Partie

  1     I|           ordinaire du passage de Mme Bergeret dans le cabinet
  2     I|           linge et la dépense. Et Mme Bergeret y déposait le mannequin
  3     I|         Roux vibrait encore quand Mme Bergeret entra dans le cabinet
  4     I|          de Freund et fit asseoir Mme Bergeret. M. Bergeret considéra
  5     I|          poussés contre le mur et Mme Bergeret qui y avait été
  6     I|          Car enfin, se disait-il, Mme Bergeret nageait dans l’
  7     I|         bruni, monsieur Roux, dit Mme Bergeret, et, il me semble,
  8     I|         adoucir pour l’oreille de Mme Bergeret, quelle personne
  9     I|          on offensât l’honneur de Mme Deval, sa mère, parce qu’
 10     I|        sergent Lebrec.~ ~ ~ ~Mais Mme Bergeret dit sèchement à
 11     I|          deux.~ ~ ~– Ah ! s’écria Mme Bergeret, je te conseille
 12     I|         que vous m’en faites, dit Mme Bergeret, j’éprouve pour
 13     I|          nous, monsieur Roux, dit Mme Bergeret. Ce sera un vrai
 14     I|           tourte. Chaque fois que Mme Bergeret faisait à l’improviste
 15     I|          songea qu’il fallait que Mme Bergeret estimât singulièrement
 16     I|          longues causeries.~ ~ ~ ~Mme Bergeret reprit :~ ~ ~–
 17     I|           après une querelle avec Mme Bergeret, refusait le service.
 18    IV|           un présent de M. Roux à Mme Bergeret.~ ~ ~ ~Le maître
 19     V|      doyen, M. Bergeret rencontra Mme de Gromance qui revenait
 20     V|    fortune pour un honnête homme. Mme de Gromance lui paraissait
 21     V|      sourire, en la voyant.~ ~ ~ ~Mme de Gromance ne concevait
 22     V|           de rendre des visites à Mme Mazure, pour la secrète
 23     V|           je reconnais le tort de Mme de Gromance. Elle est née
 24     V|           ajouta-t-il, comment va Mme Bergeret ?~ ~ ~ ~Le vent
 25     V|           genoux, et il pensait à Mme de Gromance pour se remettre
 26     V|         cette note, il songea que Mme Berger devenait dépensière,
 27     V|           de dire, qui exaspérait Mme Bergeret, fière d’occuper
 28     V|         opinion arrêtée, mais que Mme Bergeret jugeait de bon
 29     V|        était celle de la volupté. Mme Bergeret avait la tête renversée
 30    VI|         et voulut tuer M. Roux et Mme Bergeret. Mais il le voulut
 31    VI|    Bergeret pensa tuer M. Roux et Mme Bergeret, mais il le pensa
 32    VI|            Après avoir voulu tuer Mme Bergeret et M. Roux par
 33    VI|          toile rouge et dorés que Mme Bergeret y déposait comme
 34    VI|          dégoût. Ce n’est pas que Mme Bergeret fût capable par
 35    VI|            Roux, son élève, uni à Mme Bergeret. Cette représentation,
 36    VI|         de soie et de crochet que Mme Bergeret avait faite elle-même
 37    VI|      mannequin d’osier sur lequel Mme Bergeret taillait ses robes
 38    VI|        elle lui rappelait surtout Mme Bergeret, et, bien que cette
 39    VI|         chose sans tête lui parut Mme Bergeret elle-même, Mme
 40    VI|           Mme Bergeret elle-même, Mme Bergeret odieuse et grotesque.
 41    VI|           remis jusqu’à ce jour à Mme Bergeret, il alla droit
 42    VI|          vit les images mêlées de Mme Bergeret et de M. Roux…
 43    VI|          l’impression visuelle de Mme Bergeret unie à M. Roux,
 44   VII|        sans rien dire, M. Roux et Mme Bergeret poussèrent ensemble
 45   VII|   aggraver l’aventure.~ ~ ~ ~Mais Mme Bergeret, qui tenait, au
 46   VII|          guéridon.~ ~ ~ ~Et comme Mme Bergeret demeurait pleine
 47   VII|         gens assis sur le canapé. Mme Bergeret voulut s’en rendre
 48   VII|      aller à la porte et celui de Mme Bergeret de restituer la
 49   VII|        cesser les incertitudes de Mme Bergeret.~ ~ ~ ~Alors, il
 50   VII|          Et il employa un mot que Mme Bergeret connaissait mal,
 51   VII|         il ne pouvait que nuire à Mme Bergeret en prolongeant
 52   VII|        des pieds, gagna la porte. Mme Bergeret, demeurée seule,
 53   VII|         réalité le préjugé tombe. Mme Bergeret n’était pas une
 54   VII|    commencé de même. D’ordinaire, Mme Bergeret était très flattée
 55   VII|           dans son cabinet.~ ~ ~ ~Mme Bergeret, accablée, ne répondit
 56  VIII|        soins, dans la boutique de Mme Magloire, c’était l’effet
 57  VIII|      gagnée aussi par le sommeil, Mme Lafolie, grasse, la poitrine
 58    IX|    affaire d’une très petite, que Mme Bergeret et M. Roux étaient
 59    IX|         ne fit pas de reproches à Mme Bergeret. Il ne lui dit
 60    IX|            ne perçut rien d’elle. Mme Bergeret était une créature
 61    IX|           les vieux usages.~ ~ ~ ~Mme Bergeret était violemment
 62    IX|           ni poisons rares.~ ~ ~ ~Mme Bergeret était précisément
 63    IX|   bouchons. Il l’avait rapporté à Mme Bergeret qui n’avait pas
 64    IX|                C’était le jour de Mme Leterrier, la femme respectée
 65    IX|       femme respectée du recteur. Mme Bergeret alla voir Mme Leterrier
 66    IX|            Mme Bergeret alla voir Mme Leterrier et dans le salon
 67    IX|        salon bleu, en présence de Mme Compagnon, femme du professeur
 68    IX|      écoutaient encore ce soupir, Mme Bergeret ajouta :~ ~ ~–
 69    IX|        madame Compagnon !…~ ~ ~Et Mme Bergeret, discrète, contenue,
 70    IX|         de M. Roux auprès d’elle. Mme Leterrier, à compter de
 71    IX|      comme il faut. Et parlant de Mme Bergeret, elle disait, la
 72    IX|          faite et se déclara pour Mme Bergeret. On publia que
 73     X|    matin-là, assis à table, entre Mme Worms-Clavelin en peignoir
 74    XI|          notre ville.~ ~ ~– C’est Mme de Gromance, dit M. Bergeret.
 75    XI|          ce type se retrouve chez Mme de Gromance, née Chapon.
 76    XI|          et la forme désirable de Mme de Gromance.~ ~ ~– Maintenant
 77   XII|          je me représente soudain Mme de Gromance, les attitudes
 78   XII|  innocence. « Le bon Dieu, disait Mme Laprat-Teulet, qui était
 79   XII|          que, par reconnaissance, Mme Laprat-Teulet fit suspendre
 80   XII|        vous prie, à la vitrine de Mme Fusellier, la papetière,
 81   XIV|             Le fiacre qui portait Mme Worms-Clavelin dans Paris
 82   XIV|     troncs des arbres en bordure, Mme Worms-Clavelin découvrait,
 83   XIV|          cents ans à peine.~ ~ ~ ~Mme Worms-Clavelin regarda par
 84   XIV|  congrégation, fondée en 1829 par Mme Marie Latreille, fut reconnue
 85   XIV|          des jeunes filles.~ ~ ~ ~Mme Worms-Clavelin sauta de
 86   XIV|         ne se montrait pas.~ ~ ~ ~Mme Worms-Clavelin respira avec
 87   XIV|          les purs du département, Mme Worms-Clavelin cachait que
 88   XIV|          les scandales du régime. Mme Worms-Clavelin, considérant
 89   XIV|            Bonjour, maman !~ ~ ~ ~Mme Worms-Clavelin l’examina
 90   XIV|                   Et papa ?~ ~ ~ ~Mme Worms-Clavelin fut presque
 91   XIV|  capacités administratives. »~ ~ ~Mme Worms-Clavelin secoua la
 92   XIV|           composition d’histoire. Mme de Saint-Joseph a dit que
 93   XIV|     traité le sujet à fond.~ ~ ~ ~Mme Worms-Clavelin demanda mollement :~ ~ ~–
 94   XIV|       Pragmatique Sanction.~ ~ ~ ~Mme Worms-Clavelin demanda,
 95   XIV|        faute la plus grave.~ ~ ~ ~Mme Worms-Clavelin trouvait
 96   XIV|        Avec une pressante énergie Mme Worms-Clavelin invita sa
 97    XV|      clergé une vive sollicitude. Mme Worms-Clavelin a fait baptiser
 98    XV|           que mes nièces d’Ansey. Mme Worms-Clavelin patronne
 99   XVI|           conjonctures présentes. Mme Bergeret était une femme
100   XVI|     privée et sa dignité sociale. Mme Bergeret était une épouse
101   XVI|        Elle allait en visite chez Mme Torquet, la femme du doyen ;
102   XVI|          la femme du doyen ; chez Mme Leterrier, la femme du recteur ;
103   XVI|           femme du recteur ; chez Mme Ossian Colot, la femme du
104   XVI|     directeur de la prison ; chez Mme Surcoux, la femme du greffier ;
105   XVI| grandissait, s’étendait, montait. Mme Dellion, la femme du maître
106   XVI|     odieuse de M. Bergeret. Ainsi Mme Bergeret soutenait et contentait
107   XVI|     Bergeret continuait d’ignorer Mme Bergeret.~ ~ ~ ~Ce soir-là,
108   XVI|       Bergeret.~ ~ ~ ~Ce soir-là, Mme Bergeret dit dans la cuisine :~ ~ ~–
109   XVI|          Elle objecta fermement à Mme Bergeret, comme elle l’avait
110   XVI|         une longue tendresse pour Mme Bergeret qui, naguère encore,
111   XVI|  maîtresse et qu’elle crût, comme Mme Dellion et les dames de
112   XVI|      dames de la bourgeoisie, que Mme Bergeret était innocente.
113   XVI|       menu les amours secrètes de Mme Bergeret et de M. Roux.
114   XVI|     Bergeret cassât sur le dos de Mme Bergeret coupable les deux
115   XVI|       plus prendre ses repas avec Mme Bergeret et, d’une autre
116   XVI|    Bergeret et, d’une autre part, Mme Bergeret dont l’existence,
117   XVI|      soupirait la jeune Euphémie. Mme Bergeret, à qui M. Bergeret
118   XVI|       idiote dans cette maison. » Mme Bergeret lui faisait pitié.
119   XVI|        précisément à l’endroit de Mme Bergeret. Et il reconnut
120   XVI|           fait de mal à personne. Mme Bergeret est plus morale
121   XVI|     suivie, qui était de rendre à Mme Bergeret la vie insupportable,
122   XVI|        par l’Éros de ne plus voir Mme Bergeret. Et ce pur, ce
123   XVI|          Semblable sur ce point à Mme Bergeret, sa maîtresse,
124 XVIII|          la maison comme la mort. Mme Bergeret connut à sa vue
125 XVIII|          à vos demoiselles.~ ~ ~ ~Mme Bergeret sentait qu’avec
126 XVIII|   bibliothèque que d’avoir séduit Mme Bergeret.~ ~ ~– Votre nation,
127   XIX|       Depuis qu’il avait enlevé à Mme Bergeret déchue le gouvernement
128   XIX|          n’était mangeable.~ ~ ~ ~Mme Bergeret, seule dans la
129   XIX|           buis sur le comptoir de Mme Magloire, la pâtissière
130   XIX|           la place Saint-Exupère. Mme Magloire tirait le fil,
131   XIX|      innombrables petits paquets. Mme Bergeret ne savait point
132   XIX|        natale du Nord. Le père de Mme Bergeret, Victor Pouilly,
133   XIX|           mariage, ma fille. » Et Mme Bergeret entendait ce discours.
134   XIX|      gardé de sympathies que chez Mme Dellion, pour qui elle était
135   XIX|           vertu malheureuse. Mais Mme Dellion, étant d’une société
136   XIX|   admirait et ne la recevait pas. Mme Bergeret demeurait abattue
137   XIX|      buffet de la salle à manger, Mme Bergeret se coucha pleine
138   XIX|       jours après cette entrevue, Mme Bergeret parut, tranquille
139   XIX|                  J’espère, ajouta Mme Bergeret, que vous ferez
140   XIX|          la faisait paraître, que Mme Bergeret ne renonçât à un
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