Chapitre

 1       II|        venaient aux yeux ; il ne pouvait accoutumer ses regards à
 2      III|         homme de la barre ; elle pouvait donc passer impunément au
 3      III|  position de Trévignon.~ ~ ~ ~Il pouvait à peine parler, mais du
 4       IV|                 Mais le comte ne pouvait rencontrer une plus digne
 5       IV|                 Mais ce que l’on pouvait mépriser de la part d’un
 6       IV|         de délaissement qu’on ne pouvait méconnaître. La figure du
 7       IV|          comte de Chanteleine ne pouvait pas même se reposer un instant
 8        V|      maîtres du département. Qui pouvait espérer d’échapper à ces
 9        V|   restait inflexible, et rien ne pouvait le toucher.~ ~ ~ ~Le lendemain
10        V|       malheureuse jeune fille ne pouvait tarder à venir.~ ~ ~ ~Voilà
11        V|       questions auxquelles il ne pouvait répondre. Qu’allait faire
12        V|       peu près désertes, mais on pouvait entendre au loin une sorte
13       VI|          brisé au point qu’il ne pouvait monter l’escalier.~ ~ ~–
14       VI|      avoir bien vérifié si on ne pouvait l’entendre, après avoir
15       VI|          ne bougea pas ! rien ne pouvait le distraire ; Kernan alla
16     VIII|    songea au plus pressé ; on ne pouvait demeurer dans cette maison
17     VIII|     longs mais plus sûrs ; on ne pouvait marcher vite ; Marie se
18     VIII|        nappes blanches. Marie ne pouvait plus faire un pas. Kernan
19     VIII|         la plus mince lumière ne pouvait filtrer au-dehors.~ ~ ~«
20     VIII|          un gros chêne creux qui pouvait offrir un abri à la jeune
21        X|       ses fenêtres latérales, on pouvait apercevoir toute l’échancrure
22        X|         pour le juroux ! on n’en pouvait pas choisir une plus belle !~ ~ ~–
23        X|   cloches furent coupées ; il ne pouvait faire sonner les offices ;
24        X|       jusqu’où elle irait, on ne pouvait le prévoir de la part de
25        X|          chose, c’est que sa vie pouvait être sauvée. Il se cramponna
26       XI|      habitants de Douarnenez. On pouvait donc s’attendre, un jour
27       XI| protégerait Marie ?~ ~ ~ ~Kernan pouvait facilement répondre que
28      XII|          était pas en Vendée, il pouvait s’être jeté dans le mouvement
29      XII|      brisée ; sa frêle nature ne pouvait résister à tant de coups
30     XIII|         la salle basse. Henry ne pouvait contenir son bonheur. Le
31      XIV|     Marie pleurait, et Kernan ne pouvait prononcer une parole.~ ~ ~ ~
32      XIV|         marche.~ ~ ~ ~Marie n’en pouvait plus ; heureusement, Kernan
33      XIV|        au comte, un miracle seul pouvait le sauver.~ ~ ~ ~Le soir
34       XV|       des hommes. D’ailleurs, il pouvait être effrayé avec raison ;
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