Partie

 1     I|        se déterminent pas leur sentiment le plus fort. Chez les soldats,
 2     I|     dans toutes les foules, le sentiment le plus fort est la peur.
 3     I|  gauche et maladroit, avait un sentiment précis de la justice qui
 4     I|      pansage des chevaux et le sentiment patriotique.~ ~ ~« Le grade
 5     V|      un sage et qu’il avait le sentiment de l’harmonie, il ne souhaitait
 6     V|      sa part l’expression d’un sentiment sincère. M. Mazure n’avait
 7     V|        sans raison, sans aucun sentiment. Il tourna le bouton de
 8    VI|      nul acte ne put suivre le sentiment et que l’expression même
 9    VI|        l’expression même de ce sentiment échappa par sa rapidité
10    VI|   mouvement commun, et dans un sentiment mutuel, la ramenait précisément
11   VII|        avait fortifiée dans ce sentiment domestique et fier.~ ~ ~ ~
12    IX|  trouva dans ce petit livre un sentiment si faux de la nature, une
13    IX|        encore M. Bergeret : ce sentiment était en elle héréditaire
14    IX|       le jugement du monde, le sentiment populaire lui faisait une
15     X|       fidèle à la politique de sentiment, et comptant sur la France
16     X|     voilà bien la politique de sentiment ! Tu devrais pourtant savoir
17    XI|       et la démence lui ôte le sentiment de ses tortures. On croit
18    XI|       hommes que par un simple sentiment de haine et de vengeance,
19   XII|   guerre pour elle-même et par sentiment chevaleresque. Au reste,
20    XV| religieux. Mais il gardait son sentiment. D’abord, il n’était pas
21    XV|   eux-mêmes ont perdu jusqu’au sentiment du sacrifice et jusqu’à
22  XVII|        les hommes dans un même sentiment, car tout ce qui est sujet
23 XVIII|      des opinions humaines, un sentiment si désespéré que le vôtre.~ ~ ~ ~
24 XVIII|      pour ceux qui la font. Un sentiment juste de la passion et de