Partie,  Chap.

 1   1,       V|           dit-il, cela regarde les astronomes ! Je verrai, dans huit jours,
 2   1,    VIII|      Montbarron et quelques autres astronomes, ont très sérieusement cru
 3   1,    XXII|          de quelque autre dont les astronomes n’avaient pas encore connaissance ?
 4   2,       I|            les systèmes des autres astronomes. Ce fut à lui, d’ailleurs,
 5   2,       I|       commencer leurs calculs, les astronomes supposent toujours aux comètes
 6   2,     III|     comment, d’après les meilleurs astronomes, il définissait les comètes :~ ~ ~«
 7   2,     III|           Comme l’ont remarqué les astronomes, il semble toujours être
 8   2,     III|      meilleures conditions que les astronomes de l’hémisphère boréal,
 9   2,     III|    observée en 1805. Ainsi que les astronomes l’avaient prédit, on la
10   2,     III|     observée par Cassini, mais les astronomes ne sont aucunement d’accord
11   2,     III|                 Non, répondent les astronomes, parce que « de ce que la
12   2,      IV|            planète que le dieu des astronomes lui envoyait ? Tenait-il
13   2,      IV|           dérobait aux regards des astronomes.~ ~ ~ ~Le professeur demeura
14   2,      IX|         être le plus satisfait des astronomes, il était le plus malheureux
15   2,      XI|       grande joie, sans doute, des astronomes saturniens. Et si l’on ajoute
16   2,      XI|         étaient trop éloignés. Les astronomes terrestres, armés de leurs
17   2,      XI|         que, pour la chiffrer, les astronomes ont dû prendre le milliard
18   2,      XI|         des vitesses inégales. Les astronomes ont pu indiquer les positions
19   2,      XI| réflecteurs, – nébuleuses dont les astronomes connaissent plus de cinq
20   2,     XIV|        éléments étaient connus des astronomes terrestres. »~ ~ ~Le professeur
21   2,     XIV|           Servadac, dit-il, si les astronomes terrestres ont observé Nérina,
22   2,      XV|         peu le plus malheureux des astronomes. Évidemment, ses calculs