Partie,  Chap.

 1   Pro        |         atteignit le pont.~ ~ ~– Est-ce vous, commandant ? demanda
 2   Pro        |           C’est bien un phare, n’est-ce pas ? insista Gaston, de
 3   Pro        |         était sinistre.~ ~ ~– Qu’est-ce à dire ? balbutia-t-il,
 4   Pro        |        pouvait durer toujours, n’est-ce pas ? Il y a une loi de
 5   Pro        |          C’est terrible.~ ~ ~– N’est-ce pas ?…~ ~– Et pendant ces
 6   Pro        |         voulez-vous dire ?~ ~ ~– Est-ce trop demander à votre courtoisie ?~ ~ ~–
 7   Pro        |         presque une ville.~ ~ ~– Est-ce là que vous habitiez ?~ ~ ~ ~
 8   Pro        |       vous m’avez trouvée.~ ~ ~– Est-ce de ce côté qu’il faut gouverner ?
 9   Pro        |          vous n’avez que faire ? Est-ce que je vous connais, moi ?
10   Pro        |         son importance.~ ~ ~– Qu’est-ce donc ? Parlez !~ ~ ~– Le
11   Pro        |          jusqu’à, demain ?~ ~ ~– Est-ce trop demander ?~ ~ ~– Nullement ;
12   Pro        |     viendrait la réclamer.~ ~ ~– Est-ce vrai ?~ ~ ~– Mais…~ ~ ~–
13   Pro        |         vrai ?~ ~ ~– Mais…~ ~ ~– Est-ce vrai ? Par grâce… je vous
14   Pro        |        vous a été confiée.~ ~ ~– Est-ce possible ? On m’avait dit
15   Pro        |       elle était bien vivante, n’est-ce pas ? dites ! dites !~ ~ ~ ~
16     1,     II|          je l’ai vu pâlir.~ ~ ~– Est-ce possible ?…~ ~– Pourquoi ?
17     1,     II|         faire la remarque.~ ~ ~– Est-ce que cette histoire vous
18     1,     II|        Cela se comprend.~ ~ ~– N’est-ce pas ? mais je n’entends
19     1,     IV|         qui est bizarre.~ ~ ~– N’est-ce pas, commandant ? J’ai fait
20     1,     IV|         j’avais mal vu…~ ~ ~– Qu’est-ce donc ?~ ~ ~– Une porte !
21     1,     IV|         qui m’y attire.~ ~ ~– Qu’est-ce donc ?~ ~ ~– Ce sont les
22     1,     IV|        marine ! C’est entendu, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Mais, je ne
23     1,     IV|         le nom d’Edmée.~ ~ ~ ~Qu’est-ce que cela signifiait ? pourquoi
24     1,     IV|       prit à rire.~ ~ ~– Bon ! n’est-ce que cela ? répliqua-t-il ;
25     1,      V|          pleins de larmes.~ ~ ~– Est-ce possible !~ ~ ~– Aussi,
26     1,     VI|      voyons, j’ai bien grandi, n’est-ce pas ? On n’est plus une
27     1,     VI|             Vous trouvez ?~ ~ ~– Est-ce qu’on ne vous l’a pas dit
28     1,     VI|          je m’ennuie bien ici, n’est-ce pas. Vous ne pouvez même
29     1,     VI|         écria-t-il hors de lui ; est-ce possible ?~ ~ ~ ~Et comme
30     1,     VI|          C’est impossible.~ ~ ~– Est-ce de notre chère sœur Rosalie
31     1,    VII|          à leur rencontre.~ ~ ~– Est-ce vous, monsieur Palmer ?
32     1,    VII|          dit ce que j’ai fait, n’est-ce pas ? et comment ma vie
33     1,   VIII|         est bien son portrait, n’est-ce pas ?~ ~ ~– En effet.~ ~ ~–
34     1,   VIII|      Cela vous paraît étrange, n’est-ce pas ? Pourtant, rien n’est
35     1,     IX|     Écoutez-moi. Vous avez vu, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, répondit
36     1,     XI|   avez-vous pas songé plus tôt ? Est-ce notre faute à nous ? D’ailleurs,
37     1,     XI|         donné à réfléchir.~ ~ ~– Est-ce possible ?~ ~ ~– Il y a
38     1,     XI|     aurais pour Nancy elle-même. Est-ce convenu ?~ ~ ~– Il le faut
39     1,    XII|          d’un air inquiet.~ ~ ~– Est-ce que vous auriez quelque
40     1,    XII|         moins, tu es contente, n’est-ce pas ? Tu ne regrettes pas
41     1,    XII|          ce n’est pas sérieux, n’est-ce pas ? interrogea-t-il d’
42     1,    XII|    répliqua-t-elle. Qu’importe ! est-ce que j’y songe ! et, pourvu
43     1,   XIII|       leurs jolies lèvres roses, est-ce qu’il y a à choisir ? Il
44     1,   XIII| frissonnant.~ ~ ~– C’est vrai, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Qui vous l’a
45     1,    XIV|             Vous avez entendu, n’est-ce pas ? répondit-elle d’un
46     1,    XIV|   premier jour où je vous ai vu. Est-ce bien comme cela que je dois
47     1,     XV|     revue depuis ce matin.~ ~ ~– Est-ce que sa mère serait venue
48     1,     XV|     toutes, et il y a de quoi, n’est-ce pas ? Madame la supérieure
49     1,     XV|       chose, vous me le direz, n’est-ce pas, ma sœur ? Songez donc,
50     1,     XV|  Cependant…~ ~ ~– Vous croyez, n’est-ce pas, qu’à l’heure où je
51     1,     XV|    iniquités ; il vous semble, n’est-ce pas, que tous les mystères
52     1,     XV|         balbutia Gaston.~ ~ ~– N’est-ce pas ? répliqua miss Fanny ;
53     1,     XV|         tous les jeudis.~ ~ ~– N’est-ce que cela ?~ ~ ~– Tu y consens ?~ ~ ~–
54     1,     XV|         Mariette Duparc. Ah çà ! est-ce que tu serais jaloux, par
55     1,     XV|   toi-même ?~ ~ ~– Hélas !~ ~ ~– Est-ce que mademoiselle de Beaufort…~ ~ ~–
56     1,     XV|     Voilà qui est grave.~ ~ ~– N’est-ce pas ?~ ~ ~– Que vas-tu faire ?~ ~ ~–
57     1,    XVI|        qui m’attendait.~ ~ ~– Qu’est-ce donc ?~ ~ ~– Tout d’abord,
58     1,    XVI|   perquisition minutieuse.~ ~ ~– Est-ce possible ?~ ~ ~– Je voulus
59     1,  XVIII|        qu’elle puisse désirer. N’est-ce pas votre avis ?~ ~ ~– Assurément.~ ~ ~–
60     1,  XVIII|    Gaston.~ ~ ~– C’était vrai, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Sans doute.~ ~ ~–
61     1,  XVIII|                  À quoi donc ? N’est-ce pas à eux plutôt de trembler ?
62     1,    XIX|        connaissait pas.~ ~ ~ ~Qu’est-ce que cela voulait dire ?~ ~ ~ ~
63     1,    XIX|    joyeux éclat de rire.~ ~ ~– N’est-ce pas là, dit-il gaiement,
64     1,    XIX|   vraiment bien ingrat.~ ~ ~– Qu’est-ce qui te prend ?~ ~ ~– Ah !
65     2,      I|      souvent, je te le promets ! Est-ce que je pourrais jamais renoncer
66     2,     II|  ignorent pas non plus : aussi n’est-ce point par la violence qu’
67     2,     II|     arrive à être injuste ; mais est-ce ma faute ? et serai-je responsable,
68     2,     II|          chagrin. Tu me crois, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Et qui pourrais-je
69     2,     II|       pouvait pas voir.~ ~ ~ ~Qu’est-ce que cela voulait dire ?~ ~ ~ ~
70     2,     IV|        caresses pour votre sœur. Est-ce vrai ?~ ~ ~– Peut-être !~ ~ ~–
71     2,     IV|  rassurez-vous, elle vit !~ ~ ~– Est-ce possible ?~ ~ ~– Vous la
72     2,     IV|          qui lui venaient.~ ~ ~– Est-ce qu’une mère peut abandonner
73     2,     IV|             Vous le lui direz, n’est-ce pas ? Et, ce qui vaut mieux,
74     2,     IV|   toujours. C’était une fille, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Sans doute.~ ~ ~–
75     2,     IV|         priant et pleurant… Mais est-ce que les prières et les larmes
76     2,     IV|        est pas ce que tu veux, n’est-ce pas ; car tu l’aimes !~ ~ ~–
77     2,     IV|        Tu as confiance en moi, n’est-ce pas ? Tu sais que je ne
78     2,     IV|     Gaston !~ ~ ~– Tu consens, n’est-ce pas ? Et demain, bien assurée
79     2,     IV|       troubler dans sa sécurité. Est-ce convenu ?~ ~ ~– Je ferai
80     2,      V|   avidement à son oreille.~ ~ ~– Est-ce que par hasard, dit Fanny
81     2,     VI|        et vous comprenez bien, n’est-ce pas, que dans la situation
82     2,    VII|          On n’est pas parfait, n’est-ce pas ? et plus d’une fois
83     2,   VIII|   ignoble au coin de la bouche ; est-ce que l’amour vous fait peur ?
84     2,   VIII|        vers la matrone.~ ~ ~– Qu’est-ce que je te disais ! fit celle-ci.
85     2,   VIII|         resté interdit.~ ~ ~– Qu’est-ce que cela veut dire ? murmura-t-il
86     2,     IX|             Ah ! il est sauvé, n’est-ce pas ? ajouta-t-elle, incapable
87     2,     XI|          récompensé aujourdhui. Est-ce qu’Edmée a souci de vous
88     2,     XI|         souci de vous seulement, est-ce qu’elle s’inquiète du scandale,
89     2,     XI|      journée. – Vous viendrez, n’est-ce pas ?~ ~ ~« J’ai bien pleuré
90     2,   XIII|          passé.~ ~ ~« Tu sais, n’est-ce pas ? que Maxime et moi
91     2,    XIV|     malheureuse enfant ! dit-il, est-ce donc ainsi que nous devions
92     2,     XV|      bien, je ne la verrai plusEst-ce là ce que vous voulez !…
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