Partie,  Chap.

 1   1,     VII|        Bon, mon capitaine. Vous êtes donc marin ?~ ~ ~– On est
 2   1,     XIV|   poursuivre en plein air. Vous êtes ici chez vous, et s’il vous
 3   1,     XIV|       le brigadier Murphy. Vous êtes ici sur le sol anglais,
 4   1,     XIV|         recouvré, que vous vous êtes arrogé sur les îles Ioniennes !~ ~ ~–
 5   1,     XIV|     puis deviner la cause. Vous êtes ici sur un sol qui est anglais
 6   1,     XIV|      sans y réussir. Donc, vous êtes aussi bien en Angleterre
 7   1,     XIV|     brigadier Murphy. Ici, vous êtes à Gibraltar. »~ ~ ~Gibraltar !
 8   1,    XVII|        confiance :~ ~ ~« Vous n’êtes pas méchants ? leur dit-elle
 9   1,   XVIII|  capitaine, c’est bien vous qui êtes le gouverneur général !
10   1,     XIX| conserver cette situation. Vous êtes Français, nous sommes ici
11   1,     XXI|      mon refrain,~ ~Fameux vous êtes.~ ~ ~ ~Puis un bal fut improvisé, –
12   2,      II|          J’espère que vous vous êtes corrigé depuis douze ans ?~ ~ ~–
13   2,      II|         un ton triomphant. Vous êtes sur ma comète ! »~ ~ ~
14   2,      IV|     reviendra-t-on ?~ ~ ~– Vous êtes donc bien pressé ? répondit
15   2,      VI|         terrestres !~ ~ ~– Vous êtes bien bon, monsieur le professeur,
16   2,       X|       vieux coquin ?~ ~ ~– Vous êtes bien bon, monsieur Ben-Zouf,
17   2,     XIV|         Hector Servadac, vous n’êtes pas aimable pour vos compagnons,
18   2,      XV|   courut à lui.~ ~ ~« Vous vous êtes fait mal, sans doute ? lui
19   2,   XVIII|     tout le monde et vous, vous êtes des…~ ~ ~– Monsieur Rosette !~ ~ ~–
20   2,   XVIII|         tout capitaine que vous êtes ! Vraiment ! Les beaux physiciens !
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