII| de ton épouse trompée se dressera triste, sanglante et les 960 V| Mes blonds cheveux se sont dressés d'épouvante. Ah ! Tes prédictions 961 XIX| lutteurs ; ou bien vous dressez un coursier docile au frein. 962 XI| de ta maîtresse. La main droite tient une plume ; l'autre 963 IV| tambourins, à celles à qui les dryades, ces demi déesses, et les 964 I| Mais une foule d'amants de Dulichium, de Samos et de la superbe 965 XVI| aussi cet Anchise, auprès duquel la mère des légers amours 966 XX| vis pour la première fois, durant un sacrifice à la déesse 967 XVIII| vents ? Cependant l'orage dure encore. Que sera-ce, lorsque 968 IV| alternative de repos ne peut durer longtemps, c'est le repos 969 VII| seras, si tu ne surpasses en dureté les chênes. Ignorerais-tu 970 XIX| offraient les flots mobiles ? Dût la fortune te rendre bientôt 971 XV| âgeparaît le premier duvet, et que des années où l' 972 XVIII| temps accordé à nos secrets ébats, plus nous avons pris soin 973 V| éclat de tes richesses qui m'éblouit, ni ton palais qui me touche, 974 XI| reposait mon corps était ébranlé. Il s'élance, et ses cris 975 XII| dragon vigilant, hérissé d'écailles retentissantes, siffle, 976 XXI| secrets, ne s'aperçoive de cet échange d'entretiens. Elle reste 977 XVIII| reçois dans tes bras ; nous échangeons de voluptueux baisers, baisers, 978 III| sein, et le sentiment m'échappa. Tu partiras, mais à qui 979 VII| sur des plages inconnues. Échappée à mon frère et aux ondes, 980 XII| aucun ennemi de Médée n'échappera à sa vengeance.~ ~ ~ ~Si 981 XX| ton serment. Mais quand tu échapperais à ce danger, ne demanderas-tu 982 X| toi, et la place qu'ont échauffée tes membres. Je m'y jette, 983 VI| qui, tout ensanglantée, l'éclaira de ses torches sinistres. 984 X| bientôt arrachée. La lune m'éclairait ; je regarde si je puis 985 XIX| pétillé le flambeau qui éclaire ce que j'écris ; il a pétillé ; 986 XXI| il traîne un manteau tout éclatant de pourpre : mais, lorsqu' 987 VIII| soutient mes regards. J'éclate en sanglots, mon visage 988 III| et ta colère est lente à éclater. Le fils de Ménoete lui-même, 989 IV| délicat la rose qui vient d’éclore. Si toutefois cette pureté 990 XII| depuis ce temps, s'est écoulé de ma vie, a été un supplice.~ ~ ~ ~ 991 VI| palais et dans mon cœur. Là s'écoulèrent pour toi deux étés et deux 992 XII| mes coups. Je voulais, n'écoutant que mon ressentiment, fendre 993 XII| toucher ton cœur de fer, écoute maintenant des paroles bien 994 XIII| plaisir que j'éprouve à t'écouter, tu prendras cependant beaucoup 995 IX| inférieure à son époux est écrasée par sa gloire. Ce n'est 996 XXI| tissus qui me couvrent m'écrasent de leur poids ; je vois 997 XII| n'avons-nous été brisés, écrasés par les Symplégades ! Mes 998 IX| frappa son cœur avide, s'écria :~ ~ ~« Ce sang a la vertu 999 VIII| arrachais les cheveux, et m'écriais :~ ~ ~« Tu pars sans moi, 1000 XVI| voile :~ ~ ~« Où vas-tu ? s'écrie-t-elle ; tu rapporteras un incendie 1001 XII| accourt : « Hymen ! » s'écrie-t-on, « Hyménée ! » répète-t-on 1002 XII| contenir assez pour ne pas m'écrier ainsi échevelée :~ ~ ~«


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