Partie

 1     1|        garçon tout nu, comme un fils de déesse ; il porte au
 2     1|     comme celle-là, monsieur le fils de ma sœur, je ne vous reconnaîtrais
 3     1| cardeuse de matelas et les sept fils du fruitier ; ils se mettront
 4     1|      consolantes.~ ~ ~– J’ai un fils, me répondit-elle. Il est
 5     1|        des sanglots :~ ~ ~– Mon fils Rafaello, le fils de ma
 6     1|           Mon fils Rafaello, le fils de ma pauvre femme, dont
 7     1|        ma chair et mon sang. Un fils unique ! le fils de ma pauvre
 8     1|       sang. Un fils unique ! le fils de ma pauvre sainte femme.~ ~ ~–
 9     1|          Voici l’adresse de mon fils. Faites la connaître à vos
10     1|      passe. Quand Rafaello, mon fils, fut sur le point de partir
11     1|    Polizzi était un coquin, son fils en était un autre. Mais
12     1|           La décente gravité du fils me déplaisait à l’égal de
13     2|     courtoises. À vrai dire, le fils n’a point hérité des nobles
14     2|        ai trouvé ce matin trois fils blancs dans mes cheveux.~ ~ ~–
15     2|        Nevers qu’elle épousa le fils d’un riche paysan, Achille
16     2|        pouvait être le meilleur fils du monde, mais qui n’avait
17     2|      ceint de la cordelière des fils de saint François, offrant
18     2|        d’Épiménide Bonnard, son fils, et de Jean-Baptiste Bonnard,
19     2|        trouveront avoir suborné fils ou fille mineurs de vingt-cinq
20     2|        la stupidité d’un si bon fils, et le petit Raymond, grâce
21     2|         son frère. Elle aime le fils du tyran, et ce fils l’aime.
22     2|         le fils du tyran, et ce fils l’aime. Et tandis qu’elle