Partie,  Chap.

 1   1,      IV|    quelques secondes, l’astre des nuits se fût rapproché de quatre-vingt-seize
 2   1,     VII|          revoir « la compagne des nuits terrestres », comme on dit
 3   1,    VIII|          fallait les remettre aux nuits prochaines, si l’état du
 4   1,    VIII|     remarquable. Les jours et les nuits étaient mathématiquement
 5   1,    VIII|        pour observer le ciel, les nuits, non moins belles, mettaient
 6   1,    XIII|  accourcissement des jours et des nuits, déviation de l’axe de rotation,
 7   1,      XV|        constante des jours et des nuits –, occupait l’équateur de
 8   1,    XVII|       fallait se hâter.~ ~ ~ ~Les nuits étaient belles. Les nuages
 9   1,    XVII|       cette propice obscurité des nuits galliennes.~ ~ ~ ~Mais si
10   1,    XXII|           là l’ancienne Phœbé des nuits terrestres.~ ~ ~ ~En effet,
11   2,      II| raccourcissement des jours et des nuits, la désorientation de deux
12   2,      IV|        attention pendant quelques nuits, le professeur vit que l’
13   2,      IX|           fête des yeux ! Que ces nuits galliennes étaient belles !
14   2,      IX|          les jours sont égaux aux nuits, et la variation des saisons
15   2,      IX|      éclairent magnifiquement les nuits joviennes.~ ~ ~ ~De ces
16   2,      IX|        moins gros que l’astre des nuits. Mais tous accomplissent
17   2,      XI|    Saturniens – s’il y en a – des nuits splendides, ce sont les
18   2,      XI|      doivent être splendides, ces nuits, bien que l’intensité de
19   2,      XI|       rend plus belles encore les nuits de cette planète, c’est
20   2,    XIII|         un conte des Mille et une Nuits, c’eût été charmant. La
21   2,     XIV|       soleil. Pendant les courtes nuits, le froid était encore extraordinairement
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