Partie

 1     I|          les citoyens, au temps du bon roi Servius Tullius, peu
 2     I|         celui de la patience et du bon sens.~ ~ ~« Les hommes se
 3     I|         esprit militaire, utile au bon ordre physique et moral
 4     I|         faire regretter parfois le bon temps du roi Bomba et la
 5     I| accordera-t-il pas alors la paix à bon marché. Mais vous êtes sûr
 6     I|          pût désormais espérer. Le bon sens était de tirer de lui
 7    II|            la chair et il riait de bon cœur aux endroits scatologiques.~ ~ ~ ~
 8   III|         mignon. Et ce qu’il y a de bon, je vais vous dire, c’est
 9   III|            de marcher. Le pied est bon. Le soulier n’est pas bon.
10   III|          bon. Le soulier n’est pas bon. Mais je ne peux pas mettre
11   III|          mettait ingénieusement un bon manche de hêtre, taillé
12     V|            Mme Bergeret jugeait de bon goût à cause de la suspension
13  VIII|            rude, mais avisée et de bon conseil, dévouée à son maître,
14  VIII|       espérait tirer des lèvres du bon curé le secret de l’adversaire.~ ~ ~–
15    IX|        avait trompé. Elle avait le bon sens de ne pas s’exagérer
16     X|      écarté, sur la proposition du bon Gambetta, quand l’amnistie
17    XI|        législateur. L’usage en est bon, puisqu’il sauve des malheureux.
18   XII|       instants du jeune Lecœur. Ce bon prêtre, au terme de sa vie
19   XII|    régulier de son innocence. « Le bon Dieu, disait Mme Laprat-Teulet,
20   XII|         avaient choisi pour donner bon air à la maison, montrait
21   XII|           suspicion, se réjouit du bon esprit de ses administrés,
22   XII|          immodérés dont le succès, bon ou mauvais, assure notre
23   XIV|        pourtant décente et d’assez bon air, percée de fenêtres
24   XIV|             athée, homicide, c’est bon pour le peuple qui les nourrit !~ ~ ~ ~
25    XV|   semblerait, à l’entendre, que le bon Dieu a mis le feu lui-même
26    XV|           ce moine excusât le Dieu bon d’un malheur arrivé, par
27   XVI|          du vin mousseux ; moi, ce bon Français qui n’a jamais
28   XVI|            monde brûlant et glacé, bon et mauvais, il n’y a rien
29   XVI|          Il surprit les galants au bon moment et corrigea sa femme
30   XVI|           M. Bergeret se rendit de bon matin chez Deniseau, qui
31  XVII|             voulez-vous écouter un bon conseil ? Vous êtes républicain ;
32 XVIII|         madame. Je prierai bien le bon Dieu pour vous, qu’il vous
33 XVIII|             vous avez toujours été bon pour moi. Je vous souhaite