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1   1,      IX|    quelques jours. C’est un miracle que la Dobryna ait résisté,
2   1,     XIV|    et je considère comme un miracle que nous n’ayons pas été
3   2,    XVII| regarder comme un véritable miracle que, lors du premier choc,
4   2,   XVIII|     porterait, – à moins de miracle. Le capitaine Servadac se
5   2,     XIX|   pouvait-on compter sur le miracle d’un navire, venant sauver
6   2,      XX| repris connaissance. Par un miracle, impossible à expliquer
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