Partie

 1     I|        de la peine à tirer leurs trois ans. Ils souffrent. Mais
 2     I|          avec mélancolie, si les trois couleurs partaient de la
 3     I|     partaient de la hampe, comme trois flammes d’oriflamme, ce
 4    II|          garder un jour ou deux, trois au plus.~ ~ ~– Dis donc
 5    II| ouvreuses.~ ~ ~ ~Mais quand, les trois coups frappés, la toile
 6   III|   Acarnanie. Mais en regardant à trois pas devant lui, il vit un
 7     V|          de deux empereurs et de trois républiques, il riait dans
 8     V|                Elle resta pendue trois ans, s’écria l’archiviste,
 9    VI|        les flammes de sa colère. Trois secondes pleines s’étaient
10    VI|          M. Bergeret, durant ces trois secondes interminables,
11    VI|               Il se tut, enfonça trois clous dans le cuir de la
12   VII|    encore trompé M. Bergeret que trois fois. Mais c’était assez
13  VIII|   ragaillardi :~ ~ ~« Huit mille trois cent vingt-cinq francs de
14     X|           sans même oser frémir, trois cent mille chrétiens d’Orient
15    XI|         docteur Fornerol. Depuis trois nuits que la foule attend
16    XI|         ne comporte pas moins de trois cent vingt-quatre figures,
17    XI|  fauteuil de famille qui, depuis trois cents ans, reçoit avec complaisance
18    XI|          arrivés par le train de trois heures trente. Ils se sont
19    XI|     humeur difficile. Témoin les trois cents canonniers de la 33e
20    XI|         tristement à tirer leurs trois ans, comme elles disent,
21   XVI|   abaissement. Chaque jour, vers trois heures de l’après-midi,
22   XVI|    depuis plus de trente ans par trois générations de philologues
23   XVI| immortelles, car il vécut durant trois âges d’hommes et parvint
24   XVI|       auquel je travaille depuis trois ans et qui me sera payé
25 XVIII|          la somme, et recommença trois fois ses calculs en remuant
26 XVIII|         Aspertini. J’avais copié trois lettres inédites de Muratori,
27   XIX|         Marie la servante volant trois francs soixante-quinze laissés