Partie,  Chap.

  1   1,  Ded|   distinguer moi-même celui de la mère de ceux des enfants.~ ~ ~ ~
  2   1,    1|       jour dans un coin et que ma mère plaçait, chaque nuit, au
  3   1,    1|        sautais comme un lapin. Ma mère me rattrapait sous un meuble
  4   1,    1|         soleil, n'y voyant que ma mère en peignoir rose et ne sachant
  5   1,    1|     dormeur tu fais ! » disait ma mère en riant.~ ~ ~ ~Il fallait,
  6   1,    1|          marchande d'estampes, la mère Mignot, notre voisine, en
  7   1,    1|        sortes de délicatesses. Ma mère, fort occupée et qui n'aimait
  8   1,    1|       traverser la cour.~ ~ ~ ~Ma mère me surveillait de sa fenêtre,
  9   1,    1|         la dame en noir.~ ~ ~– Sa mère n'a que celui-là, n'est-il
 10   1,    1|          me répondit point, et ma mère me dit que c'était un petit
 11   1,    1|           pleurer, de pleurer. Ma mère m'avait dit que les grandes
 12   1,    1|    pourriez-vous le renvoyer à sa mère ? Ce que j'ai à vous dire
 13   1,    1|           toutes jolies.~ ~ ~ ~Ma mère, qui avait des griefs sérieux
 14   1,    1|            j'en faisais part à ma mère. Toujours inutilement. Il
 15   1,    1| expliquent les petits enfants. Ma mère était distraite. Elle ne
 16   1,    1|           Valence, à qui ma chère mère parlait de la sorte, était
 17   1,    1|     oreilles d'épagneul.~ ~ ~ ~Ma mère était ravie : Valence m'
 18   1,    1|         faisait peur.~ ~ ~ ~Et ma mère, qui avait la divine patience
 19   1,    1|            furent arrachés à leur mère et étouffés dans un cachot
 20   1,    1|        cramponnai à la robe de ma mère en criant :~ ~ ~« Emmène-moi,
 21   1,    1|   monsieur Robin. »À ces mots, ma mère me pinça le bras dans l'
 22   1,    1|         représentais mon père, ma mère et ma bonne, comme des géants
 23   1,    1|      confiance que m'inspirait ma mère était quelque chose d'infini :
 24   1,    1|         de voir et d'entendre. Ma mère n'entrouvrait pas son armoire
 25   1,    1|   soupçonne aujourd'hui ma pauvre mère d'un faible pour les boîtes.
 26   1,    1|         il n'eût que celui-là. Sa mère était blanchisseuse et travaillait
 27   1,    1|               Alphonse, ajouta ma mère, Alphonse est mal élevé ;
 28   1,    1|          retins les paroles de ma mère et elles s'associèrent,
 29   1,    1|     malheur. » Cette parole de ma mère me troublait pour lui. Vous
 30   1,    1|          la table à ouvrage de ma mère. Il m'était interdit d'y
 31   1,    1|       confesser mon aventure à ma mère, je tombai dans un grand
 32   1,    1|     abattement. J'avais tort ; ma mère me gronda, mais avec de
 33   1,    1|       dessiner des bonshommes, ma mère m'appela sans songer qu'
 34   1,    1|           insupportable.~ ~ ~ ~Ma mère me dit :~ ~ ~« Ta marraine
 35   1,    1|         de sa vie. Marcelle et ma mère s'étaient connues au couvent.
 36   1,    1|       connues au couvent. Mais ma mère, plus âgée de quelques années,
 37   1,    1|            qu'elle fit pitié à ma mère. C'est alors que commença
 38   1,    1|         peu de temps avant que ma mère sortît du couvent. Elles
 39   1,    1|           qu'elle était alors, ma mère ne comprenait pas la vie
 40   1,    1|      savais, m'a dit cent fois ma mère, si tu savais comme elle
 41   1,    1|    indices extrêmement vagues. Ma mère était alors fiancée à un
 42   1,    1|          Que sais-je encore ?… Ma mère se maria et ne revit plus
 43   1,    1|      emmena ma marraine.~ ~ ~ ~Ma mère m'a dit souvent :~ ~ ~«
 44   1,    1|         fût des îles, ajoutait ma mère ; il était Français, natif
 45   1,    1|     apprendre, en passant, que ma mère disait " les îles " pour
 46   1,    1|          Marcelle, poursuivait ma mère, Marcelle était folle de
 47   1,    1|              À cette question, ma mère répondit avec embarras.~ ~ ~«
 48   1,    1|         Voilà ce que m'a conté ma mère. Je n'en sais pas davantage.
 49   1,    2|          beaucoup de louanges. Ma mère était pieuse. Sa piété 50   1,    2|          me touchait beaucoup. Ma mère me lisait souvent La vie
 51   1,    2|           refusai de déjeuner. Ma mère, qui n'entendait rien à
 52   1,    2|         le mettre sur sa tête. Ma mère, en apprenant l'aventure
 53   1,    2|          me rappelaient ce que ma mère m'enseignait d'Adam et des
 54   1,    2|                J'en instruisis ma mère. Elle se mit à rire.~ ~ ~«
 55   1,    2|    anthropologie. » À ce coup, ma mère laissa tomber le peigne
 56   1,    2|          Dieu le veuille ! dit ma mère ; je n'aime point les vaniteux. »
 57   1,    2|          le visage bouleversé. Ma mère, affairée, parlait tout
 58   1,    2|    quelque chose.~ ~ ~ ~Enfin, ma mère, tout de noir habillée et
 59   1,    2|  grand-maman Nozière… tu sais, la mère de ton père… est morte cette
 60   1,    2|          fois. » Et je vis que ma mère avait pleuré. Pour moi,
 61   1,    2|        eus peur et je regardai ma mère. Ses yeux étaient fixés,
 62   1,    2|           silence.~ ~ ~ ~Quand ma mère allongea la main pour ouvrir
 63   1,    2|         les yeux et j'entendis ma mère qui sanglotait.~ ~ ~ ~Je
 64   1,    2|       impatience. Près de lui, ma mère écrivait des adresses sur
 65   1,    2|       dimanche, nous partions, ma mère et moi, pour l'église. Elle
 66   1,    2|        souriait du sérieux que ma mère apportait à toutes les affaires
 67   1,    2|          dois les pardonner à une mère. N'en doutez pas, je soigne
 68   1,    2|          entendais mon père et ma mère causer dans la chambre voisine,
 69   1,    2|         encore bien petit, dit ma mère.~ ~ ~– Eh bien, dit mon
 70   1,    2|    sociale.~ ~ ~– Mon ami, dit ma mère, ne craignez-vous pas que,
 71   1,    2|      raison, mon ami, répondit ma mère. J'irai dès demain à la
 72   1,    2|           pensez-vous ? répéta ma mère.~ ~ ~– C'est un point qu'
 73   1,    2|           plus pour lui.~ ~ ~ ~Ma mère, accoudée au dossier du
 74   1,    2|        miaulements du tigre. » Ma mère posa sa tête sur l'épaule
 75   1,    2|          père baisa la joue de ma mère, qui souriait ; puis, élevant
 76   1,    2|   préhistorique et il embrassa ma mère.~ ~ ~ ~Il parlait encore.
 77   1,    2|       Sans doute, mon ami, dit ma mère ; mais plus j'y songe, plus
 78   1,    2|           à découvrir l'usage. Ma mère m'expliqua que n'avoir point
 79   1,    2|               Je le demandai à ma mère, quand je fus de retour
 80   1,    2|           fiction, me répondit ma mère, c'est un mensonge.~ ~ ~–
 81   1,    2|      Quelle Jeanne ? » demanda ma mère.~ ~ ~ ~Des vierges du hameau
 82   1,    2|           dans l'esprit.~ ~ ~ ~Ma mère ne me répondit rien ; mais
 83   1,    2|          avez raison, répondit ma mère ; l'enfant et la bête s'
 84   1,    2|      disputaient le docteur et ma mère.~ ~ ~ ~Huit jours après,
 85   1,    2|           un professeur.~ ~ ~ ~Ma mère, l'ayant vu un jour au parloir,
 86   1,    2|         venait un à la maison, ma mère m'enverrait dîner, ce jour-là,
 87   1,    2|  découpant avec les ciseaux de ma mère tout le papier que je pus
 88   1,    2|        nomme maternelle et que ma mère m'apprenait fort bien, seulement
 89   1,    2|          elle parlait à ravir, ma mère !~ ~ ~ ~Mais M. l'abbé Jubal
 90   1,    2|             Parmi les amies de ma mère, il en était une auprès
 91   1,    2|           un éclat surnaturel. Ma mère avait coutume de dire qu'
 92   1,    2|                Chaque fois que ma mère exprimait ce sentiment,
 93   1,    2|         Mais avec les amies de ma mère, j'étais pitoyable. J'éprouvais
 94   1,    2|         lucidité, puis :~ ~ ~« La mère ! dis-je, la mère ! qui
 95   1,    2|              La mère ! dis-je, la mère ! qui donc était là, tout
 96   1,    2|           dans la neige.~ ~ ~« La mère ! vous êtes sûre qu'il n'
 97   1,    4|        les agneaux : elle tète sa mère. Je sais bien qu'en pareil
 98   1,    4|           les épingles. Quand une mère a la faiblesse de nourrir,
 99   1,    4|           au bout des manches. Sa mère, éblouie, la prit sur ses
100   1,    4|        qui l'a piquée », pensa sa mère, fort attachée, par bonheur,
101   1,    4|          demi hors des bras de sa mère, elle agitait les poings
102   1,    4|         elle le trouvait beau. Sa mère, à qui je fis ce simple
103   1,    4|    corbeille pour les donner à sa mère. Elle n'en remarque aucun
104   1,    4|  exagérées. Je dis seulement à sa mère :~ ~ ~« Chère amie, nous
105   1,    4|        approcha de la fenêtre. Sa mère l'y suivit et la prit dans
106   1,    4|            cette petite », dit sa mère en l'embrassant.~ ~
107   1,    5|         de rousseur, pâlirent. Sa mère s'inquiétait. Parfois, tandis
108   1,    5|           de la salle enfumée. La mère Trévière, accroupie devant
109   1,    5|         monstre ! » lui criait sa mère.~ ~ ~ ~Et c'étaient des
110   1,    5|         lui répondit sèchement sa mère.~ ~ ~ ~L'ami des peintres
111   1,    5|           rien.~ ~ ~– Et vous, la mère ? toujours le nez sur la
112   1,    5|        deux bras sur le cou de sa mère penchée.~ ~ ~« Maman, dit-il,
113   1,    5|      comme autrefois il aimait sa mère. Il ne sait pas que sa bonne
114   1,    5|        Alors, on a beau être leur mère, on n'a plus qu'un sein
115   1,    5|           dans ses yeux.~ ~ ~ ~Sa mère a peur de ce teint-là et
116   1,    5|            Au mois de juillet, sa mère l'emmena tout pâle et mince
117   1,    5|         Mais le moyen ? Sa pauvre mère avait essayé de tout, et
118   1,    5|           pin ! » Ce fut, pour sa mère, une sorte de révélation.
119   1,    5|           gros petit bonhomme. Sa mère était ravie. Elle disait :~ ~ ~«
120   1,    6|       grand scandale de ma pauvre mère, que Jésus-Christ était
121   1,    6|           la chanson ? C'est « Ma Mère l'Oie », répondent les savants
122   1,    6|        les savants de village, Ma Mère l'Oie, qui filait sans cesse
123   1,    6|      enquérir. Ils ont reconnu Ma Mère l'Oie dans cette reine Pédauque
124   1,    6|      Nevers. Ils ont identifié Ma Mère l'Oie à la reine Bertrade,
125   1,    6|       reine Berthe au grand pied, mère de Charlemagne ; à la reine
126   1,    6|          perdre. Qu'est-ce que Ma Mère l'Oie, sinon notre aïeule
127   1,    6|          le vieux fonds indou, la Mère l'Oie brodait des images
128   1,    6|   Fontaine qui ait senti comme Ma Mère l'Oie la poésie du terroir,
129   1,    6|       porte la petite-fille de la Mère Grand est un premier indice
130   1,    6|          peut être définitive. La Mère l'Oie n'avait pas bien retenu
131   1,    6|           l'absence du prince, sa mère, une ogresse, une Rakchasa,
132   1,    6|           cela que l'entendait Ma Mère l'Oie.~ ~ ~ ~Mais, si vous
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