Partie

 1     1|          J’irais le chercher au cœur brûlant de l’Afrique ou
 2     1|         je haïssais de tout mon cœur. Au dessert, je crus entendre
 3     1| entendant ces paroles, j’eus le cœur si serré que l’orgueil,
 4     1|    oncle Victor ! mais un grand cœur battait sous les brandebourgs
 5     1| boutiques, cette fleur au grand cœur ouvert qui s’effeuillait
 6     1|         qui me firent battre le cœur :~ ~ ~ ~Cy gist Jehan Toutmouillé,
 7     1|      vieille fille n’a guère de cœur. Elle me laisse partir sans
 8     2|         et riaient de tout leur cœur, du matin au soir.~ ~ ~ ~
 9     2|         Clémentine, regardez ce cœur maintenant refroidi par
10     2|       pensée me serre encore le cœur. Je perdis ma mère. Un grand
11     2|     dans mon angoisse (ô pauvre cœur humain !) ma première idée
12     2|    auprès du mien, sans que mon cœur se serrât douloureusement.
13     2|    profondément, pressa sur son cœur sa mystérieuse pèlerine
14     2|   Préfère, indignée, pressa son cœur à deux mains sous sa pèlerine,
15     2|     leur semble bon, à cause du cœur qui n’est pas encore bien
16     2|        n’y en a pas : c’est mon cœur qui me le dit.~ ~ ~ ~Et
17     2|      pressait des deux mains ce cœur prêt sans cesse à s’échapper.~ ~ ~ ~
18     2|         Il avait une maladie de cœur et il dépérissait à vue
19     2|       chère, vous n’avez pas de cœur. À votre place, je ferais…
20     2|        jusqu’à moi, et j’eus le cœur serré.~ ~ ~ ~15 décembre.~ ~ ~ ~
21     2|       Préfère, une main sur son cœur et l’autre étendue vers
22     2|   pressa sa pèlerine contre son cœur, non plus cette fois pour
23     2|     sans doute pour caresser ce cœur généreux.~ ~ ~– Madame,
24     2|       où je pouvais réciter par cœur, sans prendre haleine, quinze
25     2|      son grand âge et son grand cœur. C’est une humble créature