Partie

 1     1| entendait que lui. Mon excellent père ne partageait pas, à ce
 2     1|        dire au capitaine que mon père était un homme que l’on
 3     1|         son front.~ ~ ~– Je suis père, Excellence, je suis père !
 4     1|        père, Excellence, je suis père ! s’écria-t-il enjoignant
 5     1|         du pinceau de M. Polizzi père. Enrichie de ces chefs-d’
 6     1|  facultés transcendantes que son père déployait dans la mimique
 7     1|       surprenez, monsieur. Votre père, que je vis récemment à
 8     1|         parole de monsieur votre père.~ ~ ~– Je l’étais en effet,
 9     1|        de l’impudente mimique du père. Je détestai dans le fond
10     2|      vous verrai plus. Je serais père et grand-père si vous l’
11     2|  gentilhomme, car le vilain, son père, acquéreur de biens nationaux,
12     2|           Paul de Gabry, dont le père, galant homme et bibliophile
13     2|       des nobles inclinations du père. M. Paul s’est adonné aux
14     2|     femme. Elle est orpheline de père et de mère. Son père nous
15     2|          de père et de mère. Son père nous a fait courir une grosse
16     2|   Bonnard, je puis tout dire. Le père de cette enfant était un
17     2|      abord comment j’ai connu le père de Clémentine. Mais n’attendez
18     2|         ordonnée et joyeuse. Mon père était aussi lent qu’elle
19     2|       une autre cause.~ ~ ~» Mon père, entré dans les bureaux
20     2| département de la marine, et mon père devint, en 1805, chef de
21     2|    phrases ! » On rapporta à mon père que la colère de l’empereur
22     2|          ses semelles.~ ~ ~» Mon père ne se releva jamais de cette
23     2|      flotte. Après Waterloo, mon père, plus attristé que surpris,
24     2|       empire avait causées à mon père. Le capitaine Victor criait
25     2|          notre foyer. Mon pauvre père souffrait cruellement des
26     2|        petit homme. Un matin mon père, m’ayant pris dans ses bras,
27     2|          vitres résonnèrent. Mon père m’avait laissé glisser à
28     2|        vu, chez M. Denon, où mon père m’avait mené, une momie
29     2|     sorte d’engourdissement. Mon père m’envoya au lycée, et j’
30     2|      Clémentine et sur son vieux père, qui d’ailleurs partirent
31     2|    troubla un peu en saluant mon père, qu’elle ne connaissait
32     2|           s’il était vacant. Mon père demanda à mademoiselle de
33     2|         prendre le café avec mon père. Je ne sais comment ils
34     2|    complètement différentes. Mon père admirait peu et pardonnait
35     2|      danger était Bonaparte. Mon père n’avait gardé aucune tendresse
36     2|      culture intellectuelle. Mon père, qui avait des connaissances
37     2|          dans une bouteille. Mon père, un peu surpris de mon éloquence,
38     2|     était un polisson.~ ~ ~» Mon père se leva avec nonchalance,
39     2|     remontrance courtoise de mon père jeta M. de Lessay dans une
40     2|     fille et sans moi.~ ~ ~» Mon père, les bras croisés, un peu
41     2|         levant les yeux vers son père qui montait l’étage, elle
42     2|         ai pas revue depuis. Son père alla se loger du côté du
43     2|       malice, comme souriait mon père, et dit :~ ~ ~– Avec ceux
44     2|        je vis fort âgée chez mon père, reçut à sa dernière maladie
45     2|          premier coup.~ ~ ~ ~Mon père l’alla voir peu de temps
46     2|     antique ; le portrait de mon père en grand uniforme et celui
47     2|    comparable au fauteuil de mon père. C’était un fauteuil que
48     2|          consentement exprès des père, mère et des tuteurs seront
49     2|    échauffant pour la défense du père magnifique de Lucy et de
50     3|        soir de l’an dernier, son père m’appela :~ ~ ~– Venez,
51     3|    enfant.~ ~ ~ ~Aujourdhui, le père et la mère sont revenus
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