Partie,  Chap.

  1   Pro        |         dans cette tour ?~ ~ ~– Sa fille, Monsieur…~ ~ ~ ~Cette fois,
  2   Pro        |           comme une voleuse ou une fille perdue… et depuis dix années…
  3   Pro        |           rappeler qu’il avait une fille.~ ~ ~ ~Je vécus donc seule,
  4   Pro        |       question dans les yeux de la fille du capitaine d’armes, et
  5   Pro        |           vous récompensera. Si ma fille m’est rendue, c’est à vous
  6   Pro        |            auprès du berceau de ma fille. C’est de là aussi que j’
  7   Pro        |             et que c’était bien la fille de Stevenson qui était devant
  8   Pro        |          belle et charmante petite fille…~ ~ ~– À mains jointes,
  9   Pro        |    suppliée alors de me laisser ma fille.~ ~ ~– Votre père l’avait
 10   Pro        |         donner un époux à la jeune fille séduite et un père à l’enfant
 11   Pro        |           vue.~ ~ ~– Elle avait ma fille ?~ ~ ~– Elle n’avait plus
 12   Pro        |         cela pourrait, servir à ma fille.~ ~ ~– Et vous avez bien
 13   Pro        |      confié une enfant, une petite fille, que vous avez promis d’
 14   Pro        |            miss Fanny ; je suis la fille du capitaine Stevenson et
 15   Pro        |           années environ.~ ~ ~– Ma fille en avait trois à peine.~ ~ ~–
 16   Pro        |          et d’embrasser un jour ma fille !~ ~ ~ ~Et, prenant la tête
 17   Pro        |     apprenne ce qu’il a fait de ma fille !~ ~ ~– Alors, vous n’avez
 18     1,      I|            séduisants qu’une jeune fille pût rêver, et dès la première
 19     1,      I|             mais il aimait trop sa fille pour lui imposer sa volonté,
 20     1,      I|           plus attentionné pour sa fille aînée, la mère ne parvenait
 21     1,      I|       rayonner dans les yeux de sa fille Nancy, accueillit ses hôtes
 22     1,      I|         ayant Nancy, sa plus jeune fille, à ses côtés, et causant
 23     1,      I|           jeune officier.~ ~ ~– Ma fille aînée, mademoiselle de Beaufort !~ ~ ~ ~
 24     1,      I|        point pris garde à la jeune fille ; mais dès qu’il eut levé
 25     1,      I|           prendras.~ ~ ~ ~La jeune fille passa alors son bras sous
 26     1,     II|            une personne dont votre fille lui rappelait les traits.~ ~ ~–
 27     1,     II|           insistais pour que votre fille Edmée restât encore au couvent.
 28     1,     II|        jeune femme ; Edmée est une fille sérieuse ; elle aime peu
 29     1,     II|            Gaston regarda la jeune fille avec plus d’intérêt qu’il
 30     1,     II|           dernier en souriant à sa fille, j’espère que voilà un début
 31     1,    III|         elle voulait redemander sa fille. C’est alors qu’elle pensa
 32     1,    III|       Simier ; elle sait où est sa fille.~ ~ ~ ~Palmer remua la tête.~ ~ ~–
 33     1,    III|        misérable qui lui a ravi sa fille. Miss Fanny Stevenson espère
 34     1,     IV|            à Toulouse, laissant sa fille, Mariette Duparc, dans le
 35     1,     IV|        présence d’une grande jeune fille.~ ~ ~– Cela t’embarrasse ?~ ~ ~–
 36     1,      V|            c’était une belle jeune fille.~ ~ ~ ~Elle avait grandi,
 37     1,      V|      devenue bel et bien une jeune fille de dix-sept ans.~ ~ ~ ~Au
 38     1,     VI|           dans ses bras, la petite fille qu’il avait laissée au départ,
 39     1,     VI|           On n’est plus une petite fille. Songez donc, j’ai dix-sept
 40     1,     VI|           il a rencontré une jeune fille qui a fait sur lui une certaine
 41     1,     VI|         était approché de la jeune fille et lui avait pris la main,
 42     1,    VII|           traces du comte et de sa fille !~ ~ ~ ~Comme huit heures
 43     1,    VII|           la grâce de retrouver ma fille, je lui dirai ce que j’ai
 44     1,   VIII|          pour le père, qui aime sa fille avec adoration.~ ~ ~– Je
 45     1,   VIII|          qui était de retrouver ma fille… Dans les espoirs fous auxquels
 46     1,   VIII|            devenir une belle jeune fille. Je ne l’ai jamais revue,
 47     1,   VIII|           m’attachai à cette jeune fille, comme je me serais attachée
 48     1,   VIII|          Ah ! que l’on me rende ma fille demain, et vous verrez avec
 49     1,     IX|      voudrais pas dire à une jeune fille pure et douce comme vous
 50     1,      X|          établît ses droits sur sa fille et sur son mari ?~ ~ ~ ~
 51     1,      X|             Elle veut reprendre sa fille.~ ~ ~– Par quel moyen ?~ ~ ~–
 52     1,      X|    devenant blême.~ ~ ~– C’est une fille pratique, qui fait honneur
 53     1,     XI|            pu m’atteindre entre ma fille et mon époux ! Je me reposais
 54     1,     XI|         gré de sa fantaisie, et ma fille, ma Nancy… une bâtarde,
 55     1,     XI|      intact, je saurai défendre ma fille, et j’espère que vous ne
 56     1,     XI|                Edmée !~ ~ ~– Votre fille ?~ ~ ~– Que deviendrait-elle,
 57     1,     XI|           quand celui de ma propre fille est en jeu.~ ~ ~– Maïs elle
 58     1,     XI|      croyez que j’aurai pour votre fille tous les ménagements, toutes
 59     1,     XI|           attendit l’arrivée de sa fille.~ ~ ~ ~Son cœur battait
 60     1,     XI|        peine écoulées que la jeune fille accourait se jeter dans
 61     1,    XII|           Beaufort en regardant sa fille, que dis-tu là ?~ ~ ~– Ce
 62     1,    XII|           m’a parlé de cette jeune fille dont tu viens toi-même de
 63     1,   XIII|            se tourna vers la jeune fille, le visage presque calme.~ ~ ~–
 64     1,   XIII|          qu’elle avait retrouvé sa fille, son devoir était tracé,
 65     1,   XIII|           allait engager.~ ~ ~ ~Sa fille ?… Edmée ?…~ ~ ~Elle la
 66     1,   XIII|            que Gaston portait à sa fille.~ ~ ~ ~Jamais elle n’eût
 67     1,    XIV|         Beaufort vient chercher sa fille ; elle veut probablement
 68     1,    XIV|           précipiter vers la jeune fille à laquelle elle eût voulu
 69     1,    XIV|          une heure avec une petite fille.~ ~ ~– Vous êtes méchante !~ ~ ~–
 70     1,     XV|           emparé de l’esprit de sa fille.~ ~ ~– Vous !~ ~ ~– Sa fille !…
 71     1,     XV|       fille.~ ~ ~– Vous !~ ~ ~– Sa fille !… Comprenez-vous ! Elle
 72     1,     XV|     entendre raconter qu’une jeune fille, belle, riche, heureuse,
 73     1,     XV|          On n’enlève pas une jeune fille contre son gré, au su du
 74     1,     XV|        Mais M. de Beaufort aime sa fille…~ ~ ~– Il l’aime ! Je le
 75     1,     XV| voulez-vous ?~ ~ ~– Je veux que ma fille vive, entendez-vous ? Je
 76     1,    XVI|         pensée que de retrouver sa fille. Seulement une crainte la
 77     1,    XVI|           elle oubliait presque sa fille pour ne songer qu’à sa vengeance.~ ~ ~ ~
 78     1,    XVI|         son bonheur et celui de sa fille, et elle a payé quelqu’un,
 79     1,  XVIII|         Fontanges, une belle jeune fille appartenant à une famille
 80     1,  XVIII|         homme qui épouse une jeune fille sans dot, lui donne, en
 81     1,    XIX|         entretien du père et de la fille il avait remarqué que les
 82     1,    XIX|    soustraire la malheureuse jeune fille à toutes recherches un fait
 83     1,    XIX|          Mais au lieu de la petite fille que j’avais laissée au départ,
 84     1,     XX|       avait toujours témoigné à sa fille. Mais, depuis la veille,
 85     1,     XX|            récent enlèvement de sa fille, elle s’était dressée de
 86     1,     XX|       misérables qui m’ont ravi ma fille !~ ~ ~– Devrai-je revenir
 87     2,      I|            moment sous celui de sa fille.~ ~ ~ ~Edmée ne l’avait
 88     2,      I|        Beaufort et il enveloppa sa fille d’un douloureux regard.~ ~ ~–
 89     2,      I|      tombaient sur les joues de sa fille.~ ~ ~ ~Celle-ci se dégagea
 90     2,     II|          calmer le désespoir de sa fille.~ ~ ~ ~Enfin, il se rapprocha.~ ~ ~–
 91     2,     II|    Beaufort s’éloigna, laissant sa fille plus agitée et plus émue
 92     2,     II|     demandait-il pas la main de sa fille ?~ ~ ~ ~Pourquoi, enfin,
 93     2,    III|            se pencha vers la jeune fille tout émue.~ ~ ~– Et si madame
 94     2,     IV|             C’est que vous êtes la fille de M. de Beaufort et non
 95     2,     IV|            lui restait au moins sa fille. Pauvre enfant ! qui n’avait
 96     2,     IV|            jamais lui parler de sa fille.~ ~ ~– C’est horrible !~ ~ ~–
 97     2,     IV|            elle de vous appeler sa fille !~ ~ ~– Pourquoi n’est-elle
 98     2,     IV|           qu’elle allait placer sa fille dans une situation terrible.~ ~ ~–
 99     2,     IV|        ajouterez les baisers de sa fille qui ne sera tout à fait
100     2,     IV|     pleuriez toujours. C’était une fille, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Sans
101     2,     IV|            ne puisse demander à sa fille !~ ~ ~– Que dois-je faire ?~ ~ ~–
102     2,      V|         que vous me répondez de ma fille !~ ~ ~ ~Palmer salua d’un
103     2,     VI|           a préparé la fuite de ma fille.~ ~ ~ ~Miss Fanny eut un
104     2,     VI|     sourire méprisant.~ ~ ~– Votre fille ! répondit-elle en se dressant
105     2,     VI|    Stevenson ; vous m’avez volé ma fille et je l’ai reprise. Qu’y
106     2,     VI|          ai voulu m’assurer que ma fille n’avait plus rien à redouter
107     2,     VI|           j’avais affaire avec une fille que M. Beaufort avait honoré
108     2,     VI|          que vous destinez à votre fille ! Nous avons des intérêts
109     2,    VII|     Rosalie n’abandonnerait pas sa fille en pareille occurrence ;
110     2,    VII|          pas, interrompit la jeune fille. Voyez, il n’y a plus personne
111     2,    VII| continua-t-il, en suivant la jeune fille, il n’est peut-être pas
112     2,    VII|          en souriant vers la jeune fille.~ ~ ~ ~Celle-ci ne vit pas
113     2,   VIII|      exécuta un bond vers la jeune fille, et, avant qu’elle eût fait
114     2,      X|            serez contente de votre fille.~ ~ ~ ~Edmée n’en dit pas
115     2,      X|         légaux pour reprendre leur fille. Miss Fanny Stevenson s’
116     2,      X|            ses mains affolées ; ma fille ! mon enfant ! c’est fini,
117     2,      X|             Car celle-là, c’est ma fille : Nancy, mon seul amour !
118     2,     XI|          naissance ; la mère et la fille se liguaient avec Gaston
119     2,     XI|           lui avait affirmé que sa fille avait accompagné Gaston
120     2,     XI|           quant à Nancy, ma pauvre fille à moi, il y a longtemps
121     2,     XI|           quitte cet hôtel avec ma fille ? ou bien encore m’y croire
122     2,     XI|         bon père, songez que votre fille vous attendra demain, et
123     2,   XIII|           ne pouvait penser que sa fille se montrerait impitoyable ;
124     2,   XIII|          jeune novice, laissant sa fille tout entière à la lettre
125     2,    XIV|         regret de l’étreinte de sa fille et l’enveloppa longuement
126     2,    XIV| soupçonneux, presque craintif à sa fille.~ ~ ~– Ainsi, dit-il peu
127     2,    XIV|            il soit malséant qu’une fille demeure auprès de sa mère…~ ~ ~ ~
128     2,     XV|           plus que je t’appelle ma fille ?~ ~ ~– Je n’ai pas dit
129     2,     XV|          mon supplice, et c’est ma fille… mon Edmée…~ ~ ~ ~La pauvre
130     2,     XV|        plein de désordre. Tu es ma fille, mon enfant adorée… et je
131     2,     XV|          ne demandait qu’à voir sa fille heureuse, et chaque fois
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