Partie,  Chap.

 1   1,       I|          terre se trouvait encore à trente milles sous le vent. Il
 2   1,      II|           lui. C’était un garçon de trente ans, vigoureux, agile, adroit,
 3   1,      XI|             s’allongeait de plus de trente milles en mer, à compter
 4   1,      XI|            ne comptait pas moins de trente milles.~ ~ ~ ~Quant à l’
 5   1,      XI|           est vrai, une distance de trente milles environ séparait
 6   1,     XII|             une largeur variable de trente à quarante pieds. Ses eaux
 7   1,     XII|    bondissant, faisant des sauts de trente pieds, véritables mammifères
 8   1,   XVIII|            pas une pente de plus de trente à trente-cinq degrés. Elles
 9   1,   XVIII|             ne mesurait pas plus de trente pieds de haut et de large
10   1,     XIX|           chambre-cuisine, large de trente pieds, une salle à manger,
11   1,     XIX|           rendement de vingt-cinq à trente gallons par jour.~ ~ ~ ~
12   1,      XX|           de trois millions, à cent trente mille par boisseau, Pencroff.~ ~ ~–
13   2,      IV|             d’eau inconnu, large de trente à quarante pieds, et dont
14   2,      IV|     asperges.~ ~ ~– Des asperges de trente pieds ! s’écria le marin.
15   2,      IV|             sont point des tiges de trente pieds que l’on mange, mais
16   2,       V|           de la presqu’île.~ ~ ~« À trente milles environ, répondit
17   2,       V|         courbures de la côte.~ ~ ~– Trente milles ! Reprit Gédéon Spilett.
18   2,       X|             l’ingénieur, et, à cent trente mille grains par boisseau,
19   2,   XVIII|            longueur de vingt-cinq à trente pieds, puis déroulé et représenté
20   3,     XII|    invisibles au delà d’un rayon de trente à quarante pieds. Le reporter
21   3,     XII|        prairie dégarnie d’arbres. À trente pas se dressait la porte
22   3,     XII|         paraissait être fermée. Ces trente pas qu’il s’agissait de
23   3,    XIII|       construire une embarcation de trente à quarante tonneaux ?~ ~ ~–
24   3,     XVI|         sais.~ ~ ~– Il y a pourtant trente années que je n’ai plus
25   3,     XVI| communication avec le monde habité, trente ans que je vis dans les
26   3,     XVI|           de son pays. De dix ans à trente ans, le prince Dakkar, supérieurement
27   3,    XVII|            quitter son bord. Il y a trente ans qu’il vit sur le Nautilus,
28   3,      XX|               Un roc isolé, long de trente pieds, large de quinze,