Partie

 1     I|       recluse et sans joie, que sa femme avait l’âme vulgaire et
 2     I|    produire mon dictionnaire et ma femme, monuments de ma pénible
 3     I|        possible avec toi.~ ~ ~– Ma femme pense comme le doyen, dit
 4    II|           Il avait le mépris de la femme. Ce n’est point à dire qu’
 5     V|    estimant que la vue d’une jolie femme est une bonne fortune pour
 6     V|           Bergeret la gloire d’une femme. Elle y mêlait beaucoup
 7     V|            la bonne Marguerite, sa femme, avait mis sur le cerisier
 8     V|        chauffeurs, un homme et une femme, pendus à un arbre de la
 9    VI|         cette table ronde entre sa femme et ses filles. Ce n’était
10    VI|            car je comprends qu’une femme belle, oisive, sollicitée…
11    VI|     esquisse d’un bel arbre, d’une femme gracieuse, qui s’étaient
12    VI|         jamais beaucoup aimé cette femme, qu’il avait épousée sur
13    VI|     embrasser et de promener cette femme d’osier chaque fois qu’il
14    VI|           fable de la ville. Cette femme me trompe peut-être depuis
15    VI|          il me faudrait, c’est une femme, parce qu’il faut une femme
16    VI|        femme, parce qu’il faut une femme pour tenir un ménage.~ ~ ~ ~
17    VI|       Seulement il me faudrait une femme sérieuse.~ ~ ~ ~Il s’était
18    VI| connaîtrait point, par hasard, une femme, pas toute jeune, travailleuse,
19   VII|           Bergeret n’était pas une femme emportée hors de sa destinée
20   VII|        jusqu’au point où, pour une femme, il n’y a plus désormais
21    IX|          il donnait à cette pauvre femme l’impression qu’elle était
22    IX|          absent manque à une bonne femme. De plus, cet homme fluet,
23    IX|          jour de Mme Leterrier, la femme respectée du recteur. Mme
24    IX|         présence de Mme Compagnon, femme du professeur de mathématiques,
25     X|      comprendre ce que je dis à ta femme ! Tu es absolument incapable
26    XI|        verrez passer la plus jolie femme de notre ville.~ ~ ~– C’
27    XI|         fois comment ce type de la femme aristocratique s’était formé,
28    XI|           des hommes utiles, de la femme et du grand fétiche, qui
29   XVI|             Mme Bergeret était une femme d’intérieur. Elle avait
30   XVI|         sanctifie, qui assure à la femme sa sécurité privée et sa
31   XVI|        visite chez Mme Torquet, la femme du doyen ; chez Mme Leterrier,
32   XVI|             chez Mme Leterrier, la femme du recteur ; chez Mme Ossian
33   XVI|          chez Mme Ossian Colot, la femme du directeur de la prison ;
34   XVI|      prison ; chez Mme Surcoux, la femme du greffier ; chez toutes
35   XVI|           montait. Mme Dellion, la femme du maître de forges, qui
36   XVI|     conduite la révoltait chez une femme mariée, d’âge respectable
37   XVI|        pardonner à l’homme et à la femme.~ ~ ~ ~Ainsi faisaient les
38   XVI|        gens du chef-lieu. Quand la femme à Robertet, la grande Léocadie,
39   XVI|          bon moment et corrigea sa femme à coups de chambrière si
40  XVII|          on se damne à désirer une femme. Les leurs sont-elles moins
41   XIX|           à mettre l’honneur d’une femme à l’endroit où on le place
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