Partie

 1     I|            latine les louanges des hommes ! C’est l’amour de mon pays
 2     I|          et du bon sens.~ ~ ~« Les hommes se déterminent pas leur
 3     I|           que hausser le moral des hommes et exciter leur émulation
 4     I|            de ne pas tutoyer leurs hommes, sans s’apercevoir que le
 5     I|            tous les exercices. Les hommes ingénieux et adroits y attendent
 6     I|                   Au quartier, les hommes ne voient jamais leurs officiers.~ ~ ~–
 7     I|          il aimait le commerce des hommes et se plaisait aux longues
 8     I|         qui s’y trouvent. Ces deux hommes, que la science faisait
 9     I|         heure avec tous les jeunes hommes de la fière Europe, et dont
10     I|           ingénu de la plupart des hommes, s’impose à eux comme l’
11   III|           la fierté, parce que les hommes me tournaient en raillerie,
12    IV|           vraiment un monde et des hommes du monde ? Il me semble
13    IV|      sociaux sont très confus. Les hommes s’assemblent en raison de
14    IV|          porter ses hommages à des hommes vulgaires et injurieux,
15    IV|         exclusivement réservée aux hommes infirmes, débiles, malingres
16     V|     réflexions par une compagnie d’hommes, de femmes et d’enfants
17    VI|         générations innombrables d’hommes, d’anthropoïdes et de bêtes
18    VI|           cette Vénus, volupté des hommes et des dieux. Et son image,
19    VI|             qui règne sur tous les hommes et particulièrement chez
20    VI|        homme et commune à tous les hommes, et en ont obscurci le caractère.
21    IX|            bienveillant mépris des hommes ! »~ ~ ~Et M. Bergeret se
22    XI|            que, de tout temps, les hommes ont été méchants et cruels,
23    XI| philanthropes, ne torturait-on les hommes que par un simple sentiment
24    XI|         cent vingt-quatre figures, hommes, femmes, chevaux et chiens.
25    XI|            était timide devant les hommes.~ ~ ~ ~M. de Terremondre
26    XI|            presque toutes pour des hommes petits et minces. En effet,
27    XI|          respect d’une multitude d’hommes portant des fusils et des
28    XI|           dit M. Bergeret, que les hommes tiennent pour le premier
29    XI|            disciples, qui sont des hommes très religieux, célèbrent
30    XI|            le culte des morts, des hommes utiles, de la femme et du
31    XI|          plans pour le bonheur des hommes et s’occupent d’aménager
32    XI|     difficile de concevoir que des hommes réfléchis et sensés, comme
33   XII|          vivre dans la mémoire des hommes. À moins d’être très bien
34   XII|   extérieur apparaît au commun des hommes, il dédaigna de voir, tracée
35   XII|         une action cachée. Car les hommes ne se cachent guère que
36   XII|    papetière, les portraits de nos hommes d’État. Et dites s’il en
37   XII|          Ils ne sont pas de grands hommes, Dieu merci ! et nous pouvons
38  XIII|         des êtres semblables à des hommes.~ ~ ~ ~M. Bergeret était
39   XVI|         voluptés qui s’offrent aux hommes sont plus diverses qu’on
40   XVI|         gloire et les louanges des hommes ne caresseront jamais vos
41   XVI|          vécut durant trois âges d’hommes et parvint au Collège de
42   XVI|    primitif, qui subsiste chez les hommes modernes de l’esprit le
43   XVI|            examen les opinions des hommes, il s’examina lui-même pour
44  XVII|          penser commune à tous les hommes. Nos idées morales ne sont
45  XVII|        force capable de réunir les hommes dans un même sentiment,
46  XVII|          mortellement ennemis. Les hommes le plus souvent se querellent
47 XVIII|          œuvre sur les esprits des hommes n’a pas moins varié. Toutes
48 XVIII|        vôtre.~ ~ ~ ~Ainsi ces deux hommes excellents agitaient entre