Partie,  Chap.

 1   1,       V|        Monsieur Spilett, vous êtes fumeur, vous avez toujours
 2   1,    VIII| répondit Pencroff, et si vous êtes étonné, monsieur Cyrus,
 3   2,       I|      pouce. Puis :~ ~ ~« Vous êtes en mesure d’affirmer, demanda-t-il
 4   2,      XI|    fallait l’abandonner, vous êtes le premier à vouloir la
 5   2,      XI|       sait ?~ ~ ~– Et si vous êtes pris par quelque tempête ?~ ~ ~–
 6   2,      XV|     recherche, puisque vous n’êtes que trois comme au départ ?~ ~ ~–
 7   2,      XV|       vous m’aidiez, car vous êtes bien pour les trois quarts
 8   2,     XVI|      n’en ai pas !~ ~ ~– Vous êtes au milieu d’amis…~ ~ ~–
 9   2,     XVI|    suis-je libre ?~ ~ ~– Vous êtes libre, répondit l’ingénieur.~ ~ ~–
10   2,     XVI|   Moins que rien !~ ~ ~– Vous êtes blessé ?~ ~ ~– Peu importe.~ ~ ~–
11   2,     XVI|       voix sourde, non ! Vous êtes d’honnêtes gens, vous !
12   2,    XVII|      de vous. Je sais où vous êtes, Ayrton, et je sais où vous
13   2,    XVII|      semblables. Ayrton, vous êtes pardonné ! Et maintenant,
14   2,      XX|     Harbert.~ ~ ~– Quand vous êtes revenu de l’île Tabor, Pencroff,
15   2,      XX|       le marin.~ ~ ~– Et vous êtes bien certain de l’avoir
16   3,     III|     écrié l’ingénieur. Vous n’êtes pas blessés ?~ ~ ~– Non !
17   3,      IV|            Mais ce que vous n’êtes plus, brave Ayrton ! » répondit
18   3,       V|    que je vous ai faite. Vous êtes notre compagnon ; vous vous
19   3,       V|   notre compagnon ; vous vous êtes déjà plusieurs fois dévoué
20   3,     XIV|      marin, je pense que vous êtes tout aussi capable de fabriquer
21   3,    XVII|   leur dit le capitaine, vous êtes des hommes courageux, honnêtes
22   3,    XVII|   honnêtes et bons. Vous vous êtes tous dévoués sans réserve
23   3,    XVII|    pour revoir le sol où vous êtes nés. Je sais que ces misérables