Partie,  Chap.

 1   1,     III|          brumes supérieures de l’atmosphère. On ne voyait ni franges
 2   1,      VI|       qui imprégnait vaguement l’atmosphère.~ ~ ~ ~Tout rentra donc
 3   1,    VIII|      solaires, réfractés par son atmosphère, pénétraient dans des régions
 4   1,    VIII|          que Vénus possédait une atmosphère, puisque les effets de réfraction
 5   1,    VIII|   distinguer les nuages dont une atmosphère, continuellement chargée
 6   1,      XV|       emportant une portion de l’atmosphère avec lui, et qu’il parcourt
 7   1,      XV|         avec lui une partie de l’atmosphère et une portion des eaux
 8   1,     XVI|         se maintenait au beau. L’atmosphère, singulièrement refroidie
 9   1,    XVII|  progressivement refroidies de l’atmosphère. Les constellations brillaient
10   1,    XVII|      étoiles filantes sillonna l’atmosphère, – étoiles bien autrement
11   1,    XVII| merveilleuse, en se frottant à l’atmosphère de Gallia. Un bouquet d’
12   1,    XVII|          emporté une partie de l’atmosphère, des mers et des continents ?~ ~ ~–
13   1,   XVIII|   élevait automatiquement dans l’atmosphère. Le capitaine Servadac reconnut
14   1,      XX|     considérable. L’oxygène de l’atmosphère emportée par Gallia s’était-il
15   1,      XX|      combien la température de l’atmosphère s’élevait sensiblement.
16   1,     XXI|       une mousquetade dans cette atmosphère sèche et pure.~ ~ ~ ~Le
17   1,    XXII|        vapeurs condensées dans l’atmosphère, indiquaient l’apparition
18   1,    XXII|       par les froids de la haute atmosphère. Un petit point, légèrement
19   1,   XXIII|          temps étant très pur, l’atmosphère très sèche, le thermomètre
20   1,   XXIII|         un état particulier de l’atmosphère, ni au plus ou moins de
21   1,   XXIII|         oiseaux, emportés dans l’atmosphère gallienne, s’étaient réfugiés
22   2,       I|       flagrante avec l’état de l’atmosphère ? Qui échauffait le thermomètre,
23   2,     III|        ce qui pouvait vicier son atmosphère.~ ~ ~ ~Sur la quatrième
24   2,     III|     elles introduisissent dans l’atmosphère des éléments gazeux impropres
25   2,     III|          effet, selon Babinet, l’atmosphère terrestre, si ténue qu’elle
26   2,     III|       degré de condensation de l’atmosphère terrestre, elle tiendrait
27   2,       V|   souffle de vent ne troublait l’atmosphère gallienne. Les colons se
28   2,       V|     périodes de calme, lorsque l’atmosphère n’est pas troublée, fussent-ils
29   2,       V|       saine. Enfin le calme de l’atmosphère permettait d’aller et de
30   2,       V|     décroissait toujours, mais l’atmosphère restait aussi pure, aussi
31   2,      VI|       eussent cessé de saturer l’atmosphère gallienne. En arrière, jusqu’
32   2,    XIII|         à Gallia une partie de l’atmosphère terrestre, et les parois
33   2,    XIII|         elle ne possédait aucune atmosphère, et, par conséquent, l’oxygène
34   2,     XIV|        un froid excessif, mais l’atmosphère n’avait rien perdu de sa
35   2,     XVI|          produiraient-ils dans l’atmosphère gallienne ? On devait même
36   2,    XVII|      être asphyxiés. En effet, l’atmosphère gallienne ira se mêler à
37   2,    XVII|       gallienne ira se mêler à l’atmosphère terrestre, et il n’y aura
38   2,    XVII|  auparavant, nous enlever dans l’atmosphère de Gallia. Cette atmosphère
39   2,    XVII|      atmosphère de Gallia. Cette atmosphère nous entraînera nécessairement
40   2,    XVII|       pourra se confondre avec l’atmosphère terrestre, et il est possible
41   2,    XVII|     planer plus longtemps dans l’atmosphère, après le choc, si le ballon
42   2,    XVII|       temps de se glisser avec l’atmosphère de Gallia dans l’atmosphère
43   2,    XVII|      atmosphère de Gallia dans l’atmosphère terrestre. On ne devait
44   2,   XVIII|     quelconque de la mer et de l’atmosphère galliennes ? Se trouvait-il
45   2,   XVIII|     terrestre. Se glisser avec l’atmosphère gallienne dans l’atmosphère
46   2,   XVIII|      atmosphère gallienne dans l’atmosphère terrestre, cela paraissait
47   2,   XVIII|         flancs, planerait dans l’atmosphère gallienne. Il est vrai que
48   2,   XVIII| gallienne. Il est vrai que cette atmosphère était moins dense que celle
49   2,   XVIII|       imaginé ! Le passage d’une atmosphère à l’autre ne pourrait s’
50   2,   XVIII|     éleva majestueusement dans l’atmosphère.~ ~ ~ ~
51   2,     XIX|       les nuages répandus dans l’atmosphère terrestre.~ ~ ~ ~Mais bientôt,
52   2,     XIX|  celui-ci, en se glissant dans l’atmosphère terrestre, n’aurait pas
53   2,     XIX|   descendit en tournoyant dans l’atmosphère gallienne, et se tint dans
54   2,     XIX|          immobile au milieu de l’atmosphère qui l’entraînait.~ ~ ~«