Partie

 1     I|           peuple moins prompt à la guerre qu’on ne pense et qui fut
 2     I|         récente, un ministre de la Guerre civil et plein de civilité,
 3     I|   communiqué par un ministre de la Guerre. Un général avait pu faire
 4     I|          commandeur Aspertini : la guerre et la banqueroute.~ ~ ~–
 5     I|           la banqueroute.~ ~ ~– La guerre ! répliqua M. Bergeret.
 6     I|       entretien commencé.~ ~ ~– La guerre, dit-il, a des conséquences
 7     I|            sur les blessures de la guerre. Puis discrètement, en silence,
 8     I|     premier, devait recommencer la guerre, sans apporter de nouvelles
 9     I| recommençait une troisième fois la guerre, pour la raison que les
10     V|         pour payer les frais de la guerre. Il faisait fondre même
11     X|          douteux. Il était pour la guerre à outrance. Quand la Commune
12     X|            tandis qu’un conseil de guerre, siégeant à Versailles,
13    XI|          République, faisait-il la guerre et se battait-il rudement.
14    XI|     prononcées par les conseils de guerre ne sont exécutées qu’en
15   XII|      semble fait pour déchaîner la guerre et ravager le monde. Leur
16   XII|        belliqueuse. Il y a dans la guerre une générosité qui déplaît
17   XII|             annonçait la fin de la guerre. La prophétie n’était pas,
18   XII|          profond avenir. L’état de guerre est l’état ordinaire d’une
19   XII|           nouvelles. La paix et la guerre dépendent aujourdhui moins
20   XII|            qu’elle n’aime point la guerre pour elle-même et par sentiment
21  XVII|           ils abandonnent ? sur la guerre qu’ils iront faire à vos
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