Partie,  Chap.

 1   1,       V|      atteindre la ville avant la chute du jour. À travers l’opaque
 2   1,       X|              Ce serait alors une chute, et une chute terrible !
 3   1,       X|          alors une chute, et une chute terrible ! s’écria le capitaine
 4   1,       X|    affirmer que ce n’est pas une chute dont la terre est menacée
 5   1,       X|         En effet, si c’était une chute que subissait le globe terrestre,
 6   1,       X|        attractif. Si c’était une chute, c’est que la vitesse tangentielle,
 7   1,       X|  Servadac.~ ~ ~– Qu’il n’y a pas chute, répondit le lieutenant
 8   1,       X|  affirmer que ce n’est point une chute que subit la terre. C’est
 9   1,       X|         peu du soleil, et qu’une chute à la surface de ce centre
10   1,    XIII|       les lunettes, constater sa chute dans la mer. Il fallut donc
11   2,     III|      pour s’y absorber après une chute de soixante-quatre jours
12   2,       V|        lave, dérivé de la grande chute, suffit à chauffer ledit
13   2,      IX|     elliptique se fût changée en chute rectiligne sous l’influence
14   2,      IX| attraction qui se fût changée en chute. Les jours s’écoulaient,
15   2,      IX| indiquées par le calcul ? Si une chute directe n’était pas à redouter,
16   2,     XII|         elle se brisait dans une chute impossible à prévenir, et
17   2,     XII|         aussitôt.~ ~ ~ ~Avant la chute du jour, le capitaine Servadac
18   2,    XIII|       descendre sans risquer une chute. D’ailleurs, les parois
19   2,     XIV| complètement inaccessibles. Leur chute, au dégel, était certaine,
20   2,     XIV|          pour ne rentrer qu’à la chute du jour.~ ~ ~ ~Cette sorte
21   2,    XVII|      projetés et brisés dans une chute épouvantable.~ ~ ~– Très
22   2,     XIX|          devait précéder dans sa chute l’appareil aérostatique, –