Partie,  Chap.

 1   1,       V|    surprise de Ben-Zouf, qui la vit tomber à plus de cinq cents
 2   1,     VII|      poste, le quitta dès qu’il vit la pluie cesser et le vent
 3   1,       X|     seize cents mètres !… On ne vit rien, ni à cette place ni
 4   1,      XI|   kilomètres d’ouverture. On ne vit plus rien, ni du cap de
 5   1,      XI|        matelots qu’il appela la vit distinctement.~ ~ ~ ~Le
 6   1,     XIV|        à sa grande surprise, il vit les hommes de la Dobryna
 7   1,     XVI|    capitaine Servadac, quand il vit qu’un nouveau sol s’était
 8   1,   XVIII|        Ben-Zouf, un beau matin, vit poindre à l’horizon un navire
 9   1,      XX|        le capitaine Servadac le vit passer sa main sur ses yeux,
10   1,     XXI|        y croire. Mais lorsqu’il vit la Dobryna faire de fréquents
11   1,     XXI|      ruine !~ ~ ~ ~Alors, on le vit quitter plus souvent sa
12   1,     XXI|       la Terre-Chaude, quand il vit en sûreté son bien et lui,
13   1,    XXIV|        de l’infortuné.~ ~ ~« Il vit ! » s’écria-t-il.~ ~ ~ ~
14   2,      IV|   quelques nuits, le professeur vit que l’astre en question
15   2,      IX|     plus qu’un homme, puisqu’il vit en dehors du monde terrestre –
16   2,      IX|    Gallia passa.~ ~ ~ ~Et on le vit bien, le lendemain, à l’
17   2,      XI| apercevoir. Palmyrin Rosette la vit, sans doute, dans le champ
18   2,     XII|     origine, et la Russie ne se vit point oubliée, grâce à quelques
19   2,     XII|  étaient près de s’éteindre, on vit que Ben-Zouf tendait son
20   2,     XIV|  Palmyrin Rosette.~ ~ ~ ~Or, il vit que, vers le commencement
21   2,    XVII|         l’observatoire, et l’on vit apparaître sur les roches
22   2,   XVIII|   peignait sur sa rétine, il ne vit rien, il ne découvrit rien !~ ~ ~ ~