Partie

 1     1|       J’approchai du foyer mon fauteuil et ma table volante, et
 2     1|   dis-je en me jetant dans mon fauteuil, apprenez-moi si le jeune
 3     1| métalliques.~ ~ ~ ~Posé sur un fauteuil portugais en cuir armorié,
 4     2|     Gabry s’assit dans le seul fauteuil qui restât au salon délabré.~ ~ ~–
 5     2|        fenêtre, dans son grand fauteuil, il lisait du matin au soir,
 6     2|        Je vois encore le vieux fauteuil de velours d’Utrecht jaune
 7     2|    dans les soirées d’hiver un fauteuil vide auprès du mien, sans
 8     2|      meuble fort comparable au fauteuil de mon père. C’était un
 9     2|        de mon père. C’était un fauteuil que cet homme de bien tenait
10     2|        dire que c’était un bon fauteuil. Il boita ensuite de trois
11     2|        s’écria : « Quel solide fauteuil ! » On admirait que, n’ayant
12     2|    aplomb, il gardât figure de fauteuil, se tînt à peu près debout
13     2|      excellent, le merveilleux fauteuil ! Il fut à l’usage de Pierre-Sylvestre
14     2|      Quel vénérable et robuste fauteuil ! » En réalité c’était un
15     2|          En réalité c’était un fauteuil mort. Eh bien ! docteur,
16     2|     bien ! docteur, je suis ce fauteuil. Vous me jugez solide parce