Partie

 1     I|       des insectes et un peu de pensée. Il a fallu une éternité
 2     I|    Reconnaissons d’abord que la pensée française entre comme autrefois
 3    II|      eût toujours été chaste de pensée. Il avait connu, dans le
 4   III|        réglant la cadence de sa pensée sur celle de son pas, il
 5   III|         ce vagabond, ou dans la pensée que l’arrestation paraîtrait
 6   III|    suivait le cours de sa lente pensée, car un peu de temps après
 7     V|     quitté ce compagnon dont la pensée est courte et grossière,
 8     V|         par un facile détour sa pensée sur ce Pauquet qui avait
 9    VI|         Dans ce nouvel état, sa pensée n’était plus simple ; elle
10    VI|        Et, par l’effet de cette pensée, il entra dans sa douleur
11    VI|       Alors il s’attendrit à la pensée de l’intimité rompue. Il
12    IX| Bergeret se fortifia dans cette pensée que notre orgueil est la
13    IX|        impénétrable asile d’une pensée impénétrable, de demander
14   XII|    fleurs des pommiers, vide de pensée et pleine d’images confuses,
15   XII|      nécessaire de cacher notre pensée que de porter des vêtements.
16   XII|       de la prison, plein de sa pensée, continua son discours.~ ~ ~–
17  XIII|          de poil, de voix et de pensée, ses yeux tendres cachés
18   XVI|          Vains désirs ! Inutile pensée ! M. Bergeret continuait
19   XVI|         œufs.~ ~ ~ ~C’était une pensée nouvelle en son esprit de
20   XVI|      voulu contempler sa propre pensée sous l’aspect d’une nymphe
21   XVI|         ne lui pardonne pas. Ma pensée à son égard est immorale