Partie

 1     I|        Mais puissiez-vous, mon ami, n’être jamais immortalisé
 2     I|     plaindre. Mais il avait un ami, Deval, élève, pour le malais,
 3     I|        douloureux.~ ~ ~– Votre ami Deval, répondit M. Bergeret,
 4     I|       Euphémie.~ ~ ~– Mon cher ami, dit M. Bergeret à son élève,
 5     I|        lettre de mon excellent ami William Harrison, que la
 6     I|        la liberté permise à un ami. Reconnaissons d’abord que
 7    II| futailles, demeurait son vieil ami, l’abbé Le Génil, aumônier
 8    II|       livres. Il demanda à son ami de le garder un jour ou
 9    II|      démarches sinueuses à cet ami naturellement franc, qui
10    II|             Et, conduisant son ami dans sa chambre à coucher,
11    II|        reparut aux yeux de son ami dans une redingote longue,
12    II|     connaissait bien son vieil ami ; il savait que le subtil
13   III|   Alouette.~ ~ ~– Bonjour, mon ami, lui dit-il, je vois que
14   III|        tuyau.~ ~ ~– Mon pauvre ami, lui dit M. Bergeret, vous
15    IV|      curieux de s’instruire et ami des nouveautés, pria M.
16    IX|      cachés. Et M. Mazure, son ami, son compagnon du coin des
17     X|      vieux Montessuy. Non, mon ami, à moins de changer les
18    XI|     vous ne connaissez pas mon ami Jilly. Il est pourtant assez
19    XI|      le tour du monde avec son ami Lord Turnbridge, à bord
20    XI|       Or je ne sais pas si mon ami Jilly est d’une sensibilité
21   XII|        de la société laïque, l’ami intime des anciens ministres
22 XVIII|        donner le bonjour à son ami M. Bergeret. Elle fit sans
23 XVIII| entretint longtemps encore son ami français de divers sujets
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