Partie

 1     I|       jeunes hommes de la fière Europe, et dont jouissent comme
 2     I|        moral et matériel dans l’Europe continentale. C’est une
 3     I|       de ses idées :~ ~ ~– Si l’Europe n’était pas en caserne,
 4     I|       qui appauvrit et abêtit l’Europe.~ ~ ~– Il y a deux portes
 5     X|     désormais que de venger, en Europe, les droits des porteurs
 6     X|        dignes de l’intérêt de l’Europe financière. Ils ont du désordre
 7    XI|     dans plusieurs nations de l’Europe, sans qu’il s’y commette
 8    XI| brigands armés qui désolaient l’Europe au XVIIIe siècle. Il fut
 9   XII|        devenus supportables à l’Europe. C’est une heureuse nouveauté.~ ~ ~«
10   XII|        je crois discerner que l’Europe, tout armée qu’elle est,
11   XII|      est l’état ordinaire d’une Europe féodale et monarchique.
12   XII| puissante que les Puissances. L’Europe financière est d’humeur
13   XII|       la révolution ouvrière. L’Europe socialiste sera probablement
14   XII|         paix. Car il y aura une Europe socialiste, monsieur l’abbé,
15   XII|      Lantaigne, il n’y a qu’une Europe possible, l’Europe chrétienne.
16   XII|       qu’une Europe possible, l’Europe chrétienne. Il y aura toujours
17    XV|    sagesse de la France et de l’Europe dans les affaires d’Orient,
18    XV|       marche pas à la tête de l’Europe. Le Père Ollivier croit-il
19    XV|       de marcher à la tête de l’Europe ?~ ~ ~– Il aurait tort de