Partie,  Chap.

 1   1,      II|            si c’eût été son propre enfant. N’ayant pu quitter la ville
 2   1,      II|        Harbert Brown. Ce courageux enfant connaissait le plan du marin,
 3   1,      IV|            qui affectionnaient cet enfant, intelligent et travailleur.
 4   1,     VII|            d’embrasser le généreux enfant.~ ~ ~ ~Le mauvais temps
 5   1,      IX|        maître Pencroff et toi, mon enfant, vous vous montriez chasseurs
 6   1,       X|        Cyrus Smith.~ ~ ~– Non, mon enfant, répondit celui-ci, mais
 7   1,     XII|            jeune et l’autre un peu enfant – étaient enchantés, et,
 8   1,     XII|               Tout simplement, mon enfant, dit-il, parce que, en plongeant
 9   1,    XIII|      plaisir.~ ~ ~ ~Harbert, brave enfant, remarquablement instruit
10   1,    XIII|           moyen, c’est-à-dire, mon enfant, que demain, à quelques
11   1,     XIV|          ingénieur.~ ~ ~– Non, mon enfant, répondit celui-ci, nous
12   1,     XIV| proportionnels.~ ~ ~– Eh bien, mon enfant, je viens de construire
13   1,     XVI|       toute terre ?~ ~ ~– Oui, mon enfant, répondit l’ingénieur. Ces
14   1,     XIX|    attachait de plus en plus à cet enfant. Harbert sentait pour l’
15   1,      XX|              Parce que la mer, mon enfant, peut être considérée comme
16   1,     XXI|            Harbert.~ ~ ~– Oui, mon enfant… si elle a existé toutefois.~ ~ ~–
17   1,     XXI|            Harbert.~ ~ ~– Oui, mon enfant, répondit l’ingénieur, et
18   2,       I|                 Cela est vrai, mon enfant, répondit Cyrus Smith.~ ~ ~–
19   2,      II|            Harbert.~ ~ ~– Oui, mon enfant, répondit l’ingénieur, cela
20   2,      IV|      Pencroff.~ ~ ~– Nomme-le, mon enfant, dit l’ingénieur en s’adressant
21   2,      IX|          instinct était celui d’un enfant. Un jour de ce mois de mars,
22   2,      IX|           pain.~ ~ ~– Eh bien, mon enfant, répondit l’ingénieur, voilà
23   2,       X|            cette baleine, comme un enfant d’un objet qu’on lui interdit.
24   2,       X|             Tu vas comprendre, mon enfant, répondit l’ingénieur. Cet
25   2,      XI|            malheur à vous et à cet enfant, dont le hasard a fait notre
26   2,     XIV|             ce bateau, c’était son enfant, et le droit des pères est
27   2,      XV|     Spilett et Pencroff…~ ~ ~– Mon enfant ! dit Cyrus Smith, tu as
28   2,     XVI|            vous. Pour sauver notre enfant, vous avez risqué votre
29   3,       I|     Harbert.~ ~ ~– Sans doute, mon enfant, répondit l’ingénieur en
30   3,     III|           il embrassa Harbert, son enfant !… et ils se séparèrent.
31   3,      IV|                 Cela t’étonne, mon enfant ? demanda l’ingénieur.~ ~ ~–
32   3,       V|      envers lui.~ ~ ~– Et toi, mon enfant, donne-nous ton avis, dit
33   3,       V|        honneur revenait à son cher enfant !~ ~ ~ ~Le troisième projectile,
34   3,    VIII|            s’écria-t-il ! Lui, mon enfant ! Ils l’ont tué ! »~ ~ ~
35   3,    VIII|      écoutait si le cœur du pauvre enfant battait encore.~ ~ ~« Il
36   3,    VIII|       disputer à la mort le pauvre enfant qui agonisait sous leurs
37   3,    VIII|       retournèrent alors le pauvre enfant, qui laissa échapper un
38   3,    VIII|            l’intérêt même de votre enfant, calmez-vous. Nous avons
39   3,    VIII|           était remis à examiner l’enfant blessé avec une extrême
40   3,    VIII|       comme une mère au lit de son enfant.~ ~ ~ ~Harbert s’assoupit
41   3,    VIII|            Harbert.~ ~ ~– Non, mon enfant, répondit le marin, mais
42   3,      IX|          le moindre souci du brave enfant, qui comprenait bien les
43   3,      IX|            n’y aura plus ici qu’un enfant blessé et un homme.~ ~ ~–
44   3,      IX|            on voyait que le pauvre enfant faisait appel à toute son
45   3,       X|           le 6 décembre. Le pauvre enfant, dont les doigts, le nez,
46   3,       X|    dernière nuit sans doute de cet enfant courageux, bon, intelligent,
47   3,       X|           parvinrent à maintenir l’enfant mourant, qui voulait se
48   3,      XI|         revenu. Et puis, le docile enfant se soumettait si volontiers
49   3,     XIV|         qui, comme tu le sais, mon enfant, est plus froid que l’hémisphère
50   3,     XVI|         yeux du mourant.~ ~ ~« Mon enfant, dit-il, sois béni !… » ~ ~
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