Partie,  Chap.

 1   1,       I|          poches, et l’un d’eux, s’étant hissé sur le cercle auquel
 2   1,      IV|     laissaient à désirer. Ce bois étant très sec, devait rapidement
 3   1,      IX|    étincelles ; mais la mousse, n’étant pas assez inflammable, ne
 4   1,    XIII|     forgerons. Mais, le lendemain étant un dimanche, et même le
 5   1,     XIV|     distance nécessaire pour que, étant couché sur le sable, le
 6   1,     XIV|        Ces cinquante-trois degrés étant retranchés des quatre-vingt-dix
 7   1,    XVII|           Ces pyrites schisteuses étant composées principalement
 8   1,    XVII|    charbon brûlé et cendres, ne l’étant pas.~ ~ ~ ~Pendant que s’
 9   1,    XVII|      alumine, les autres matières étant restées solides, puisqu’
10   1,    XVII|   insolubles. Enfin, ce liquide s’étant vaporisé en partie, des
11   1,    XVII|           du trou de mine. Le feu étant mis à cette seconde fibre,
12   1,      XX|         et stéarique, le premier, étant liquide, fut chassé par
13   1,      XX|        habitude qu’avait Harbert, étant à Richmond, de nourrir quelques
14   1,      XX|         réussît.~ ~ ~ ~Le temps s’étant légèrement éclairci, les
15   1,     XXI|       Vers cette époque, le temps étant extrêmement sec, les colons,
16   2,      II|    détacher les deux barils, qui, étant en fort bon état, pourraient
17   2,     III| rugissements de nature suspecte s’étant fait entendre avec la tombée
18   2,      IV|        moment de prendre du repos étant venu, le feu fut mis au
19   2,       V|         Nab, Harbert et le marin, étant montés à la cime de l’arbre,
20   2,     VII|           sera une île véritable, étant entouré d’eau de toutes
21   2,     VII|         des travaux, et, le temps étant magnifique alors, on ne
22   2,      IX|     ensuivit donc que, la journée étant déjà avancée, les deux chasseurs
23   2,     XVI|           son moteur, la première étant déjà occupée à mouvoir les
24   2,     XVI|      soude, la provision de savon étant épuisée.~ ~ ~ ~Soudain,
25   2,    XVII|      australe. Donc, la longitude étant inconnue, si l’on suivait
26   2,   XVIII|         Harbert et Gédéon Spilett étant allés du côté du corral,
27   2,   XVIII|          indifférent, non plus, – étant donnés certains soupçons
28   2,   XVIII|  apparition. En effet, Harbert, s’étant mis de bonne heure à l’une
29   2,     XIX|          natal ! »~ ~ ~Les choses étant ainsi décidées, il ne fut
30   2,     XIX|           promontoire, et le vent étant tombé avec la brume, le
31   2,      XX|  déplacement ?~ ~ ~– À moins que, étant évanoui… dit Pencroff.~ ~ ~–
32   3,       I|    intérêt à ménager son charbon, étant si loin de toute terre.~ ~ ~–
33   3,       I|     largement gagné dans le nord, étant servi par le courant de
34   3,      II|          Il en passa une. Puis, s’étant fixé solidement, il écouta.~ ~ ~ ~
35   3,     III|            et, le courant de flot étant déjà cassé, il serait facile
36   3,      IV|          de fuir, et le navire, s’étant couché sur le côté, la plupart
37   3,       V|    extrême portée. Puis, chacun s’étant mis à l’écart pour le cas
38   3,       V|         résisté, et les colons, s’étant précipités à la fenêtre,
39   3,      VI|      fugitifs, qui, sans doute, n’étant pas encore fixés sur le
40   3,    VIII|         la situation, voyant et n’étant pas vus, pouvant surprendre
41   3,    VIII|          presqu’île serpentine, n’étant point d’humeur à s’aventurer
42   3,       X|          ne se fussent rouvertes, étant imparfaitement cicatrisées…
43   3,     XII|   convenable, et c’est alors que, étant remontés vers le nord, ils
44   3,   XVIII|         le 3 janvier que Harbert, étant monté dès l’aube au plateau
45   3,   XVIII|      centrale, et que, la soupape étant assez large, aucune dislocation
46   3,   XVIII|         Cependant, Cyrus Smith, s’étant aventuré sur la crête des
47   3,     XIX|          au corral, toutes choses étant en état, Cyrus Smith et