Chapitre

  1        I|              et parmi eux, l’un des plus braves, l’un des meilleurs,
  2        I|            Chollet ; quelques jours plus tard, Bonchamps et d’Elbée
  3        I|  Chanteleine.~ ~ ~ ~Quelques heures plus tard, parurent Kléber et
  4        I|         Puis il s’arrêta, et ne fit plus un pas en avant. Marceau
  5        I|       conseil suprême. Il n’y avait plus rien à attendre que de l’
  6        I|         manquer.~ ~ ~– Nous n’avons plus de cartouches ! crièrent
  7        I|        républicains.~ ~ ~– Il n’y a plus à nous défendre, dit Marigny.~ ~ ~–
  8       II|     rejaillissait au-delà du talus. Plus d’un achevait là de mourir,
  9       II|           effet, des coups de fusil plus nombreux, plus rapprochés,
 10       II|             de fusil plus nombreux, plus rapprochés, éclatèrent bientôt
 11       II|             en grand nombre pour ne plus se relever.~ ~ ~ ~Le spectacle
 12       II|         nombre de jeunes femmes des plus nobles familles de la Vendée,
 13       II|      partageaient la souffrance des plus humbles paysannes. Quelques-unes
 14       II|          Mon officier, je n’en puis plus, lui répondait l’un.~ ~ ~–
 15       II|            pour se frayer un chemin plus rapide, prit par les douves
 16       II|          une demi-heure à peine les plus rapides des fugitifs ; les
 17       II|       sortait des dunes jaunâtres ; plus loin, la flèche du Croisic,
 18       II|           Croisic, nous trouverions plus facilement une barque de
 19       II|            suis, mais prends par le plus court, sinon par le plus
 20       II|            plus court, sinon par le plus sûr.~ ~ ~– M’est avis de
 21       II|         dans le bourg quelque marin plus hardi que toi ? demanda
 22      III|         Quiberon qui, quelques mois plus tard, allait être inondée
 23      III|            avaient pas mangé depuis plus de quinze heures.~ ~ ~ ~
 24      III|     celles-ci lui apparaissaient de plus en plus menacées. Il discutait
 25      III|           apparaissaient de plus en plus menacées. Il discutait les
 26      III|           répondit Kernan, il n’y a plus de sûreté dans le pays pour
 27      III|          déjà envoyé ses agents les plus cruels à Nantes. Il en expédiera
 28      III|           faite pour épouvanter les plus intrépides ; la chaloupe
 29      III|           La mer était relativement plus calme, et les vagues abritées
 30      III|            devant leurs yeux.~ ~ ~– Plus de traces, dit Kernan au
 31       IV|         famille du comte, l’une des plus vieilles de Bretagne. Le
 32       IV|       labourées, comptait parmi les plus considérables du pays, tout
 33       IV|           ne pouvait rencontrer une plus digne compagne de sa vie.
 34       IV|            chimérique, et même, les plus superstitieux, comme l’antichambre
 35       IV|              fondant des écoles, et plus tard, quand Marie atteignit
 36       IV|            du Fouesnant. Il n’était plus qu’à deux heures des embrassements
 37       IV|           lui. Il était en proie au plus affreux désespoir !~ ~ ~ ~
 38        V|             Club des jacobins ; et, plus tard, la section du faubourg
 39        V|              fut une des villes les plus agitées, ce qu’on n’eût
 40        V|         clubs s’y multiplièrent, et plus tard ce fut l’un d’eux qui
 41        V|            Taureau, et protestèrent plus énergiquement encore que
 42        V|        résolut d’agir alors avec la plus extrême rigueur contre les
 43        V|        était personne qui ne tombât plus ou moins directement sous
 44        V|          tout entier fut livré à la plus extrême terreur.~ ~ ~ ~Guermeur
 45        V|         délégués, comme connaissant plus particulièrement le département
 46        V|       venait en réalité exercer ses plus basses vengeances contre
 47        V|      attendait dans les transes les plus vives l’issue de la bataille.~ ~ ~ ~
 48        V|     prétoire du tribunal pour aller plus vite.~ ~ ~ ~On sait comment
 49        V|             Kernan ne se trouvaient plus qu’à deux lieues et demie
 50        V|            fait pitié aux cœurs les plus endurcis. Morte ! morte !…
 51        V|            Le père souffrait en lui plus encore que le mari, dont
 52        V|          temps à autre des murmures plus violents ; à un certain
 53       VI|             eh bien ! nous y serons plus en sûreté. D’ailleurs je
 54       VI|          argent ! fit l’aubergiste, plus habitué au papier qu’au
 55       VI|                   Quelques instants plus tard, Kernan se trouvait
 56       VI|     prodigua au comte ses soins les plus intelligents ; il humecta
 57       VI|        aimait tant et qui n’étaient plus.~ ~ ~ ~Kernan s’agenouilla
 58       VI|          moment où l’on ne pourrait plus faire de prisonniers faute
 59       VI|           il fallait donc les vider plus vite que ça. Malheureusement,
 60       VI|             passé, et il ne restait plus que deux ou trois condamnés,
 61       VI|               Je ne me gêne pas non plus.~ ~ ~– Est-ce que tu comptes
 62       VI|      restait à faire.~ ~ ~– Je n’ai plus de femme, plus d’enfant,
 63       VI|              Je n’ai plus de femme, plus d’enfant, répondit le comte,
 64       VI|            le comte, il ne me reste plus qu’à mourir, et je mourrai
 65      VII|         sous cette terre glacée, et plus encore ceux qu’une Municipalité
 66      VII|          chéris et donner une tombe plus décente à ses restes inanimés !
 67      VII|           doutait pas, vous avez eu plus de bonheur que moi ! Je
 68      VII|            tombe de celle qui n’est plus !~ ~ ~ ~Le comte s’était
 69     VIII|             la mort. S’il ressentit plus vivement alors la perte
 70     VIII|        matin venu, Kernan songea au plus pressé ; on ne pouvait demeurer
 71     VIII|           nécessaire de pourvoir au plus tôt à la sûreté de Mlle
 72     VIII|            mettons-nous en route au plus tôt. Nous ne sommes qu’à
 73     VIII|            tous, même à Karval, son plus terrible ennemi.~ ~ ~ ~Au
 74     VIII|       troupe des chemins détournés, plus longs mais plus sûrs ; on
 75     VIII|          détournés, plus longs mais plus sûrs ; on ne pouvait marcher
 76     VIII|          blanches. Marie ne pouvait plus faire un pas. Kernan fut
 77     VIII|            la marche ne réchauffait plus, demeurait glacée entre
 78     VIII|       Kermingny ; il restait encore plus d’une lieue et demie à faire
 79     VIII|                  Elle ne peut aller plus loin ! fit Kernan. Il lui
 80     VIII|            avec tant de soin que la plus mince lumière ne pouvait
 81     VIII|           Henry de Trégolan n’avait plus qu’à rejoindre ses compagnons ;
 82     VIII|         Audierne ; quelques minutes plus tard, il entrait dans le
 83     VIII|            Il fallait s’enfoncer au plus profond du bois afin d’échapper
 84     VIII|            Plouaré ; une demi-heure plus tard, la petite troupe arrivait
 85        X|         toutes grandeurs.~ ~ ~ ~Les plus importantes sont celles
 86        X|           baie de Douarnenez est la plus mauvaise, et de nombreux
 87        X|         cette noble fille qui n’est plus ?~ ~ ~– Mademoiselle ! fit
 88        X|           Henry avec l’accent de la plus vive émotion.~ ~ ~– Cela
 89        X|             si nous ne pouvons fuir plus loin de nos ennemis, j’approuve
 90        X|            dit Kernan, nous verrons plus tard ! Mais actuellement,
 91        X|       maître, fussiez-vous dix fois plus riche, et eussions-nous
 92        X|            avec tristesse, il n’est plus question maintenant de devants
 93        X|            il est d’autres ouvrages plus humbles, plus lucratifs !…~ ~–
 94        X|       autres ouvrages plus humbles, plus lucratifs !…~ ~– Ma foi,
 95        X|     Trégolan se sentait chaque jour plus vivement attiré vers la
 96        X|            Cela se fera, et rien de plus heureux n’aura pu se faire. »~ ~ ~
 97        X|            la mer sera mauvaise, et plus d’un y restera.~ ~ ~ ~Cette
 98        X|             pouvait pas choisir une plus belle !~ ~ ~– Ah ! tu veux
 99        X|        parle encore, on ne le verra plus, du moins !~ ~ ~– Que veux-tu
100        X|            comte avec enthousiasme, plus belle même que celui du
101        X| républicains, et là, ils m’ont paru plus enviables qu’autrefois dans
102        X|             le clergé des provinces plus avancées. Dans ce coin de
103        X|       quelquefois douze ; en somme, plus de quinze cents religieux
104        X|     insermentés. Ceux-ci furent les plus nombreux ; ils refusèrent
105        X|            eut lutte et bataille en plus d’un endroit ; les paysans
106        X|        mourant de faim ; il y avait plus d’un mois qu’il habitait
107        X|          plage, du côté où les cris plus distincts arrivaient jusqu’
108        X|                    À ce moment, les plus irrités des pêcheurs se
109        X|       Kernan, comme s’il eût été le plus ardent à la vengeance, les
110        X|             à un rocher, il n’avait plus moyen de s’échapper, il
111        X|      précipitèrent vers lui ; mais, plus rapide, Kernan le saisit
112       XI|             travaux accoutumés avec plus de confiance ; depuis la
113       XI|         jours se passèrent dans les plus vives inquiétudes ; Kernan
114       XI|             son père se retirait de plus en plus en lui-même. Toutes
115       XI|         père se retirait de plus en plus en lui-même. Toutes les
116       XI|          chambre, elle le voyait le plus souvent agenouillé et priant
117       XI|       réduits à manger ses produits plus souvent qu’à les vendre.
118       XI|           ailleurs, à cette époque, plus d’un gentilhomme émigré
119       XI|          non, elle ne gagnait guère plus de cinq à six sols par jour.~ ~ ~ ~
120       XI|         sentait un autre sentiment, plus fort que celui de l’amour
121       XI|           le jeune homme à s’ouvrir plus clairement ; mais cette
122       XI|           promenade sur la côte. Le plus souvent, le comte restait
123       XI|          Henry racontait et dont la plus célèbre est celle de la
124       XI|            En effet, quelques jours plus tard, Henry se trouvant
125       XI|            avec Kernan, lui fit les plus complètes ouvertures en
126       XI|     précédents, le comte avait paru plus soucieux que d’habitude ;
127      XII|         effet, la lutte continuait, plus ardente et plus opiniâtre,
128      XII|         continuait, plus ardente et plus opiniâtre, malgré toutes
129      XII|           et que, quelques semaines plus tard, Danton dût succomber,
130      XII|              entra dans la voie des plus horribles dévastations ;
131      XII|               Pendant ce temps, les plus sanguinaires agents du comité
132      XII|         armée vendéenne.~ ~ ~ ~Mais plus on les décimait, plus les
133      XII|          Mais plus on les décimait, plus les royalistes se montraient
134      XII|         certes jamais homme n’était plus digne d’être aimé ! ajouta
135     XIII|          aussi dans les maisons les plus isolées.~ ~ ~ ~Il paraissait
136     XIII|              car sa figure était le plus souvent voilée ; mais on
137     XIII|             le Breton n’eut rien de plus pressé que d’en parler à
138     XIII|     remettre le mariage à des temps plus heureux ! Mais mourir sans
139     XIII|        encore ; le comte ne parlait plus du prêtre mystérieux. L’
140     XIII|          encore celui qui marche le plus vite ; on s’occupait de
141      XIV|  accessibles à marée basse, sauf la plus belle et la plus importante,
142      XIV|            sauf la plus belle et la plus importante, dans laquelle
143      XIV|             pêcheurs parés de leurs plus beaux habits.~ ~ ~ ~La barque
144      XIV|          écumant sur le sable, puis plus tranquille à mesure qu’il
145      XIV|           yeux, demeuraient dans le plus profond silence, le comte
146      XIV|        absence, et s’il n’avoua pas plus tôt à ses amis, à son enfant,
147      XIV|           réfugia dans la partie la plus sombre de la grotte.~ ~ ~ ~
148      XIV|             la grève ; n’apercevant plus les républicains, il sortit
149      XIV|        Douarnenez, nous n’y serions plus en sûreté. Locmaillé ramènera
150      XIV|            marchèrent ainsi pendant plus d’une heure.~ ~ ~ ~Où allaient
151      XIV|                  Marie n’en pouvait plus ; heureusement, Kernan trouva
152      XIV|           Brest était en proie à la plus épouvantable terreur ; le
153      XIV|     Bon-Saint-André, y exerçait les plus horribles représailles.~ ~ ~ ~
154       XV|            quelques hommes, et, pas plus tard que demain, la citoyenne
155       XV|      tremblait ; ce bandit était le plus lâche des hommes. D’ailleurs,
156       XV|              Les rues devenaient de plus en plus désertes ; il y
157       XV|          rues devenaient de plus en plus désertes ; il y avait de
158       XV|           un quart de lieue dans le plus grand silence, Karval toujours
159       XV|           il a tué et volé ! il n’a plus que quelques minutes pour
160       XV|              et enfin, n’en pouvant plus, et lui donnant une absolution
161      XVI|     menaçait et leur prodiguait les plus grossières injures. Le comte
162      XVI|              était en butte à leurs plus haineuses vociférations.~ ~ ~ ~
163      XVI|         finit cet épisode, pris aux plus mauvais jours de la Terreur.
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