Partie

 1     I|           voyage qu’il faisait en France. Carlo Aspertini était grandement
 2     I|       absence, comme on l’a vu en France.~ ~ ~ ~M. Bergeret en était
 3     I|    insurrections éclater, soit en France, soit en Allemagne ou en
 4     I|         fortifient ; c’est que la France n’est plus l’amie du genre
 5     I|         est qu’elle n’est plus la France des philosophes et de la
 6     I|         rétablir ses affaires. La France, en 1870, s’est inspirée
 7     I|   supportait depuis vingt ans, la France eut l’idée peu réfléchie
 8    IV|        une des plus brillantes de France pour le mérite des professeurs
 9     X| Angleterre ne lui rapportaient en France que des satisfactions d’
10     X|     sentiment, et comptant sur la France pour porter la justice et
11     X|           n’y a rien à changer en France. Sans doute, je suis progressiste.
12     X|         plus triste, c’est que la France, la France antique libératrice
13     X|           c’est que la France, la France antique libératrice des
14    XI|         talon. Et Jilly revint en France couvert, pour sa part, d’
15    XI|          Italie, en Flandre et en France. Il a été traité notamment
16    XI|        fallait qu’en Italie et en France la fleur de chevalerie fût
17    XI|        que possible, de donner en France même ces fêtes martiales
18   XII|           conseil des communes de France où l’on appréciait sa sagesse
19   XII|           du Parlement livrent la France à une puissance étrangère,
20   XII|        sont près de fondre sur la France.~ ~ ~ ~
21    XV|   complices de nos hontes, que la France avait manqué à sa vocation
22    XV|        attestant la sagesse de la France et de l’Europe dans les
23    XV|   catholicisme, à cette heure, en France, n’a nulle part de soutien
24   XVI|          et parvint au Collège de France et à l’Institut sans avoir
25  XVII|           il ne coexiste point en France d’un côté une morale religieuse
26   XIX|        mais vieille au bout de la France, dans sa petite ville natale