Partie,  Chap.

  1   1,       I|           un peu pour rimer.~ ~ ~« Oui ! oui ! murmurait-il, pendant
  2   1,       I|            pour rimer.~ ~ ~« Oui ! oui ! murmurait-il, pendant
  3   1,       I|            C’est simplement…~ ~ ~« Oui ! simplement, c’est-à-dire
  4   1,     III|       place à la table de travail. Oui ! Hector Servadac s’escrimait
  5   1,       V|            Est-il possible ?~ ~ ~– Oui, et il faut partir !~ ~ ~–
  6   1,       V|                    Du soir ?~ ~ ~– Oui ! Le soleil est dans l’ouest,
  7   1,       V|           s’étonner de rien.~ ~ ~– Oui, mon capitaine, répondit
  8   1,      VI|       Alors on peut dormir ?~ ~ ~– Oui, si on le peut ! »~ ~ ~Et
  9   1,     VII|       contingent d’oxygène ?~ ~ ~ ~Oui, le fourneau s’alluma, et,
 10   1,     VII|         sont sains et saufs.~ ~ ~– Oui, mon capitaine, il faut
 11   1,     VII|  ordonnance.~ ~ ~– La lune ?~ ~ ~– Oui ! la lune ! » répliqua Ben-Zouf,
 12   1,    VIII|            de l’air par là ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Et de l’eau ?~ ~ ~–
 13   1,    VIII|       capitaine hors de lui.~ ~ ~– Oui ! deux trains, animal !
 14   1,    VIII|            être philosophe ?~ ~ ~– Oui ! puisque je suis soldat.~ ~ ~–
 15   1,      IX|          place du couchant ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Que la durée du jour
 16   1,      IX|          monsieur le comte ?~ ~ ~– Oui, capitaine, et pour faire
 17   1,       X|            comte Timascheff.~ ~ ~– Oui, père, répondit le lieutenant
 18   1,     XII|            comte Timascheff.~ ~ ~– Oui, répondit le lieutenant
 19   1,    XIII|      calendrier britannique.~ ~ ~– Oui, Votre Honneur, répondit
 20   1,    XIII|          le brigadier.~ ~ ~– Plusouicertes ! » répondit le
 21   1,     XIV|            bien dit Corfou ?~ ~ ~– Oui ! Cor-fou », répéta Hector
 22   1,     XIV|                    Anglais ?~ ~ ~– Oui, sur un sol que couvre le
 23   1,      XV|           vingt kilomètres !~ ~ ~– Oui, répondit le lieutenant
 24   1,      XV|      projeté dans l’espace ?~ ~ ~– Ouipeut-êtrerépondit Hector
 25   1,      XV|          sa nouvelle orbite.~ ~ ~– Oui, ajouta le lieutenant Procope,
 26   1,     XVI|           surface de Gallia.~ ~ ~– Oui, répondit le lieutenant
 27   1,     XVI|            parole de Dante !~ ~ ~– Oui, capitaine, et maintenant
 28   1,    XVII|            comte Timascheff.~ ~ ~– Oui, monsieur le comte, répondit
 29   1,    XVII|            la mer Gallienne ».~ ~– Oui, répondit le lieutenant
 30   1,   XVIII|           Du monde à dîner !~ ~ ~– Oui, oui… Mais, au fait, venez,
 31   1,   XVIII|         monde à dîner !~ ~ ~– Oui, oui… Mais, au fait, venez, ajouta
 32   1,   XVIII|         Lucar de Barrameda6.~ ~ ~« Oui, vous me paierez mon ,
 33   1,   XVIII|         semblait dire :~ ~ ~« Eh ! oui, mon capitaine, c’est bien
 34   1,     XIX|           mon tour je les paieraioui… je les paieraipourvu
 35   1,     XIX|       animal ? dit Ben-Zouf.~ ~ ~– Oui, Ben-Zouf, répondit le capitaine
 36   1,      XX|                  Une lueur ?~ ~ ~– Oui, dans cette direction !~ ~ ~–
 37   1,      XX|           les frais de chauffage ! Oui ! cette inépuisable et ardente
 38   1,      XX|         dit le lieutenant Procope. Oui ! c’est bien le volcan,
 39   1,     XXI|           duquel il fallait parer. Oui, grand, long, interminable
 40   1,     XXI|        homme comme lui.~ ~ ~« Eh ! oui, mordioux ! oui ! tout cela
 41   1,     XXI|               Eh ! oui, mordioux ! oui ! tout cela est vrai, répondit
 42   1,     XXI|     monsieur le gouverneur ?~ ~ ~– Oui, car je ne veux pas que,
 43   1,    XXII|          tairas-tu, animal !~ ~ ~– Oui, Monseigneur ! »~ ~ ~Enfin,
 44   1,    XXII|        sépare de l’horizon ?~ ~ ~– Oui, comte Timascheff, répondit
 45   1,    XXII|    cultivés de l’île Gourbi.~ ~ ~– Oui, capitaine, partie fertile
 46   1,    XXII|       glace dans la mer ?~ ~ ~– Oh oui ! répondit la petite fille,
 47   1,    XXIV|            saisi sa lunette.~ ~ ~« Oui ! répondit-il, là !… là !…
 48   1,    XXIV|      faible :~ ~ ~« Gallia ?~ ~ ~– Oui !.. oui !.. Gallia !.. répondit
 49   1,    XXIV|             Gallia ?~ ~ ~– Oui !.. oui !.. Gallia !.. répondit
 50   2,       I|            morceau du globe ?…~ ~– Oui ! mordioux ! s’écria le
 51   2,      II|            vous savez déjà ?~ ~ ~– Oui, monsieur le gouverneur !
 52   2,      II|            est arrivé hier ?~ ~ ~– Oui, répondit Ben-Zouf.~ ~ ~–
 53   2,      II|          nouvelles d’Europe.~ ~ ~– Oui, Manassé, et il t’en donnera
 54   2,      II|           tu y regarderais !~ ~ ~– Oui !… mais je les donnerais
 55   2,      II|    Charlemagne ? lui dit-il.~ ~ ~– Oui, Servadac, oui ! répondit
 56   2,      II|       dit-il.~ ~ ~– Oui, Servadac, oui ! répondit Palmyrin Rosette.
 57   2,      II|      nouvelles de l’Europe !~ ~ ~– Oui… oui… répondit Isac, qui
 58   2,      II|           de l’Europe !~ ~ ~– Oui… ouirépondit Isac, qui s’accrochait
 59   2,      II|          lieutenant Procope.~ ~ ~– Oui, reprit le professeur, oui !
 60   2,      II|         Oui, reprit le professeur, oui ! Il est bien vrai qu’une
 61   2,      IV|            du délire astronomique. Oui ! la terre serait heurtée
 62   2,      IV|            autour du soleil.~ ~ ~« Oui, monsieur, dit Palmyrin
 63   2,      IV|          lieutenant Procope.~ ~ ~– Oui, répondit sans hésiter Palmyrin
 64   2,      IV|          comète périodique ?~ ~ ~– Oui, et à courte période, puisque
 65   2,      IV|          capitaine Servadac.~ ~ ~– Oui, messieurs, répondit Palmyrin
 66   2,       V|             Douze mois terrestres, oui ! répondit le professeur,
 67   2,       V|            le veux…~ ~ ~– Eh bien, oui ! en douze mois ! répondit
 68   2,       V|            jours sur terre ?~ ~ ~– Oui, soixante jours.~ ~ ~– Et
 69   2,       V|           à ceci : Avez-vous fait, oui ou non, le tour de Gallia
 70   2,       V|         ses grands cercles ?~ ~ ~– Oui, monsieur, répondit le lieutenant,
 71   2,       V|            son double rayon.~ ~ ~– Oui… dit Palmyrin Rosette comme
 72   2,       V|          sept cent quarante.~ ~ ~– Oui, et dépêchez-vous ! s’écria
 73   2,     VII|         Vous dites un peson ?…~ ~– Oui ! un peson à peser ! répéta
 74   2,     VII|         Ben-Zouf.~ ~ ~– En effet ! oui !… je croisrépondit Isac
 75   2,     VII| demanda-t-il assez vivement.~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Vous déposeriez entre
 76   2,     VII|          en cas de malheur ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Combien ?~ ~ ~– Cent
 77   2,     VII|            comte Timascheff.~ ~ ~– Oui, répondit Hector Servadac.
 78   2,     VII|        présence d’un voleur.~ ~ ~– Oui !… des pièces d’argent !…
 79   2,     VII|       pièces de cinq francs ?…~ ~– Oui… non… » répondit Isac, ne
 80   2,     VII|        pour vos opérations ?~ ~ ~– Oui, répondit le professeur,
 81   2,     VII|      reprit Hector Servadac.~ ~ ~– Oui, deux cent trente francs,
 82   2,     VII|       rayonna en un instant.~ ~ ~– Oui, un simple prêt… Quel intérêt
 83   2,    VIII|            de donner un nom.~ ~ ~– Oui, et nous voudrions bien
 84   2,    VIII|         surface de la terre.~ ~ ~– Oui, répondit le professeur,
 85   2,      IX|      contempler de si près !~ ~ ~ ~Oui, le professeur avait raison
 86   2,      IX|       profondément réfléchi.~ ~ ~– Oui, sans doute, répondit Hector
 87   2,      IX|           veut nous avaler ?~ ~ ~– Oui. Après ?~ ~ ~– Êtes-vous
 88   2,      IX|          général de Gallia ?~ ~ ~– Oui, mon capitaine ! » répondit
 89   2,       X|       rencontre eût été possible ? Oui, sans doute. En outre, si
 90   2,       X|            belle :~ ~ ~« Je croisoui… je pense… qu’il y a à la
 91   2,       X|     monnaie par excellence !~ ~ ~– Oui, en or surtout, maître Isac,
 92   2,       X|          yeux de l’Éternel !~ ~ ~– Ouimaître Isacrépondit le
 93   2,       X|            de bonne amitié ?~ ~ ~– Oui… de bonne amitié… mais en
 94   2,       X|          général ? dit Isac.~ ~ ~– Oui, Caïphe, dans les grandes
 95   2,      XI|        longue saison froide.~ ~ ~ ~Oui, les colons seraient ainsi
 96   2,     XII|           part au repas solennel ? Oui, sans doute, il convenait
 97   2,    XIII|        Celui qui peut tout ?~ ~ ~– Oui, capitaine, mais il peut
 98   2,    XIII|      arrivait pas une idée !~ ~ ~– Oui, répondit le comte Timascheff,
 99   2,     XIV|           répondit celui-ci.~ ~ ~– Oui, capitaine, mais il me faut
100   2,      XV|      pendant tout ce temps ?~ ~ ~– Oui, Ben-Zouf, répondit le capitaine
101   2,      XV|         après ?…~ ~– Après ?~ ~ ~– Oui, quand nous serons revenus
102   2,      XV|              redit Ben-Zouf.~ ~ ~– Oui, eurêka ! Sais-tu ce que
103   2,      XV|        répétait à lui-même :~ ~ ~« Oui, c’est cela… ce ne peut
104   2,      XV|          une livre de café ?~ ~ ~– Oui, monsieur Ben-Zouf.~ ~ ~–
105   2,      XV|        avez besoin de café ?~ ~ ~– Ouimonsieur le professeur,
106   2,      XV|         café vous est nécessaire ! Oui !… oui !… Cela réchauffe
107   2,      XV|            est nécessaire ! Oui !… oui !… Cela réchauffe le sang !~ ~ ~–
108   2,      XV|     poitrine de maître Isac.~ ~ ~« Oui… répliqua-t-il… avec le
109   2,      XV|        vous en donner sept !~ ~ ~– Ouisept ! c’est bien cela ! »~ ~ ~
110   2,      XV|          vendre, mein Gott !~ ~ ~– Oui, et cela est juste, puisque
111   2,      XV|         pas un autre ! Achètes-tu, oui ou non ?~ ~ ~– Miséricorde !~ ~ ~–
112   2,      XV|      gradué de l’instrument.~ ~ ~– Oui donc, vieux Jonas !~ ~ ~–
113   2,      XV|            Monsieur le gouverneuroui… non !… répondit-il… oui !…~ ~–
114   2,      XV|           oui… non !… répondit-iloui !…~ ~– Il y a que ce voleur
115   2,     XVI|          drapeau tricolore ?~ ~ ~– Oui, mon capitaine, répondit
116   2,    XVII|    répondit Hector Servadac.~ ~ ~– Oui, mon capitaine.~ ~ ~– Voyons
117   2,    XVII|         dit Hector Servadac.~ ~ ~– Oui, car, lorsque la vitesse
118   2,    XVII|          rencontre se fera !~ ~ ~ ~Oui, capitaine Servadac, répondit
119   2,    XVII|            comte Timascheff.~ ~ ~– Ouipeut-être… oui !~ ~ ~–
120   2,    XVII|  Timascheff.~ ~ ~– Oui… peut-êtreoui !~ ~ ~– Et comment ?~ ~ ~–
121   2,    XVII|            le sol de Gallia.~ ~ ~– Oui ! oui ! dit le capitaine
122   2,    XVII|         sol de Gallia.~ ~ ~– Oui ! oui ! dit le capitaine Servadac.
123   2,   XVIII|      calcule leurs perturbations ? Oui ! Ah ! vous me faites pitié ! »~ ~ ~
124   2,     XIX|      avaient cru ne jamais revoir. Oui, c’était bien l’Europe qui
125   2,     XIX|          avec Paris au cœur.~ ~ ~ ~Oui, tout cela se voyait, se
126   2,      XX|           ont toujours tort…~ ~ ~– Oui ! répondit le capitaine
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