Partie,  Chap.

 1   1,      XX|        nature allait procurer aux colons précisément l’indispensable
 2   1,     XXI|       abeilles – on veut dire les colons – trouveraient aisément
 3   1,     XXI|       Anglais de Gibraltar et les colons de l’île Gourbi –, Isac
 4   1,    XXII|   constater qu’il fut l’œuvre des colons eux-mêmes.~ ~ ~ ~En effet,
 5   1,    XXIV|       salle de Nina-Ruche, et les colons accueillaient par des hurrahs
 6   2,      II|   discutaient de cette façon, les colons vaquaient à leurs affaires
 7   2,       V|         cette ingéniosité que les colons avaient déployée dans les
 8   2,       V|         atmosphère gallienne. Les colons se trouvaient dans des conditions
 9   2,       V|     au-dessous de zéro.~ ~ ~ ~Les colons de la Terre-Chaude étaient
10   2,       V|         la main à ce que tous les colons fussent chaudement vêtus
11   2,      VI|           égard. Quant aux autres colons, c’était bien le moindre
12   2,      VI|     étaient empreints les pas des colons, qui s’y promenaient journellement,
13   2,      XI|     saison froide.~ ~ ~ ~Oui, les colons seraient ainsi rentrés à
14   2,    XIII|          court laps de temps, les colons eurent à souffrir cruellement
15   2,    XIII|     lapins dans leur terrier, les colons allaient s’enfouir sous
16   2,    XIII|       évidemment pas absolue. Les colons, vêtus aussi chaudement
17   2,    XIII|     remontèrent à Nina-Ruche. Les colons furent instruits des résolutions
18   2,     XIV|         de nécessité absolue, les colons de la Terre-Chaude n’auraient-ils
19   2,     XIV|         entend.~ ~ ~ ~De tous les colons, ce fut encore Palmyrin
20   2,      XV|            et même au-dehors. Les colons s’aventuraient plus impunément
21   2,     XVI|       réserve, pour le cas où les colons devraient retourner à l’
22   2,    XVII|           Toutefois, la perte des colons étant assurée en toute autre
23   2,    XVII| impressionner douloureusement les colons. On eût dit que quelque