Partie

  1   I|                   Entendu, ma petite Colette.~ ~ ~ ~À ces mots, Jacques
  2   I|          tête vers la table voisine. Colette continuait à parler à son
  3   I|           fut, après avoir adressé à Colette un regard foudroyant… et
  4   I|      aussitôt et suivit le chasseur. Colette, demeurée seule, dirigea
  5   I|             rapide clignement d’œil, Colette lui désigna le reporter,
  6   I|           eut un dernier regard vers Colette, qui croquait, de ses jolies
  7   I|             Puis il s’éloigna.~ ~ ~ ~Colette le suivit des yeux… et elle
  8   I|          effet, monsieur, répliquait Colette avec un gracieux sourire,
  9   I|             un peu embarrassé.~ ~ ~ ~Colette reprenait toujours souriante,
 10   I|              rapide vers l’album que Colette tenait sur ses genoux :~ ~ ~–
 11   I|           fantômes ?~ ~ ~ ~Gaiement, Colette répliquait :~ ~ ~– Je n’
 12   I|             Que te disait-il ?~ ~ ~ ~Colette allait répondre… mais… surgissant
 13   I|            un geste bref, le père de Colette l’invitait à parler. Le
 14   I|              déguerpir.~ ~ ~ ~Alors, Colette se levant et regardant son
 15   I|              très sympathique.~ ~ ~ ~Colette, timidement, baissa les
 16   I|            Claude Barjac, le père de Colette, aux prises avec le Fantôme
 17   I|               sa fille, la charmante Colette, qui s’était vite passionnée
 18   I|         doucement, livrant passage à Colette qui s’arrêta pendant un
 19   I|              avançant à pas de loup, Colette, en un geste plein d’une
 20   I|             hier soir ? interrogeait Colette, en s’asseyant sur un siège,
 21   I|                 Je crois, soulignait Colette, que nous avons affaire
 22   I|             Eh bien ! petite ?~ ~ ~ ~Colette tressaillit… Puis, s’efforçant
 23   I|          fais rien, père ! demandait Colette. C’est moi qui ai décroché
 24   I|            et sans doute volontaire, Colette fit tomber à terre une pile
 25   I|             tendresse, la regardaitColette se releva… Sa moisson de
 26   I|         rompue, lorsque la pensée de Colette surgit tout à coup dans
 27   I|       rencontrée sur sa route.~ ~ ~ ~Colette, qui portait une toilette
 28   I|             en regardant tour à tour Colette et Chantecoq.~ ~ ~ ~Celui-ci,
 29   I|              jeune homme.~ ~ ~ ~Mais Colette, désireuse de lui éviter
 30   I|                  Il peut, continuait Colette, s’incarner dans vingt personnages
 31   I|                 Seulement, observait Colette, il faudra nous dépêcher,
 32   I|             Chantecoq, Bellegarde et Colette, un sourire de satisfaction
 33   I|         pense, répliquait le père de Colette, que ce serait perdre son
 34   I|                 Pour cela, reprenait Colette, il faudrait que nous puissions
 35   I|      cuisinière, soulignait gaiement Colette ; et je sais que Marie-Jeanne
 36   I|      exubérant de joie.~ ~ ~ ~Alors, Colette, s’avançant vers Jacques
 37   I|           Jacques se dirigèrent vers Colette. Tout, en elle, semblait
 38   I|            tous trois se séparèrent. Colette, en voyant partir Jacques,
 39   I|     Chantecoq en tapotant la joue de Colette qui se colora d’un joli
 40   I|           lui inutile. Et tandis que Colette, assise à sa place habituelle,
 41   I|          fit-il, très étrange.~ ~ ~ ~Colette releva la tête.~ ~ ~– Qu’
 42   I|            Je le connais, soulignait Colette.~ ~ ~– Les deux autres ont
 43   I|              que tu en penses.~ ~ ~ ~Colette obéit.~ ~ ~– Eh bien ? interrogea
 44   I|                    Volontiers.~ ~ ~ ~Colette regarda pendant un instant
 45   I|            Et, subitement angoissée, Colette s’écriait :~ ~ ~– Père,
 46   I|       analogies.~ ~ ~ ~Avec émotion, Colette reprenait :~ ~ ~– Qui te
 47   I|             vint rouler aux pieds de Colette.~ ~ ~ ~D’un bond, Chantecoq
 48   I|          fenêtre et s’en revint vers Colette, qui avait ramassé le galet
 49   I|           as-tu, père ? interrogeait Colette, qui avait gardé tout son
 50   I|     Chantecoq s’écriait, en attirant Colette contre lui :~ ~ ~– Tu sais
 51   I|             de mon existence !~ ~ ~ ~Colette protestait :~ ~ ~– Je m’
 52   I|            reconnais plus… s’écriait Colette dont le visage resplendissait
 53   I|             déposant sur le front de Colette le plus tendre des baisers :~ ~ ~–
 54   I|              alors…~ ~ ~– Alors, fit Colette en un grand cri d’espérance…
 55  II|          réintégra son studio.~ ~ ~ ~Colette était en train de disposer
 56  II|                   Bonjour, père, fit Colette en lui rendant son baiser.~ ~ ~ ~
 57  II|              peur ?~ ~ ~ ~Crânement, Colette ripostait :~ ~ ~– Pourquoi
 58  II|           encore fait ? interrogeait Colette avec un accent de vive curiosité.~ ~ ~–
 59  II|                      Père, observait Colette, est-on bien sûr que ce
 60  II|           extraordinaire ! murmurait Colette, tout en s’efforçant de
 61  II|            Chantecoq !… Mademoiselle Colette !…~ ~ ~Et elle se laissa
 62  II|             avez-vous ? interrogeait Colette en se précipitant vers sa
 63  II|      absenter.~ ~ ~– Père, s’écriait Colette, j’ai le pressentiment qu’
 64  II|              Louvre !~ ~ ~– Ma chère Colette, reprenait Chantecoq, j’
 65  II|              pensive et silencieuse, Colette fit quelques pas et se laissa
 66  II|       pleurer comme ça, mademoiselle Colette !~ ~ ~ ~Et se penchant vers
 67  II|      entendre dans la pièce. C’était Colette qui rejoignait son père.~ ~ ~ ~
 68  II|              seraient fondés !~ ~ ~– Colette ! reprochait le détective
 69  II|          Voici M. Bellegarde !~ ~ ~ ~Colette, subitement joyeuse, s’en
 70  II|        failli être assassiné !~ ~ ~ ~Colette tressaillit et fut sur le
 71  II|             devant son bureau.~ ~ ~ ~Colette, muette, attendit, debout,
 72  II|              voix sourde, tandis que Colette, le visage subitement attristé,
 73  II|             son regard, d’abord vers Colette, à laquelle la présence
 74  II|              est…~ ~ ~ ~Il s’arrêtaColette le suppliait, d’un regard
 75  II|              apporter ceci pour Mlle Colette.~ ~ ~ ~Et elle tendit l’
 76  II|          rejoindre ses fourneaux. Et Colette commença à développer le
 77  II|             Mais le visage souriant, Colette se dirigeait vers lui…~ ~ ~ ~
 78  II|         fille du détective.~ ~ ~ ~Et Colette tendit au reporter un fin
 79  II|           boîte, et dit simplement à Colette et à Bellegarde :~ ~ ~–
 80  II|             rompre.~ ~ ~ ~Jacques et Colette le regardaient en silence.~ ~ ~ ~
 81  II|             sont empoisonnés !~ ~ ~ ~Colette pâlit. Et Bellegarde s’écria :~ ~ ~–
 82  II|        comptait bien nous supprimer, Colette et moi… et vous charger
 83  II|              Tandis que le visage de Colette se rassérénait, le limier
 84  II|            abaissé les stores.~ ~ ~ ~Colette avait choisi dans la bibliothèque
 85  II|             vous ennuyiez… exprimait Colette.~ ~ ~– Moi, mademoiselle !…
 86  II|            quand vous êtes là.~ ~ ~ ~Colette rougit légèrement… Puis
 87  II|              Pas du tout, protestait Colette, qui s’était ressaisie.~ ~ ~–
 88  II|                  Pourtant, ponctuait Colette, en baissant légèrement
 89  II|           est de la justice, définit Colette.~ ~ ~– Alors, mademoiselle,
 90  II|      conscience qu’à mon cœur.~ ~ ~ ~Colette, tout en réprimant un soupir,
 91  II|              très pénible, concluait Colette avec un accent de touchante
 92  II|          jamais !~ ~ ~– Mademoiselle Colette ! s’écria Bellegarde, en
 93  II|           pleine lune d’hiver.~ ~ ~ ~Colette, sans prendre les choses
 94  II|         effondra sur un siège.~ ~ ~ ~Colette et Jacques échangèrent un
 95  II|            Excusez-moi, mademoiselle Colette, je n’ai plus la tête à
 96  II|       élancer vers la porte, lorsque Colette le retint.~ ~ ~– Où allez-vous
 97  II|              vous en prie, suppliait Colette.~ ~ ~ ~Emporté par le désir
 98  II|           arranger…~ ~ ~ ~Tandis que Colette rejoignait Marie-Jeanne
 99  II|                Et lorsque le père de Colette eut terminé, Jacques fit,
100 III|             la maison, le détective, Colette et Jacques, qui avait gardé
101 III|           était parfait ! répliquait Colette.~ ~ ~– Moi… déclarait Chantecoq,
102 III|          déplia.~ ~ ~ ~Bellegarde et Colette allaient en prendre chacun
103 III|           douleur !~ ~ ~ ~Tandis que Colette considérait le journaliste
104 III|      permission de me retirer.~ ~ ~ ~Colette chercha son regard et ne
105 III|         assuré.~ ~ ~– Mon Dieu ! fit Colette en pâlissant.~ ~ ~– Qu’as-tu ?
106 III|    empoisonnés tous les trois.~ ~ ~ ~Colette n’insista pas. Machinalement
107 III|              ses yeux vers sa fille. Colette, qui avait beaucoup de peine
108 III|          danois.~ ~ ~– Mon père, fit Colette en se dressant. C’est lui…
109 III|              se précipitasuivi par Colette, au comble de l’angoisse110 III|            donner la consigne.~ ~ ~ ~Colette, affolée, s’exclamait :~ ~ ~–
111 III|            Gautrais attendait…~ ~ ~ ~Colette était assise sur le siège,
112 III|       portière et s’installa près de Colette, qui démarra aussitôt. Chantecoq
113 III|             de Chantecoq et remercié Colette d’un serrement de main expressif,
114 III|              ne vit pas Chantecoq et Colette qui, tous deux, arrêtés
115 III|          espérance.~ ~ ~ ~Le père de Colette scandait :~ ~ ~– Monsieur
116 III|                     Oui, j’aime Mlle Colette et j’ai l’honneur, monsieur
117 III|         geste affectueux, il désigna Colette qui, depuis un instant déjà,
118 III|          dira…~ ~ ~– Rien ! répondit Colette… car j’ai tout entendu…~ ~ ~–
119 III|        directement dans le studioColette était en train de feuilleter
120 III|           sonnerie électrique.~ ~ ~ ~Colette allait l’interroger. Mais,
121 III|            se tournant vers Jacques, Colette et Marie-Jeanne, il scanda
122 III|            voulu m’assassiner.~ ~ ~ ~Colette reparaissait avec la boîte
123 III|            quitta la cave, suivi par Colette, Jacques et Marie-Jeanne,
124 III|            vingt-deux heures !~ ~ ~ ~Colette, en un geste instinctif,
125 III|        achevait son délicat travail, Colette reprenait :~ ~ ~– Nous l’
126  IV|                 La porte s’ouvrit et Colette lui apparut, dans tout l’
127  IV| retentissaient dans le jardin.~ ~ ~ ~Colette s’approcha de la fenêtre
128  IV|       redevenu Cantarelli, reprenait Colette.~ ~ ~– Vous y tenez absolument ?~ ~ ~–
129  IV|     postiches étaient déposés.~ ~ ~ ~Colette s’en fut aussitôt retrouver
130  IV|                    Je te laisse, fit Colette rassérénée.~ ~ ~– C’est
131  IV|              le studio de Chantecoq, Colette, installée devant une machine
132  IV|          pièce.~ ~ ~ ~Tout de suite, Colette constata qu’elle avait sa
133  IV|             petit fouinard ?… répéta Colette, toute troublée.~ ~ ~– L’
134  IV|             sans son « gibier ».~ ~ ~Colette offusquée, déclarait :~ ~ ~–
135  IV|              qu’à toute son énergie, Colette décidait :~ ~ ~– Faites-le
136  IV|            la main, il s’avança vers Colette, qui, très calme, l’attendait
137  IV|           déclarait Ménardier.~ ~ ~ ~Colette reprenait :~ ~ ~– Peut-être
138  IV|              avec la même assurance, Colette reprenait, en désignant
139  IV|             mon travail ?… demandait Colette, peu désireuse d’entamer
140  IV|            en tapant sur sa machine, Colette observait Ménardier qui,
141  IV|       ponctua le grand limier.~ ~ ~ ~Colette, abandonnant sa machine
142  IV|           assis sur un banc, près de Colette, avec laquelle il paraissait
143  IV|      sortirent dans le jardin.~ ~ ~ ~Colette et le faux commandeur s’
144  IV|              deux jeunes gens, salua Colette, et tendit la main à Cantarelli,
145  IV|    Bellegarde, je vous arrête.~ ~ ~ ~Colette eut un cri, dominé par la
146  IV|                     Instinctivement, Colette s’était rapprochée de son
147  IV|     prisonnier.~ ~ ~– Jacques !… fit Colette tout en larmes.~ ~ ~– À
148  IV|           élançait vers le fiancé de Colette et lui criait :~ ~ ~– Misérable !
149  IV|          domicile particulier.~ ~ ~ ~Colette, qui avait décidé de ne
150  IV|       fenêtre qu’elle avait ouverte, Colette lui lançait :~ ~ ~– Qu’y
151  IV|            tour de Belphégor ?~ ~ ~ ~Colette demeura un instant pensive…
152  IV|    cuisinière qui s’était approchée, Colette fit :~ ~ ~– Vous allez demander
153  IV|            jusque dans le studio, où Colette attendait.~ ~ ~– C’est bien
154  IV|  naturellement peu rassurante.~ ~ ~ ~Colette, cependant, s’empara de
155  IV|             affolée, se rapprocha de Colette, qui était vivement émue.~ ~ ~–
156  IV|             de suite à Mantes.~ ~ ~ ~Colette regarda l’homme bien en
157  IV|             dire.~ ~ ~ ~Brusquement, Colette s’écriait :~ ~ ~– Vous mentez !~ ~ ~ ~
158  IV|               Marie-Jeanne obéit, et Colette admirable de courage, fit,
159  IV|             intérieur de la voiture, Colette, sans chapeau, un manteau
160  IV|                    Presque aussitôt, Colette entrouvrit les paupières…
161  IV|      galamment, il offrit son bras à Colette, qui s’y appuya… tout en
162  IV|        secret, Maurice de Thouars et Colette pénétrèrent dans le château,
163  IV|           Thouars l’ouvrit et invita Colette à en franchir le seuil.~ ~ ~ ~
164  IV|       parfois de ces caprices…~ ~ ~ ~Colette n’insista pas.~ ~ ~ ~D’ailleurs,
165  IV|          oscillations de l’aiguille, Colette s’arrêta, tout en manifestant
166  IV|          chiens ! ordonna le père de Colette à Gautrais, qui détacha
167  IV|        expression de haine indicible Colette qui, cependant, avait eu
168  Ep|            le restaurantJacques et Colette s’en furent vers la balustrade
169  Ep|           les airs… Instinctivement, Colette rapprocha sa tête de son
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