Partie,  Chap.

 1   2,     III|    les appelle les « arbres à fièvre. »~ ~– Parce qu’ils la donnent ?~ ~ ~–
 2   2,     XII|      perte de son sang, et la fièvre se déclara à un degré assez
 3   2,     XII|    constitution l’emporta, la fièvre diminua peu à peu, et Gédéon
 4   3,    VIII|     inflammation locale et la fièvre qui résulteraient de cette
 5   3,    VIII|     il s’en rendît compte. Sa fièvre était extrêmement forte,
 6   3,    VIII|       une façon régulière, la fièvre ne tendait pas à augmenter,
 7   3,    VIII|      revenait à la vie, et sa fièvre tendait à baisser. Il était,
 8   3,       X|    disposition des colons. La fièvre n’était pas encore très
 9   3,       X|       la suite de laquelle la fièvre parut diminuer. L’accès
10   3,       X|   était pris maintenant d’une fièvre intermittente, ce n’était
11   3,       X|    que trop certain, et cette fièvre, il fallait à tout prix
12   3,       X|       quelque délire, mais la fièvre ne reparut pas dans la nuit,
13   3,       X|      pas quotidiennes, que la fièvre fût tierce, en un mot, et
14   3,       X|       à part.~ ~ ~« C’est une fièvre pernicieuse ! lui dit-il.~ ~ ~–
15   3,       X|         lui dit-il.~ ~ ~– Une fièvre pernicieuse ! s’écria Cyrus
16   3,       X|    vous trompez, Spilett. Une fièvre pernicieuse ne se déclare
17   3,       X|      et un troisième accès de fièvre pernicieuse qu’on ne coupe
18   3,       X| existât contre cette terrible fièvre pernicieuse, le seul spécifique
19   3,      XI|      le troisième accès de la fièvre pernicieuse ne s’était pas
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