Partie,  Chap.

 1   Pro        |       Vingt fois, au contraire, la pensée m’est venue de me précipiter
 2   Pro        |           élevait de son cœur à la pensée des tortures que la malheureuse
 3   Pro        |       mouvement plus prompt que la pensée même, la jeune femme s’empara
 4   Pro        |            tout, absorbée dans une pensée unique, ne songeant qu’à
 5   Pro        |      moment, comme poursuivant une pensée obstinée, vous vous êtes
 6   Pro        |          ne parlait plus… Toute sa pensée, tout son cœur, tout son
 7     1,      I|     tristesse native pesait sur sa pensée… Elle sentait d’ailleurs
 8     1,      I|           ou tout au moins quelque pensée absorbante qui devait exercer
 9     1,     IV|           à peine, et ses yeux, sa pensée, son cœur en étaient pleins.~ ~ ~ ~
10     1,     IV|          pâlir et à trembler, à la pensée d’une séparation aussi cruelle.~ ~ ~ ~
11     1,    VII|     liberté, je n’eus plus d’autre pensée. Palmer vous a dit ce que
12     1,   VIII|         Elle paraissait suivre une pensée, qui, depuis, quelques secondes,
13     1,   VIII|           à trembler.~ ~ ~– Quelle pensée est donc la vôtre ? interrogea-t-il
14     1,   VIII|           banal.~ ~ ~– Eh ! quelle pensée me supposez-vous, dit-elle
15     1,   XIII|            voulu le paraître ; une pensée obstinée pesait sur son
16     1,   XIII|           et elle s’effrayait à la pensée des difficultés sans nombre
17     1,    XIV|     Croyez-vous qu’ils en aient la pensée ?~ ~ ~ ~Fanny Stevenson
18     1,     XV|         semblait absorbée dans une pensée unique ; sa poitrine se
19     1,     XV|            que l’on n’a eu d’autre pensée, en l’éloignant de Sainte-Marthe,
20     1,    XVI|       contînt, n’avait pas d’autre pensée que de retrouver sa fille.
21     1,    XVI|                   Quelle est votre pensée ?~ ~ ~– Madame de Beaufort
22     1,   XVII|                  Il n’avait qu’une pensée dans l’esprit, et se sentait
23     1,   XVII|                 Une fois que cette pensée se fut emparée de son esprit
24     1,   XVII|            était absorbé par cette pensée unique.~ ~ ~ ~D’ailleurs,
25     1,     XX| quelquefois je n’aie pas arrêté ma pensée sur un avenir qui est celui
26     2,      I|            elle n’eut plus d’autre pensée, et sa passion s’augmenta
27     2,     II|      violence, répéta-t-il. Quelle pensée est donc la tienne ?~ ~ ~–
28     2,    III|            cœur se déchira à cette pensée, et elle se rappela les
29     2,     IV|     Beaufort est-elle avertie ; la pensée peut lui venir de profiter
30     2,      V|          que…~ ~ ~ ~Et prise d’une pensée subite, elle entraîna Palmer
31     2,      V|      hésite encore à croire que la pensée d’un pareil crime soit venue
32     2,   VIII|           ces étranges témoins, la pensée d’y mettre opposition.~ ~ ~ ~
33     2,     IX|           elle avait éprouvée à la pensée de le voir mourir lui avait
34     2,      X|         poursuivant obstinément sa pensée.~ ~ ~– Ah ! c’est Dieu qui
35     2,      X|            son hésitation ? quelle pensée sombre pesait sur son esprit ?~ ~ ~ ~
36     2,      X|            avec cette épouvantable pensée que sa honte lui viendrait
37     2,      X|                 Mais quelle est ta pensée, dit miss Fanny un peu ébranlée,
38     2,      X|            envers les coquins ; la pensée de Gobson n’allait pas plus
39     2,   XIII|               Moi ! je n’ai qu’une pensée…, ton bonheur ! et si tu
40     2,     XV|           pas aussi à une pareille pensée !~ ~ ~– Mais où iras-tu !~ ~ ~–
41     2,     XV|          mère, qui n’a plus qu’une pensée désormais, qui veut répandre
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