Partie,  Chap.

 1   Pro        |           a…~ ~ ~– Sur l’âme de ma mère, sur la tête de mon enfant,
 2   Pro        |          souvent. J’avais perdu ma mère avant que j’eusse pu la
 3   Pro        |          capitaine Stevenson et la mère de l’enfant qui vous a été
 4   Pro        |         Dieu !… fit la malheureuse mère en étouffant un sanglot.~ ~ ~–
 5   Pro        |        déchirante elle appelait sa mère !…~ ~ ~Miss Stevenson jeta
 6   Pro        |           ses deux mains.~ ~ ~– Sa mère ! sa mère ! répéta-t-elle
 7   Pro        |          mains.~ ~ ~– Sa mère ! sa mère ! répéta-t-elle d’un accent
 8   Pro        |           n’en faut pas tant à une mère qui veut retrouver son enfant.~ ~ ~–
 9   Pro        |    question.~ ~ ~– Au moins, votre mère vit.~ ~ ~– Mon père et ma
10   Pro        |          vit.~ ~ ~– Mon père et ma mère sont morts.~ ~ ~– Eh bien !
11   Pro        |         trouvera en présence de la mère de l’enfant !~ ~ ~ ~
12     1,      I|           ressemblait surtout à sa mère ; elle en avait l’allure
13     1,      I|            pour sa fille aînée, la mère ne parvenait pas toujours
14     1,      I|            adorait le monde, et sa mère ne lui refusa rien de ce
15     1,      I|     enchantait particulièrement sa mère.~ ~ ~ ~Edmée, elle, était
16     1,      I|         cette part d’amour dont sa mère n’avait pas voulu !~ ~ ~ ~
17     1,      I|     extrémité opposée du salon, sa mère était assise, ayant Nancy,
18     1,      I|           raison, viens près de ta mère, tu te reposeras, et le
19     1,      I|        laquelle tu assistes, et ta mère et moi nous ne pouvons que
20     1,     II|          les paroles qu’a dites ma mère tout à l’heure, vous avez
21     1,     II|          années que mon père et ma mère sont morts.~ ~ ~ ~Edmée
22     1,     II|           auprès de Nancy et de sa mère.~ ~ ~ ~M. de Beaufort, de
23     1,    VII|        aimera, j’en suis sûre. Une mère est toujours belle pour
24     1,   VIII|             Et qui donc ?~ ~ ~– Sa mère !~ ~ ~– Madame de Beaufort ?~ ~ ~ ~
25     1,   VIII|        faux. Tout l’amour de cette mère s’est attaché à la plus
26     1,   VIII|           mon sang pour voir cette mère, ne fût-ce qu’une heure
27     1,     IX|           idée de s’en ouvrir à sa mère.~ ~ ~ ~Mais madame de Beaufort
28     1,      X|            qui est, paraît-il, une mère excellente, ait eu le pressentiment
29     1,     XI|       aviez juré d’ailleurs que la mère était morte !~ ~ ~– Je l’
30     1,    XII|            pas seule ; Nancy et ta mère viendront te voir.~ ~ ~–
31     1,    XII|         affectueuse et tendre ; ma mère, quoique sévère, a toujours
32     1,    XII|            nous ayons remarqué, ta mère et moi.~ ~ ~– Cela m’a pourtant
33     1,    XII|         soumise aux volontés de ta mère.~ ~ ~– Ne l’ai-je pas toujours
34     1,   XIII|          vous reste-t-il pas votre mère ?~ ~ ~– Oui, oui, ma mère…
35     1,   XIII|          mère ?~ ~ ~– Oui, oui, ma mèrerépéta Edmée, d’un ton
36     1,   XIII|          étiez toute petite. Votre mère vous aimait d’un égal amour,
37     1,    XIV|           peut devenir capable une mère qu’on a privée pendant dix-sept
38     1,     XV|         matin.~ ~ ~– Est-ce que sa mère serait venue la chercher ?~ ~ ~–
39     1,     XV|          Edmée est rentrée chez sa mère, et que l’on n’a eu d’autre
40     1,     XV|          trouve point auprès de sa mère, vous viendrez me le dire,
41     1,    XVI|        rentrer dans ma cellule, la mère assistante, c’est-à-dire
42     1,  XVIII|            parlait, la malheureuse mère mordait ses lèvres jusqu’
43     2,     II|           connais ont au moins une mère qui les aime ; tandis que
44     2,    III|       autre personne ?~ ~ ~– Votre mère.~ ~ ~– Madame de Beaufort !~ ~ ~ ~
45     2,    III|         Beaufort n’était pas votre mère ! murmura-t-elle en lui
46     2,     IV|           Quoi ? Achevez.~ ~ ~– Ma mère ! Vous l’avez connue aussi ?~ ~ ~–
47     2,     IV|      venaient.~ ~ ~– Est-ce qu’une mère peut abandonner son enfant ?
48     2,     IV|           son enfant.~ ~ ~– Pauvre mère !~ ~ ~– Oui, plaignez-la,
49     2,     IV|           Je vous parlais de votre mère, tout à l’heure.~ ~ ~– Oui,
50     2,     IV|           savoir encore ?~ ~ ~– Ma mère ?~ ~ ~– Eh bien !~ ~ ~–
51     2,     IV|          ne m’aimait pas comme une mère doit aimer son enfant. Vaguement
52     2,     IV|            cœur à celle qui fut ma mère ! Oh ! elle peut être assurée
53     2,     IV|            vous m’avez parlé de ma mère, depuis que je sais qu’elle
54     2,     IV|         mon cœur, en l’appelant ma mère.~ ~ ~– Ne parlez pas ainsi,
55     2,     IV|            pas ? Ah ! vous êtes ma mère ! Et que béni soit Dieu,
56     2,     IV|        pouvais attendre de lui, ma mère !…~ ~– Tais-toi ! tais-toi,
57     2,     IV|        toi-même d’avoir oublié… ta mère qui t’aimait tant, et l’
58     2,     IV|          car tu l’aimes !~ ~ ~– Ma mère !…~ ~– Tu l’aimes, te dis-je ;
59     2,     IV|           conseillerai rien qu’une mère ne puisse demander à sa
60     2,      V|           n’avait pas réfléchi. Sa mère lui parlait d’un accent
61     2,      V|           pas surtout. C’est votre mère qui vous parle. Écoutez.~ ~ ~ ~
62     2,      V|           faut choisir entre votre mère et cette femme ; il faut
63     2,      V| certainement frappé la malheureuse mère, mais l’imminence du danger
64     2,     VI|          indignations ; je suis sa mère, j’ai repris mon enfant,
65     2,    VII|            nous avons quitté votre mère, tout à l’heure, n’avez-vous
66     2,   VIII|       rares dans le caboulot de la mère Michel, et, en tout cas,
67     2,   VIII|        endroit où l’attendaient sa mère et Gaston.~ ~ ~ ~Maintenant,
68     2,     IX|            vous le voulez bien, ma mère, dit-elle, nous parlerons
69     2,      X|   souffrances dont on a abreuvé ta mère.~ ~ ~ ~Edmée tourna vers
70     2,      X|    comprenez-moi bien aussi, chère mère adorée, comprenez bien ce
71     2,      X|             Eh bien ! à demain, ma mère bien-aimée ; à demain, Gaston,
72     2,     XI|        secret de sa naissance ; la mère et la fille se liguaient
73     2,   XIII|        voix émue.~ ~ ~– Oui, chère mère, bien décidéerépondit
74     2,   XIII|          il a perdu son père et sa mère, quand il était encore tout
75     2,   XIII|         comme si elle avait été ma mère.~ ~ ~« Elle m’accueillit
76     2,    XIV|          que miss Stevenson est ma mère, et que je l’aime presque
77     2,    XIV|         fille demeure auprès de sa mère…~ ~ ~ ~M. de Beaufort se
78     2,    XIV|            tout entier en vous, ma mère et mon fiancé ?~ ~ ~– Cependant…~ ~ ~–
79     2,     XV|          tout à l’heure ?~ ~ ~– Ma mère ?~ ~ ~– Oui ! oui ! ta mère,
80     2,     XV|        mère ?~ ~ ~– Oui ! oui ! ta mère, qui n’a plus qu’une pensée
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