Partie

 1     1|      mon discours, c’était ma pensée.~ ~ ~ ~J’appelai ma gouvernante,
 2     1|      ignorant. Je frémis à la pensée que, peut-être, ses feuillets
 3     1|       exprimé à mon égard une pensée bienveillante, qui méritait
 4     1|      exprimé à sa manière une pensée profonde : « On ne s’ennuie
 5     1|    citoyen ! Quelle audace de pensée, quelle vertu ! quelle âme !
 6     2|    dissertation était dans ma pensée une façon ingénieuse de
 7     2|     plaisir, mais cette seule pensée mérite toute ma reconnaissance,
 8     2|      il ne se ranime pas à la pensée d’aimer ce qui reste de
 9     2|      exprimé cette judicieuse pensée, le jeune physiologiste
10     2|       choses, et sache que la pensée est la seule réalité du
11     2|   éprouvai un malheur dont la pensée me serre encore le cœur.
12     2|  parce qu’il ne trahit aucune pensée précise et qu’il n’exprime
13     2|       à fait jovial. La seule pensée d’être importun le gardait
14     2|       aux vierges chères à la pensée mystique. À ne considérer
15     2|       grand âge qui, selon la pensée de Gœthe, avait consenti
16     2|    entendre, et la magnifique pensée de Gœthe se ramène, quand
17     2|       les mille nuances de ma pensée et m’inspirent et m’animent.
18     2|    dans ma vieille tête cette pensée de la jeune fille : on est
19     2|       un sourire. Ma première pensée fut de la vouer à tous les
20     2|       sont malgré toi unis de pensée. Cassandre, sois heureux !
21     2| exemplaires si familiers à ma pensée, à ma main, à mes yeux,
22     2|          Comme répondant à ma pensée, la jeune fille me dit :~ ~ ~–
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