Partie,  Chap.

 1   Pro        |           années que, vous-même, vous êtes enfermée dans ce phare ?~ ~ ~–
 2   Pro        |           vous demander, puisque vous êtes certain que votre intérêt
 3   Pro        |         assuré sur Gaston.~ ~ ~– Vous êtes jeune, Monsieur, dit-elle
 4   Pro        |              ai pu m’assurer que vous êtes sensible et bon, et je me
 5   Pro        |               sa propre émotion, vous êtes généreux, et Dieu vous récompensera.
 6   Pro        |            pensée obstinée, vous vous êtes donc échappée de votre prison.~ ~ ~–
 7   Pro        |            jeune femme.~ ~ ~– Et vous êtes venue vers moi !~ ~ ~– Vous
 8   Pro        |            bien clair, pourtant. Vous êtes jeune et toujours fort belle.
 9   Pro        |               d’importance, mais vous êtes venue chez moi la nuit10   Pro        |       sortirez pas d’ici comme vous y êtes entrée.~ ~ ~– Ah ! misérable !
11   Pro        |            vous pourrez même, si vous êtes docile, tirer un bon profit
12   Pro        |            ici, garrotté comme vous l’êtes, sans espoir de secours…
13   Pro        |                     J’ignore qui vous êtes. Pourquoi m’adressez-vous
14   Pro        |            dans l’Inde.~ ~ ~– Vous en êtes sûre ?~ ~ ~– Oui, Madame.~ ~ ~–
15   Pro        |              bien ! cela suffit. Vous êtes une brave femme, Jenny Turner,
16     1,      I|             sincère abandon ; si vous êtes connu des Wilson, vous ne
17     1,      I|           connu des Wilson, vous ne m’êtes pas non plus tout à fait
18     1,      I|           autour du monde !…~ ~– Vous êtes mille fois trop bienveillant,
19     1,      I|              a pas longtemps que vous êtes de retour en France ?~ ~ ~–
20     1,     II|              l’Angleterre.~ ~ ~– Vous êtes resté longtemps dans ce
21     1,     II|       doucement la tête.~ ~ ~– Vous n’êtes pas la première personne
22     1,     II|             jeune, belle comme vous l’êtes, vous seriez disposée…~ ~ ~–
23     1,     II|              l’heure, quand vous vous êtes presque troublé en apercevant
24     1,    III|                      Cependant vous n’êtes pas resté inactif ?~ ~ ~–
25     1,    III|             instant :~ ~ ~– Vous vous êtes intéressé naguère, dit-il,
26     1,     IV|            sœur ; maintenant que vous êtes sur la piste de ce misérable
27     1,     IV|                     Et depuis ?… vous êtes en correspondance.~ ~ ~–
28     1,     VI|             chat. Ah ! si jamais vous êtes las du monde, ce n’est pas
29     1,     VI|               les yeux.~ ~ ~– Et vous êtes pour quelque temps à Paris ?
30     1,    VII|               parbleu !~ ~ ~– Et vous êtes certain que l’on nous permettra
31     1,    VII|                 Peut-être.~ ~ ~– Vous êtes sur la trace du comte ?~ ~ ~–
32     1,   VIII|           celui de Gaston.~ ~ ~– Vous êtes allé un soir chez M. de
33     1,   VIII|              d’une voix ardente. Vous êtes resté une heure dans cette
34     1,     IX|           Rosalie entra.~ ~ ~– Vous n’êtes donc pas couchée, mon enfant ?
35     1,     IX|        pouviez dormir, et alors, vous êtes allée vous accouder à la
36     1,     IX| balbutia-t-elle, ne mentez pas ; vous êtes trop jeune, vous ne sauriez
37     1,     IX|            pure et douce comme vous l’êtes des choses qu’elle ne devrait
38     1,     XI|                      Ah ! tenez, vous êtes tous les mêmes, et vous
39     1,    XII|             mats.~ ~ ~– Ah ! que vous êtes bon d’être venu, dit-elle
40     1,   XIII|              qui vous inquiète ! Vous êtes trop impressionnable aussi,
41     1,    XIV|           dit-il en même temps ; vous êtes tout émue et tremblante.~ ~ ~–
42     1,    XIV|              petite fille.~ ~ ~– Vous êtes méchante !~ ~ ~– Moi !~ ~ ~–
43     1,     XV|            étais à votre place : vous êtes bien avec madame la supérieure,
44     1,     XV|             de suite.~ ~ ~– Ah ! vous êtes bonne, et je vous remercie.~ ~ ~ ~
45     1,     XV|          jeune commandant.~ ~ ~– Vous êtes jeune, vous, monsieur Gaston,
46     1,     XV|         pauvre honnête homme que vous êtes ! et que vous avez mal observé
47     1,     XV|          prendre le voile ! Vous vous êtes dit alors, comme les autres,
48     1,    XVI|              que je les confie ? Vous êtes le plus brave et le plus
49     1,  XVIII|               XVIII~ ~ ~ ~– Ah ! vous êtes en retard, dit la jolie
50     1,  XVIII|           vous écrire.~ ~ ~– Que vous êtes bonne… et combien je vous
51     1,     XX|               larmes.~ ~ ~– Oh ! vous êtes le meilleur, le plus généreux
52     2,     IV|    Quelquefois.~ ~ ~– Et vous ne vous êtes jamais demandé la cause
53     2,     IV|         Lequel ?~ ~ ~– C’est que vous êtes la fille de M. de Beaufort
54     2,     IV|              répondez pas ? Ah ! vous êtes ma mère ! Et que béni soit
55     2,      V|           comme je le prévoyais, vous êtes perdue !~ ~ ~– Mon Dieu !
56     2,      V|         mouvement brusque.~ ~ ~– Vous êtes venue… c’est bien ! dit-elle
57     2,      V|              de plus. Partez, ou vous êtes perdue !~ ~ ~– Ne nous accompagnez-vous
58     2,    VII|               il me semble que vous n’êtes pas bien sûr du chemin que
59     2,    VII|             raison, dit-elle, et vous êtes resté fidèle à vos conventions.~ ~ ~–
60     2,    VII|              homme d’honneur que vous êtes.~ ~ ~ ~L’ex-capitaine eut
61     2,    VII|            geste attendri.~ ~ ~– Vous êtes un ange, miss, répondit-il
62     2,    VII|              Prenez mon bras, si vous êtes fatiguée, miss. C’est le
63     2,     XI|         pouvoir couler.~ ~ ~– Et vous êtes là ? vous ne répondez pas !
64     2,     XI|                 Aussi voyez ; vous en êtes bien récompensé aujourd’
65     2,     XI|         apprend, à l’instant que vous êtes venu à l’hôtel, et que vous
66     2,     XV|          moins… et dites-moi que vous êtes content de votre enfant !…~ ~ ~
Best viewed with any browser at 800x600 or 768x1024 on Tablet PC
IntraText® (VA2) - Some rights reserved by EuloTech SRL - 1996-2010. Content in this page is licensed under a Creative Commons License