Partie,  Chap.

 1   1,      VI|       firent une marche forcée le long du rivage méditerranéen.
 2   1,     XIV|        qui était peut-être un peu long pour un nez russe.~ ~ ~ ~
 3   1,      XX|           de la mer Gallienne, un long promontoire lui barra le
 4   1,     XXI|        fallait parer. Oui, grand, long, interminable peut-être,
 5   1,     XXI|          attendre sans crainte le long et rude hiver qui allait
 6   1,    XXII|         furent même organisées le long du littoral et à la surface
 7   1,   XXIII|       supporter les fatigues d’un long hivernage. Le lieutenant
 8   1,    XXIV|          le youyou de la Dobryna, long d’une douzaine de pieds,
 9   1,    XXIV|           La vitesse de Gallia le long de son orbite avait diminué
10   2,       I|        depuis une semaine, un nez long et busqué, servant de support
11   2,       I|           enroulé eût été un nerf long de plusieurs hectomètres,
12   2,       I|         que le professeur en sait long sur la comète Gallia, il
13   2,     III| intervalle de temps plus ou moins long, mais presque régulier.
14   2,     III|         développer, soit comme un long plumeau, soit comme un éventail
15   2,      IV|       lorsqu’il revint d’un assez long évanouissement, il se trouva
16   2,      VI|          de lieues à parcourir le long de son orbite, sa distance
17   2,    XIII|         comme elles, – moins leur long sommeil hivernal.~ ~ ~ ~
18   2,     XIV|      Gibraltar. Mais c’eût été un long voyage sur l’immense champ
19   2,    XVII|          s’étaient tus pendant le long hiver gallien. On devait
20   2,   XVIII|           poste, respectés par ce long hiver. Des ruisseaux coulaient
21   2,     XIX|       celle qui anime la terre le long de l’écliptique.~ ~ ~ ~Inutile