Partie,  Chap.

 1     1,      I|        enfants s’aimaient d’une affection sans bornes et semblaient
 2     1,     II|       en effet, vous porter une affection profonde : tout à l’heure,
 3     1,      V|    devinrent plus sérieuses ; l’affection qu’elle voulait exprimer
 4     1,     VI| éternelle reconnaissance pour l’affection et le dévouement qu’elle
 5     1,   VIII|      ses deux filles d’une même affection.~ ~ ~– C’est faux. Tout
 6     1,   VIII|        elle cet ardent besoin d’affection et de dévouement qui est
 7     1,    XII|         m’entoure de soins et d’affection.~ ~ ~ ~Une ombre passa sur
 8     1,    XII|       surtout à bien placer ton affection. À ton âge, on obéit facilement
 9     1,     XV|         l’entoure de soins et d’affection ; on adoucit, pour elle
10     2,      I|      jamais témoigné une réelle affection. Elle se le rappelait à
11     2,      I|       jamais de mon inaltérable affection.~ ~ ~– Vous savez bien que
12     2,    III|        sentait soutenue par son affection pour son père, par son amour
13     2,     IV|     vous entourait de toute son affection et de toute sa tendresse,
14     2,     IV|       vous saviez quel trésor d’affection je conservais au fond de
15     2,     IV|       énergie et de mon ardente affection. Mais que je m’oublie un
16     2,     VI|         offert le mensonge de l’affection maternelle, de sorte que
17     2,     XI|        de l’âme une inaltérable affection contre laquelle rien ne
18     2,   XIII|         profonde et inaltérable affection de ta~ ~ ~ ~« Mariette. »~ ~
19     2,     XV|    offrirai comme preuve de mon affection. Qu’importe que j’en meure !
20     2,     XV|     faire… Aie confiance en mon affection, et je jure Dieu que rien
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