Partie

 1   I|    reprit :~ ~ ~– Pouvez-vous me rendre un grand service ?~ ~ ~–
 2   I|    voisine, qu’il risquait de se rendre un tantinet ridicule, en
 3   I|       Son premier soin fut de se rendre à la salle des Dieux barbares ;
 4   I|          il allait chercher à se rendre compte comment et par où
 5   I|           mais tout au moins lui rendre assez d’espoir pour qu’elle
 6   I|           J’ai l’intention de me rendre au Louvre avec ma fille.
 7   I|        excusait de ne pouvoir se rendre chez lui à l’heure dite.
 8  II|         que je vais de ce pas me rendre chez Mlle Desroches.~ ~ ~ ~
 9  II|   Chantecoq, si vous voulez vous rendre compte, rien de plus facile…~ ~ ~–
10  II|          serrure, cherchant à se rendre compte si le malfaiteur
11  II|        Chantecoq, voulez-vous me rendre le grand service de vous
12  II|            Je me penchai pour me rendre compte… Mais au même moment,
13  II|   Orientaux suspects, j’ai pu me rendre compte qu’il existait, dans
14  II|      Fantôme était décidé à nous rendre visite, il pénétrerait tout
15  II|   nettement que, loin de vous en rendre responsable, je vous ai
16 III|            Nous allons donc nous rendre tout de suite chez lui,
17 III|             Il se disposait à se rendre dans le petit appartement
18 III| irrésistible lui ordonnait de se rendre au chevet de la morte, de
19 III|       longtemps… Vous allez vous rendre malade bien inutilement…
20  IV|      Nous allons maintenant nous rendre près de la femme de chambre.~ ~ ~ ~
21  IV|     occupait, elle ne pouvait se rendre compte de ce qui se passait
22  IV|         Je vais immédiatement me rendre au palais de Justice ; là,
23  IV|      composer son personnage, su rendre sympathique sa physionomie
24  IV|   adjoint, je ne tardai pas à me rendre compte que l’entrée de la
25  IV|     crypte qui devait ensuite me rendre un grand service, j’arrivai
26  IV|        aux Papillon l’idée de se rendre ici !~ ~ ~ ~Le bellâtre
27  IV|         chagrin m’a permis de me rendre compte que vous m’aimiez
28  IV|        elle n’avait plus qu’à se rendre ou à mourir, malgré la douleur