Chapitre

 1       II|          Mme la comtesse, ma nièce Marie…~ ~ ~– Ma femme ! ma fille !
 2       II|            la comtesse et ma nièce Marie ! Vous avez rempli votre
 3       II|         appelait « ma nièce » Mlle Marie de Chanteleine, et la jeune
 4       II|            voix grave, et ma nièce Marie ?~ ~ ~– Viens ! viens !
 5      III|            la comtesse et ma nièce Marie. Deux pauvres femmes inoffensives !
 6      III|      reprit Kernan. Comme ma nièce Marie va sauter au cou de son
 7       IV|          comtesse, avec leur fille Marie à élever, dans cette vieille
 8       IV|        écoles, et plus tard, quand Marie atteignit l’âge de quinze
 9       IV|        être envié de tous, lui que Marie appelait son oncle, lui
10        V|           l’abbé de Fermont.~ ~ ~ ~Marie s’était évanouie dans les
11        V|            est toujours ça !~ ~ ~ ~Marie, inanimée, fut mise, en
12        V|            je le repincerai.~ ~ ~ ~Marie de Chanteleine et ses malheureux
13      VII|               Mlle de Chanteleine, Marie, sa nièce, était devant
14      VII|          coin après avoir embrassé Marie. Le chevalier de Trégolan
15      VII|          les mains.~ ~ ~ ~Soudain, Marie poussa un cri, et une pensée
16      VII|         bout de quelques instants, Marie reprit connaissance, et
17     VIII|           comtesse, s’il entretint Marie de sa pauvre mère, une sainte
18     VIII| Actuellement, le salut de sa nièce Marie passait avant tout.~ ~ ~ ~
19     VIII|   revenaient parfois à l’esprit de Marie avec une telle vivacité
20     VIII|           ne devait pas soupçonner Marie de Chanteleine, des bas
21     VIII|      entourait tout entière.~ ~ ~ ~Marie de Chanteleine était une
22     VIII|          ne pouvait marcher vite ; Marie se traînait à peine et s’
23     VIII|     Continuons, mes amis, répondit Marie après un quart d’heure d’
24     VIII|          immenses nappes blanches. Marie ne pouvait plus faire un
25     VIII|          fut obligé de s’arrêter ; Marie perdait connaissance.~ ~ ~–
26     VIII|       retrouva bientôt le comte et Marie dans la position où il les
27     VIII|         effrayé de l’immobilité de Marie, la regarda et la trouva
28     VIII|        cette bienfaisante chaleur, Marie ne tarda pas à reprendre
29        X|         bientôt dans la chambre de Marie, et une demi-heure après
30        X| Chanteleine est mon oncle, et Mlle Marie ma cousine.~ ~ ~– Votre
31        X|         fort mal pris, et ma nièce Marie ne doit pas affronter un
32        X|        écria Kernan, mais ma nièce Marie travaille comme une fée,
33        X|         mon oncle Kernan, répondit Marie avec tristesse, il n’est
34        X|        accepte volontiers, s’écria Marie.~ ~ ~– Mademoiselle ! fit
35        X|           Kernan ; ainsi, ma nièce Marie, tu seras lingère !~ ~ ~–
36        X|      entendu.~ ~ ~– Et maintenant, Marie, maintenant, notre maître,
37        X|           il n’attendait guère que Marie ne fût pas là pour la dire.~ ~ ~ ~
38        X|            monsieur Henry, murmura Marie.~ ~ ~ ~Elle s’arrêta, regarda
39        X|            Henry de Trégolan et de Marie de Chanteleine.~ ~ ~ ~
40        X|        vers la jeune fille ; mais, Marie étant son obligée, il mettait
41        X|                  Mon père, s’écria Marie, où allez-vous ?~ ~ ~– Empêcher
42        X|           nous sommes là, ma nièce Marie ne peut demeurer seule.
43       XI|      celui-ci se renfermait.~ ~ ~ ~Marie avait aussi remarqué combien
44       XI|         avait été fort rigoureux : Marie travaillait à ses grosses
45       XI|            sœur qu’il aimait tant. Marie trouvait dans son cœur de
46       XI|            ce cas, qui protégerait Marie ?~ ~ ~ ~Kernan pouvait facilement
47       XI|        nous pouvons la connaître ! Marie a passé par de terribles
48       XI|             Alors Henry, Kernan et Marie s’en allaient par les rochers ;
49       XI|          malin sourire.~ ~ ~ ~Mais Marie, qui n’y entendait pas malice,
50       XI|        Quelquefois même, reprenait Marie, je me demande si nous n’
51       XI|         pas loin.~ ~ ~– Enfin, dit Marie, est-ce que tu ne trouves
52       XI|        pour fils, et moi, ma nièce Marie, je n’en voudrais pas d’
53       XI|         causant avec le chevalier, Marie lui rapporta l’opinion de
54       XI|             il s’adressa d’abord à Marie.~ ~ ~– Où est ton père ?
55       XI|           cela veut dire ? s’écria Marie.~ ~ ~– Comment ! il serait
56       XI|          une lettre, qu’il remit à Marie ; elle ne contenait que
57      XII|           mots sur ses auditeurs ! Marie ne put s’empêcher d’éclater
58      XII|        furent les premiers mots de Marie.~ ~ ~– Sans moi ! s’écria
59      XII|            Mais en considérant que Marie était seule au monde, il
60      XII|   apprendre quoi que se fût.~ ~ ~ ~Marie tremblait et priait pour
61      XII|         fut encore sans nouvelles, Marie, désespérée, s’écria :~ ~ ~–
62      XII|          est mort !~ ~ ~– Ma chère Marie, répondit Trégolan, calmez-vous !
63      XII|       monde ! seule, seule !~ ~ ~ ~Marie sanglotait. Cette épreuve
64      XII|                 Cependant, lorsque Marie s’écria qu’elle était seule
65      XII|           de dire :~ ~ ~– Ma nièce Marie, ton oncle est encore près
66      XII|       malgré lui ; deux ! ma chère Marie, car je vous aime !~ ~ ~–
67      XII|       Kernan.~ ~ ~– Pardonnez-moi, Marie ; pardonnez-moi, Kernan,
68      XII|          Kernan, ni vous, ma chère Marie ; si j’ai parlé ainsi, c’
69      XII|                   Partir ! s’écria Marie.~ ~ ~– Oui, m’éloigner de
70      XII|        inconnu. J’irai à Mortagne, Marie, et je vous rapporterai
71      XII|                 Mon père ! s’écria Marie.~ ~ ~– Ma fille bien-aimée !
72      XII|      répondit le comte en pressant Marie sur son cœur.~ ~ ~– Oh !
73      XII|            pendant le désespoir de Marie, l’aveu de cet amour avait
74     XIII|        après avoir tendu la main à Marie, il appelait le comte de
75     XIII|           Moi, dit le comte.~ ~ ~ ~Marie se jeta dans ses bras.~ ~ ~–
76     XIII|          choses. Kernan voulut que Marie fût belle dans son costume
77     XIII|       choses touchantes ; Henry et Marie se jetèrent à ses genoux
78      XIV|       devançait toutes les autres. Marie était charmante sous son
79      XIV|       mouvement de la houle.~ ~ ~ ~Marie, cependant, promenait autour
80      XIV|             répondit Kernan.~ ~ ~– Marie ! je vous aime, murmurait
81      XIV|                 Mon père ! s’écria Marie.~ ~ ~– Lui ! lui ! fit Kernan.~ ~ ~ ~
82      XIV|            son dévouement sublime. Marie pleurait, et Kernan ne pouvait
83      XIV|            le temps de reconnaître Marie, à son grand étonnement,
84      XIV|         funeste, et il fit revenir Marie en mouillant son visage
85      XIV|                 Mon père ! murmura Marie.~ ~ ~ ~Henry ne répondit
86      XIV|      tuerai !~ ~ ~ ~Laissant alors Marie aux soins du chevalier,
87      XIV|            il regagna la barqueMarie était étendue, respirant
88      XIV|          rade de Brest.~ ~ ~– Mais Marie ?~ ~ ~– Je la porterai,
89      XIV|           Locmaillé, et, soutenant Marie, il prit à travers les champs.~ ~ ~ ~
90      XIV|            heures de marche.~ ~ ~ ~Marie n’en pouvait plus ; heureusement,
91      XIV|            heure du matin, Kernan, Marie et Henry débarquaient, non
92      XIV|           le pied au-dehors.~ ~ ~ ~Marie, d’ailleurs, était couchée
93       XV|           le chevalier et sa nièce Marie, pour la dernière fois peut-être.
94      XVI|          il venait de tuer Karval. Marie, frissonnante, rentra dans
95      XVI|        Kernan, dit Henry.~ ~ ~– Et Marie, que deviendra-t-elle ?~ ~ ~–
96      XVI|           deviendra-t-elle ?~ ~ ~– Marie, Marie, fit le jeune homme.~ ~ ~–
97      XVI|    deviendra-t-elle ?~ ~ ~– Marie, Marie, fit le jeune homme.~ ~ ~–
98      XVI|          Au matin, Kernan embrassa Marie, serra la main du chevalier,
99      XVI|            Henry de Trégolan et de Marie se fit en Angleterre, où
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