Chapitre

 1       II|     avant la patrie, il y a la famille. Que deviendraient, sans
 2       II|    Breton faisait partie de la famille ; il appelait « ma nièce »
 3       II|        le comte, et croyant sa famille en sûreté, il n’avait pas
 4      III|         Heureux ceux qui, sans famille, n’ont à craindre que pour
 5       IV|       un temps immémorial à la famille du comte, l’une des plus
 6       IV|   Depuis de longues années, la famille du comte exerçait une influence
 7       IV|       Cette noble et estimable famille, d’humeur fort pacifique,
 8       IV|     cette vieille propriété de famille, au milieu de serviteurs,
 9       IV|        qu’en toute occasion la famille de Chanteleine leur venait
10       IV|        avait pas revu sa chère famille ; depuis trois mois même,
11        V|       difficile d’atteindre la famille de Chanteleine.~ ~ ~ ~Aussi,
12      VII|    grâce de Couthon, auquel ma famille avait autrefois rendu service.
13     VIII|       un vieux serviteur de ma famille qui y exerce l’état de pêcheur,
14     VIII|   Chanteleine l’histoire de sa famille, histoire douloureuse aussi.
15        X|      un serviteur dévoué de la famille, un autre Kernan, moins
16        X| singulier cet accroissement de famille ?~ ~ ~– Non ; M. le comte
17        X|    pêcheur.~ ~ ~– Eh bien ! la famille sera complète, une famille
18        X|     famille sera complète, une famille de pêcheurs ; ce ne sera
19        X|   Après avoir tout perdu, sans famille, seul, il semblait naturel
20      XVI|        Angleterre, où toute la famille resta pendant quelques années.~ ~ ~ ~